Harmony appartient et possède
M.L. m'emporta plus qu'il ne m'emmena... il devait presque me porter tant j'étais en transe. Je transpirais, mon cœur battait vertigineusement vite, mon corps désirait s'abandonner au plaisir...
Marc, nous attendait à la porte du club...
- Á plus tard, M.L. belle nuit !
- Merci, grâce à vous, elle le sera
Marc avait appelé un taxi dans lequel M.L. me faisait pénétrer toujours blottie dans la cape et dans ses bras. J'étais tellement partie, troublée, heureuse, tout à M.L. que je ne remarquais
pas que la direction indiquée au taxi n'était pas celle de notre domicile. Lorsque le taxi s'immobilisa place de la Concorde, je ne pus étouffer ma surprise...
- Maître, mais c'est
- Oui, un très bel hôtel où j'ai envie que vous me suciez... descendons !
Ces mots m'avaient éveillée et pas que moi, je voyais dans le rétroviseur le chauffeur souriant à cette invitation de M.L.
- Merci Monsieur, bonne soirée, je donne la valise au portier...
- Parfait, Merci ! Venez Soumise B... n'allez pas attraper froid , j'ai bien d'autres projets pour nous cette nuit et pas l'intention de me transformer en médecin...
Nous fûmes rapidement dans l'ascenceur et M.L ouvrait la cape qui me protégeait pour me regarder nue, suant, belle de désir comme il dit. Il caressait mon corps nu sans pudeur, ses doigts pénétraient mon sexe...
- Quelle catin vous êtes, goûtez-moi cela, dit-il en m'enfonçant voluptueusement ses doigts souillés de ma mouille dans la bouche, aimez-vous autant que moi votre liqueur de désir, vous mourrez d'envie de jouir. Venez, je veux que la fête continue !
En entrant dans la chambre, je dus me rendre à l'évidence, M.L. était un magicien divin, il ne laissait rien au hasard et il était 11H-moins cinq et la Tour Eiffel scintillait... je riais.
- Maître, vous savez que l'anglo-saxonne que je suis, adore voir la Tour par la fenêtre de son nid d'amour mais regardez-là elle se tortille, elle se contorsionne... croyez-vous que son Maître la branle...
- Ma soumise que vous avez l'imagination pervers... mais vous êtes bien naîve... son amant, un amant mais ne savez-vous pas que chaque parisien aime à caresser la belle froideur métalique... cette dame qui fait Paris, elle a des milions d'amants. Et vous vous n'en n'avez qu'un ?
- Oui, M.L. un seul et
- Et bien ce soir, comme votre amie la Tour Eiffel, vous brillerez, vous pétillerez, vous étincellerez, vous exploserez... car vous allez m'offrir une fellation et puis une autre...
- Quel gourmet, M.L.
- Oh oui et je ne vous ai pas encore tout dit... allons nous rafraîchir... nous avons deux salles de bain et quinze minutes avant de nous retrouver ici...
Je vous passe les détails, jacuzzi, douche italienne, pétales de rose dans la baignoire... lait doux et parfumée au jasmin... l'odeur du jasmin m'évoque
instannément l'Orient, les marchés aux esclaves ... les harems de Degas...
J'enfilais le déshabillez blanc translucide que je trouvais là... je me sentais vêtue d'aile de papillon tant la soie était légère et transparente... J'entendais du bruit dans la chambre, je
savais l'habitude de M.L de nous faire monter du champagne et des fraises... il souriait parfois en me disant que cela devenait banal mais qu'il aimait toujours le faire car cela lui rappelait
notre première rencontre à l'Hôtel...
- Vous voilà enfin, mais vous alliez nous faire attendre !
Il avait dit nous...
- Oui, nous avons un invité !
- un invité ?
- Oui, Pablo...
Je ne pouvais pas réagir... je ne savais que dire, que faire... Pablo était là, ils s'approchait du canapé face auquel M.L. était installé. M.L. était nu dans le fauteuil...
