Harmony appartient et possède

J'ai passé beaucoup de temps sur certains forums, je me sentais trop "différente" des points de vues échangés, des idéaux et de ceux qui veulent en faire trop ou qui n'en font pas assez au final. Il y a tant de pratiques bdsm, tant de goûts divers et variés qu'il est difficile de trouver son bonheur et les petits vrais bonheurs sont rares au final, quand on "trie" par la force des choses et l'expérience...

Comme tu le dis, il vaut mieux vivre un peu caché et vivre ses émotions en secret.

Moi j'échange avec certaines personnes, mais j'aimerais tant trouver des soirées ou se retrouver dans ma région et partager...

Madame S,

Vous savez qu'ici vous êtes toujours la bienvenue. Différente et bien oui c'est bien cela qui fait la richesse du monde BDSM, sa pluralité. Des gens de tous horizons, de tous âges... 
Sans en dire trop Madame S votre région c'est un département, une ville qui sait... peut être des amies (is) d'Harmony se trouvent aussi par là.

Chère HARMONY

L'alchimie que dégage une oeuvre d art reste pour chacun de nous une sorte de reflet de nous même, un vêcu , une pulsion , une attirance sans autre mesure ,sans vraiment d explication

le BDSM doit rester dans l ombre pour ne pas choquer certaines ames sensibles voir parfois des scènes insoutenables et non respectueuses de la personne ..

Cette banalisation ouverte à tout vent sur internet peut devenir particulierement dangereuse sur certains, simples d esprit et paefois dramatique !

Des fantasmes poussaient à l extrême dans le milieu sm peuvent ils dériver pour transformer un plaisir en cauchemar

Le n importe quoi n a pas sa place sur la toile

j ose esperer que le visage d un ange ne se transforme en démon

Le secret dans grands nombres de domaimes doit rester encore et toujours Secret

Contre vents et maréees parfois du média qui ce dernier attise les braises et les foules

Arrêtons de broyer du noir chaque jour celà devient apocalypse now grace à eux !!

Le monde est beau si le regard que l on lui porte est beau

Notre soleil continue de briller bien heureusement pour tous

LUI est là

Cher DS 

Oui, LUI est là et chaque jour, ce LUI, mon LUI, permet cette marche vers l'absolu. Je résiste depuis septembre 2009 et tente de donner à suggerer plus qu'à voir. La beauté du lien D/s existe par sa charge émotionnelle et donc parfois, il serait trop réducteur de tout montrer sur le net. Outre que cela n'apporterai rien de plus à mes pas, cela risquerait d'être incompris voir pris détruit. Oui, il y a des choses que le secret protège, que le secret sacralise.Encore, une belle raison de ne pas dévoiler le visage de mon LUI, ni son prénom...

Mais mon LUi me rend heureuse. Merci à LUI.  

Merci, je sais que vos pages me sont ouvertes et je les apprécient fortement...

Vous savez que ma porte est ouverte également, pour vous...

Je suis en Alsace oui et peu de monde dans ma région...

Madame S 

Peu de monde en Alsace ? Sourire chut mon premier Maître sans être alsacien n'en était pas si loin et j'ai quelques lecteurs et lectrices à l'est... 
La prochaine fois que je voyage en Alsace, nous pourrons nous croiser, histoire de parler chiffons (sourire complices et respectueux).

Vous pouvez me contacter à mon adresse mail, je serais heureuse d'échanger avec vous plus amplement...

madame.sdu67@yahoo.fr

J'aime l'idée que le blog d'Harmony permette aussi à des gens dont la vision BDSM se croise de dialoguer.

Plaisir et dialogue en douce harmonie. 

Harmony,

Vous m'aviez envoyé il y a plusieurs jours un mail me demandant si je souhaitais voir publier mon adresse mail. Après réflexion, je vous avais répondu que je ne le voulais plus. Vous n'avez pas eu ce mail en retour du vôtre ? J'attendais votre réponse et en désespoir de cause, je passe par le biais de vos commentaires pour avoir de vos nouvelles.

Je vous demanderais de faire le nécessaire pour supprimer ce commentaire. Je vous remercie par avance.

