Partager l'article ! C'est le chaos: J'ai cru qu'il me serait facile — quelle audace que la mienne — de croire qu'il me serait aisé de fuir. Qu'i ...
J'ai cru qu'il me serait facile — quelle audace que la mienne — de croire qu'il me serait aisé de fuir.
Qu'il me suffirait de dire stop, soumise B n'est plus harmony-libertine la remplace pour que cela soit vrai...
De dire, M.L. me délaisse, je l'oublie et j'en ris... et bien non. M.L me fera dépérir...
Comment puis-je me trouver dans pareille situation ? Si je n'avais pas le sens de la retenue, je crois que j'oserais dire que cette épreuve ressemble de près à une ituation vécue maintenant, il y a longtemps et qui me semblait qu'il me serait imposible de ressentir à nouveau cette vacuité.
Mon refuge la poésie alors bien sûr ce soir c'est Georges Bernanos "L'enfer, [...] c'est de ne plus aimer " et encore et encore Lamartine... un seul être vous manque et tout est dépleuplé...
Mais le pire ce soir, ce n'est pas de ne plus aimer c'est d'aimer sans pouvoir le vivre.
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