- Soumise B, je vous ai dit que je nous étions là plutôt qu'à la maison car je voulais que vous m'offriez une fellation. Pour être plus précis, j'aimeriez que vous
offriez une fellation à Pablo. Vous n'avez pas remercié Pablo pour le tango qu'il vous a fait danser... lui qui devait ne pas vous voir, ne pas réagir devant votre désir, lui qui ne pouvait se
laisser aller à bander devant votre corps en feu, devant votre corps de salope chaude, brûlante... Il ne bandait pas, tout à la danse qu'il vous offrait.
Maintenant, voyez...
Pablo s'était déshabillé pendant que M.L. me commandait de sucer mon danseur de tango et maintenant, il bandait... son sexe dressé, gonflé, ne semblait pouvoir attendre... il se posa sur le canapé et ouvrait les cuisses... je n'avais plus qu'à obéir à M.L. et à m'agenouiller devant Pablo pour lui tailler une plume.
Pendant ce temps M.L. observerait mais pourquoi m'offrir ainsi... ne m'aimait-il plus, ne me voulait-il plus pour lui seul, n'aimait-il plus m'offrir son elixir après que je l'eu longtemps caressé... J'avais le regards volié par quelques larmes qui naissaient...
- Soumise B, Pablo vous désire... maintenant honorez-le ! M.L. se fit plus pressant. Sucez le et comme vous le faites pour moi, délicatement...
- Oui, Maître !
- Pablo posa doucement une main dans mes cheveux derrière ma tête... pendant que je suçotais ses testicules... entièrement la
droite... puis la gauche puis la droite à nouveau... dans ma bouche je savourais ces couilles et comprenais pourquoi les français les appellent aussi parfois les bonbons... comme d'une pastille à
l'anis je m'en délectais...
Ma main caressait la hampe dressée de Pablo qui respirait fort mais joliment ... Je perdais ma main dans un mouvement lent mais régulier de va et vient, de bas en haut de haut en bas de bas en
haut... ma bouche abandonnait ses boules pour que ma langue puisse venir tourner autour de la couronne du gland... Turgescence rose vif, il perlait de la première goutte de désir... je la posais
sur ma langue avant de venir me noyer dans le regard de mon amant.
Mes yeux interrogeaient M.L. pourquoi offrir cette fellation à Pablo ?
Mais déjà, Pablo venait chercher ma bouche en forcant légérement ma tête contre son vit brandi comme un glaive. Par plaisir ou par défi, j'avalais petit à petit mon danseur, lui rendant à l'émotion près la sensualité du tango qu'il m'avait offert. Je suçais, je caressais, je caressais, je suçais... je perdais le sens de la réalité, et je découvrais que cette fellation que mon Maître offrait à Pablo c'était un cadeau qu'il s'offrait à lui.
Il offrait la chaleur, la tendresse, la patience de sa maîtresse à ce danseur mais il lui disait sans un mot prononcé dans cette offrande :
Rien n'est à toi, Pablo cette femme te suce parce qu'elle est mienne, cette femme te suce parce que je le veux, cette femme te suce
pour mon plaisir... Pablo jouit dans la bouche de cette femme, jouit sur le corps de cette femme qui m'appartient et m'obéit. Pablo, cette femme ne te voit pas, cette femme ne te sent pas,
c'est moi qu'elle voit, c'est à moi qu'elle obéit.
Douce, je caressais, lèchais, branlais, suçais, suçotais... j'entendais la respiration haletant de Pablo, je retenais de mon pouce dans le canal encore un instant son plaisir
montant...
- Jouis Pablo, jouis, jouis car je dois t'offrir du plaisir pour en offrir à mon Maître... jouis car ton plaisir sera son plaisir...
Pablo explosa, je ne peux retenir son sexe dans ma bouche et je reçus son jus laiteux sur la face, sur la poitrine...
M.L étais là debout derrière moi et jamais son sexe n'avait été plus beau... je pouvais entendre ce que ces yeux me disais...
- Merci ma catin, de m'avoir offert le plaisir de Pablo. Maintenant, ma chère soumise offres-moi, offres-toi du plaisir.
Il ne me fallut que peu de temps pour qu'électrisée, ma bouche se remplisse de salive chaude comme un animal sentant la chair désirée, aimée, je bavais, je salivais...
Mon Maître m'entrainaît dans notre chambre laissant le salon à Pablo...