Comment ne pas être sensible à l'expression si raffinée et amoureuse de votre soumisson, amoureuse initiation dans l'absolu par l'éros, à la culture délicate dont vous faîte preuve comme en atteste la belle formule de Julien Gracq qui convient si admirablement d'ailleurs à l'expérience de la soumission. Je vous adresse donc mes hommages, Madame.

M.
Je vous remercie de vos mots, ils disent ce que nous avons choisi de vivre. Mon Lui est un de ces hommes qui font plus qu'ils ne disent et qui le font si délicatement et discrètement.
Il faut posséder ce que l'on offre et ce dont je fais don c'est cet amour sans limite...
Une soumise qui ne serait pas amoureuse , à moins d'être trés violamment masochiste, serait bien malheureuse et je suis la plus heureuse des choses... 

Je pose vos hommages aux pieds de mon Maître, car c'est grâce à Lui que je suis cet être doux, serein, heureuse. 
Je vous prie de croire en mon sincère respect et en cette période de voeux, je fais celui de votre bonheur dans cette route qu'est le D/s raffiné et animal, pur et violendre.  

Je vous remercie de votre réponse si juste. La soumission est en effet un lien d'une grande profondeur. Je vous adresse également des voeux de fin d'année dont vous devinerez aisément qu'ils sont tout entiers voués à votre accomplissement dans la voie de perfection qui est la vôtre. Une question : est-il possible de s'abonner à vos publications afin d'en être averti par mail ? Je ne trouve rien de tel sur votre blog. Je serais en effet fort heureux de vous lire à l'avenir et d'en faire profiter ma propre soumise car je crois qu'elle ne peut que s'édifier et progresser en fréquentant ce journal de votre cheminement si heureusement différent des vulgarités habituelles. Elle y puisera très certainement beaucoup d'enseignements et se sentira encouragée dans sa propre voie, ne serait-ce qu'en découvrant par vous combien elle n'est pas seule pour qui la soumission est une élévation sans commune mesure avec les pratiques ordinaires qu'on revêt indument de ce beau nom. J'avoue qu'hier en parvenant par hasard à votre journal, outre l'intérêt personnel que j'y ai pris, c'est à elle que j'ai aussitôt pensé.

Maître M,

Vous me faites rosir, je ne sais si ce chemin de traverse pourra aider votre Chère Chose — vous savez combien j'affectionne ce nom de Chose, créature étrange, animale... Mais si pensez que cela puisse l'aider à vaincre parfois les étapes que ce chemin révèle et bien sachez que j'en serai heureuse.
J'ai tant de bonheur depuis que j'ai osé croire que l'appartenance était un épanouissement et une élévation que je devais tenter en tant que femme contemporaine et désirant vivre jusqu'au bout ma nature. 
Soyez donc Vous et votre soumise, bienvenus.

Belle année 2013, que la route de l'appartenance soit un chemin difficile mais heureux... 

Oui, j'aime cette expression de Chose qui signifie si bien l'état hybride et la métamorphose graduelle dans le sens d'une élévation toujours imprévisible et neuve.

Hier, ma Douce Soumise et "Chère Chose", pour reprendre votre belle formulation, a donc découvert votre Blog, sous ma direction, elle, naturellement, en tenue de Chose, et appuyée sur ses genoux et coudes sur une sorte de tabouret devant l'écran, collier au cou. Comme moi avant elle, elle a été infiniment sensible à votre parole et au fait que l'imagier qui l'accompagne est de haute tenue, sans jamais de ces portraits photographiques en chaîne - si l'on peut dire ! - mais à l'inverse le parti pris poétique de l'anonymat visuel. Elle a particulièrement frissonné de compréhension à la lecture de certains passages et s'est notamment reconnue pleinement dans le portrait de l'animale. Nous avons lu votre journal de bout en bout, elle le disant à voix haute et claire, passage après passage, page après page. Souvent nous nous arrêtions à contempler telle phrase ou telle image tandis que nous lui donnions une incarnation symbolique. Puis, elle reprenait sa lecture à voix haute et ce jusque à épuisement du contenu de votre journal. Cette longue séance lui a été très profitable et elle en est ressortie emplie de gratitude envers vous. 

Je me fait donc ici l'écho de son émotion et de sa reconnaissance envers votre pensée qui dans la suite de la soirée lui a longuement donné à méditer, toujours juchée sur son tabouret dans cette même pose qu'elle avait à garder sans trembler.