Harmony appartient et possède
Mon Maître aime alterner dans ma journée de soumission : épreuve, détente, réflexion, moment de tendresse...
Je sortais du bain, me séchais et attendais à genou que M.L, revienne me chercher. Il me remit mon collier — mon Maître souhaite que je porte en permanence un collier lorsque je suis avec lui — J’en possède plusieurs que je peux assortir à ma garde robe. Je porte aussi un anneau d’O, le dernier cadeau que m'a fait M.L. [Je suis une soumise gatée].
A mon collier, il y crocheta ma laisse, une belle chaîne en acier français agrémentée d’une jolie poignée cuir naturel avec couture sellier.
Il m’offrit de trinquer et de boire ainsi liée à lui comme un animal, un verre de Médoc 2005, M.L. est un gourmet, il aime associer plusieurs gourmandises.Après avoir bu dans nos verres, autant que dans nos yeux… il me tira délicatement par la laisse.
Je le suivais à quatre pattes, guidée jusque dans notre chambre où une très douce lumière tamisée ne me privait pas de voir : pinces, tapette de cuir, bâillon, mors, cordes, cierges… et autres accessoires dont raffole M.L.
- Montez sur le lit, restez à quatre pattes, oui ainsi, montrez-moi votre cul.
Mon Maître sait que je dois me faire violence pour ne pas réagir lorsqu’il use de mots plus crus que son vocabulaire habituellement châtié.
- Léchez-moi les doigts, ma soumise…
J’aime lorsqu’il enfonce dans ma bouche ses doigts, il ramasse ma salive… qu’il emporte vers mes fesses, humidifie mon anus… et soudain m’enfonce fermement mon plug queue de jument.
Il fit le tour du lit et vient face à moi….
- Vous serez une très belle jument lorsque je vous aurais mis ceci me dit-il en souriant et en m’invitant à mordre dans le latex d’un mors.
- Vous êtes une très belle jument…. Montrez moi, votre croupe !
M.L. retourna derrière moi et me caressait le jarret…
- Mais cambrez-vous que je puisse admirer votre croupe…
Je n’avais pas eu le temps d’obéir. Je sentais la brûlure de la première claque sur ma fesse. Sa main s’abat sur ma chair et est suivie de plusieurs grands coups qui claquent et chauffe mon cul. Je suis sûre que mes chairs sont incandescentes sous les coups portés à mon derrière.
Je gémis mais le mors ne m’autorise qu’à baver…
Je ne vois pas M.L mais je sais qu’il doit bander à voir mon cul rougir car chaque coup se fait plus fort, plus sec, plus précis… pendant quelques instant plus rien et soudain , je sens sa langue chaude sur mon fruit mur. Sa langue se promène sur mon abricot.
Tu es toute mouillée. Tu aimes cela ma jument ou serais-tu ma salope ?
Bien sûr, je bredouillais, bavais entravée par le mors….
Folle de désir, mon clitoris gonflé , dure mouillé….
M.L. partait quelques instants, puis revenait avec trois galets plats qu’il tenait sur une serviette de toilette, je les devinais chauds…
Il ouvrait le lit et déposait en une ligne les galets….
- Maintenant couches-toi sur le dos, la colonne vertébrale sur les galets
Il s’approchait de moi, m’otait le mors et dans un fougueux baiser, buvait ma salive chaud que le mors avait retenu sur ma langue….
- Tu dégoulines de partout , dit-il dans un éclatant sourire.
Bien sur, que je mouillait de tout mon corps… folle de désir, je n’avais plus qu’une idée jouir, jouir et jouir.
Je sentais qu’il mettait menottes aux poignets et aux chevilles et m’écartelait en X sur le lit. Mon cul me dévorait d’un feu palpitant et les galet réchauffaient mon dos ce qui me mit dans un étrange état de béatitude, dans une douce ivresse. Je lâchais prise, m’abandonnais…
Je sentais mes sphincters se dilater autour de ma queue-de-cheval. Les galets massaient mon dos, la fessée avait incendié mon cul…
Après qu’il m’est immobilisé… M.L. s’approchait de moi… il était nu, magnifique, son sexe bandé.
- Maintenant, je vais te donner ce que tu veux. C’est bien de jouir dont tu rêves, c’est bien du plaisir que tes yeux m’implorent que te donner… Et bien, je vais te satisfaire.
Je ne peux pas vous dire combien de temps M.L. lécha, caressa, fouilla, pénétra, embrassa, mordit, doigta, émoustilla, pinça, suça, pressa, poussa, entra, ressortit, massa.... je ne me souviens pas dans quel ordre; M.L. s'occupait de mes seins, de ma chatte, de mon cou, de mes lèvres, de mes bras, de mes pieds, de mes mains, de mes cheveux, de mes yeux, de mon cul..
Immobilisée, j'hurlais de plaisir.... chaque nouveau geste de M.L. me faisait systématiquement crier de plaisir . Je n'en pouvais plus. Mon ventre en proie à un ouragan de plaisir, mes seins gonflés mon corps étaient prêts à exploser, je suppliais M.L.... je n'avais plus qu'une envie....
Mourir pour cesser de jouir.
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