Partager l'article ! Rêver d'être possédée...: Depuis que j'ai accepté de me lancer dans cet apprentissage de soumission, Il m'arrive de plus en plus de faire de ...
Depuis que j'ai accepté de me lancer dans cet apprentissage de soumission, Il m'arrive de plus en plus de faire des rêves érotiques....d'imaginer des jeux, des gages, des punitions,
Dimanche, assoupie dans mon fauteuil, je laisse tomber mon livre pour rêver.
Dans ma chambre, fin de journée, je suis seule dans la maison, — souvenez-vous, je suis mariée — je lis assise dans mon confortable fauteuil club, je suis habillée d'une robe noire qui se
boutonne de haut en bas, d'un porte jarretelle en dentelle noire, d'un string, et d'un soutien gorge noir... je n'ai pas pris la peine d'enlever mes escarpins....
Il m'embrasse tendrement et me chuchotte à l'oreille...
- Laisses moi, ce fauteuil, j'ai une idée !
Je me lève, le laisse s'installer dans mon nid de cuir.
- Déshabilles-toi ! Ah, c'est joli, ne gardes que ton porte-jaretelles, tes bas et tes escarpins.
- Oui , Maître !
- Ces escarpins de velours noirs allongent tes jambes... Maintenant, apportes-moi ton collier, tu es plus bel animal lorsque tu as ton collier.
Je vais chercher mon collier, une pièce rare spécialement réalisée mon moi. Mon Maître aime m'offrir de beaux objets...
Je m'assois sur les genoux de mon Maître qui me mets sur le cou, mon collier. Je suis devenue l'Animal aimé de mon Maître.
Aussitôt, ai-je senti se refermer sur ma chair, la boucle, je me suis mise à quatre pattes. Je vais chercher ma laisse.
Sérrée entre mes dents, je rapporte à mon Maître, la chaine qu'il accroche à mon collier. Je m'installe docile sur ses pieds. Sa main caresse mes cheveux... Une délicieuse complicité s'installe.
La métamorphose se fait. Je deviens son Animal.
Me tirant par la laisse mon Maître me fait grimper sur le lit. Il m'abandonne là au milieu du lit, et retourne se mettre dans son fauteuil, il doit avoir sur ma croupe une vue particulièrement
érotique — je sais qu'il aime regarder ainsi mes orifices offerts. Ne pouvant le voir, ne pouvant pas me raccrocher à son regard, je me sens plus vulnérable. Un frisson de désir me parcoure le
corps. Mon sexe s"humidifie. Je suis partagée entre fierté et ridicule.
Je suis fière d'être l'objet de ses soins, je sais qu'il aime sa Chienne, son animalité, ses courbes, mais je me sens encore un peu ridicule... une espèce de centaure sexuel mi-chienne mi-femme
avec escarpins et collier. Je dois encore assimiler les règles du jeu et ravaler mon orgueil de femme libérée que je suis hors soumission.
Mon Maître est un grand calme, ferme et réfléchi. Sa force et son équilibre psychologique me rassurent. Chaque exercice a une fin, un but dans l'apprentissage de ma soumission. Il veut que je me
découvre, que je m'avoue, que je m'accepte et que j'exprime mes envies, mes fantasmes... que je clarifie mes limites.
Je me retourne pour essayer de le voir...
- Ne bouges pas !
De nouveau mon corps est parcouru de spasme. La soumission me procure d'ambigues sensations : excitation, certe mais aussi doute... pourquoi me soumettre ?
Maître A se lève, je sens sa main sur mon sexe chaud...
- Tu mouilles déjà ?
Oui, dans sa main, mon clitoris fébrile se frotte.
- Mais tu es bien chaude et tu es pressée ?
Je ne parviens pas à dissimuler mon désir de jouir. J'ondule cherchant les caresses délicieuses de mon Maître.
- N'oublies pas la consigne, tu ne peux pas te laisser aller et jouir sans en avoir au préalable demander et obtenu l'autorisation. Tu sais que tu t'exposes à une punition, si tu ne respectes pas
cette consigne.
- Oui, Maître, je le sais et je crains trop l'abstinence imposée en cas de non respect de cette consigne.
- C'est vrai, tu n'aurais pas l'autorisation de jouir pour un temps, je te priverais du plaisir de l'orgasme...
- Maintenant, allonges-toi sur le dos...
- Ecartes tes bras et tes jambes en X, oui, tu sais que je vais te lier aux coins du lit.
- Maître, pourquoi m'attachez-vous ?
- Je veux que tu te concentres sur ton sexe...
Au moyen de foulards de soie, Maître m'imobilise... j'ai les yeux bandés aussi.
Avec une plume, plus un morceau de fourrure, Maître me caresse... les seins, le ventre, le clitoris... l'intérieur des jambes...
- Maître, puis-je jouir ?
- Il est encore trop tôt pour que je t'y autorise.
- Mais Maître...
- Depuis quand as-tu le droit d'émettre un mais.
Mon sein me brûle, Maître A m'a mordu le sein...
- Mais quoi ? Tu es à moi ! Je décide quand et comment tu dois jouir. Tu comprends ?
- Oui Maître !
La plume, il y en a plusieurs maintenant me caressent, m'agacent, sur mon visage, sous mes bras, sur mes seins... sous mes pieds...
- Maitre, puis-je jouir ?
- Mais pourquoi aller si vite, nous avons tout notre temps.
Il pose ses lèvres dans mon cou, me mordille amoureusement les lèvres... puis roule mes tétons durcis sous ses doigts...
Sa langue va et vient sur mon corps, mon cou, mes seins, mon ventre, mes jambes, mes pieds... et il remonte et il se promène, sa langue, une plume et deux....
puis je le sens c'est son sexe tendu qui me frôle...
- Maître, je suis au bord, Maître puis-je partir, m'oublier, me laisser porter par vos caresses et jouir...
- Non, ma belle, non mon animal pas maintenant.... pas encore !
Ma respiration s'accélère, je dois me détendre, contrôler, ne pas tomber dans l'abysse.
Pour combien de temps suis-je encore capable de maîtriser... je me mords les lèvres, j'ai du mal à contrôler mes gémissements, je tire sur mes liens en ondulant, je cherche sa main, sa
langue, son sexe...
- Maitre ?
- Oui, ma belle ?
- Maître ....
- Que veux-tu ? Dis-moi ? Que se passe-t-il ?
- Maître , je vais venir, je vais jouir... s'il vous plait ... le puis-je ?
La porte de la maison a claqué !
Mon mari est entré, a posé un baiser sur mes lèvres. je me suis réveillée, mon Maître avait disparu.
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