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Laisser ma chair hurler. J'avais cru qu'après Xx, cela ne fut plus jamais possible, j'avais cru que ce ML avait révélé, Xx l'ait massacré, piétiné... et puis aujourd'hui, ce désir nouveau de laisser hurler la chair est possible. Vivre enfin ce que je suis, vivre et jouir de ce plaisir d'être moi.
Il me faut vite me mettre à quatre pattes et boire à l'écuelle, avant que l'écuelle de ma vie ne déborde. Il me faut marcher en laisse, porter les
chaînes.
Vivre comme la chienne que je suis... manger, boire, pisser, câliner, chahuter mon Maître et hurler de bonheur car seul son plaisir me sera le but.
Salope en eau que je suis, Chienne coulante, mon con bave ce miel puant de désir, et je vais pouvoir encore sentir mon corps hurler, mes chairs bouillonner,
l'animale s'éveiller et à Lui appartenir. Je serais enfin capable de dire en le fixant du regard tendrement et naturellement.
- Maître, sur l'autel de la luxure, baisez votre chienne déesse de la chair... qu'elle hurle le plaisir d'être empalée.
J'apprends encore et avec fierté à nouveau, petit à petit à rougir avec délice car je dépoussière de la morale castratrice, des faux semblant, des il
serait juste pour revivre. Ce ne sont pas des règles qu'il impose mais des évidences qui se mettent en place. Si ces mots sont encore un peu difficiles c'est qu'ils ne sont pas
encore tous vidés du dictionnaire commun et qu'il faut donc chaque fois les charger de sens nouveaux. Qu'ils se chargent de nos impudeurs, mais aussi de nos vérités lumineuses.
Si, il a rendu possible les mots Ma Chienne, il nous reste à débarrasser les autres vocables de cette bestialité inhumaine que des
crétins, de vils censeurs ont posé sur : mon con, mon cul,mes seins, votre bite, votre fouet, mes chaînes,
Je rêve du moment ou je sentirais l'absolue nécessité de Lui écrire tout ce qui est en moi, lui offrir mon impudeur totale... Je sais... Exercice délicat. J'ai
un peu essayé. C'est bien trop peu...
Ils nous faudra encore et encore couler, désirer, baver, cracher, pisser, bander, forniquer, et baiser en ayant l'esprit en l'air et en se foutant le petit doigt
dans le cul...
Il n'y qu'une chose à faire : être vraie, être moi, être à LUI.
Il murmurera à mon oreille d'animale domptée, dominable en éducation...
- Oui hurle, ma délicieuse petite Salope .....dis pour mon plaisir, le bonheur d'être mon esclave
Il désire et ordonne parce qu'il le veut simplement, sans violence, sans chercher de fausse raison, sans prétendre me punir mais naturellement parce qu'il sait que mon bonheur est de lui offrir tout ce qu'il désire...
- Ma chose, viens te laisser enchaîner sur la croix, pour toi faîte et désirée, viens offrir à mon fouet ton dos à zébrer...
Alors doucement, sans autre peur que celle de ne pas retenir assez longuement cette larme qu'il chérit, je viendrai me poser, cambrée, écartelée sur le bois par Lui
façonné. Ce bois qu'il a voulu témoin de mon offrande, ce bois qui porte son parfum... Il a du venir souvent caresser le bois de sa main parfumée au sortir de son bain. Á moins que pervers divin
vienne parfois parfumer la cire qui entretient l'objet. Comme il est diablement cruel de sentir cette croix porter les traces olfactives du bourreau chéri.
Comment décrire ce don, cadeau de ma chair, dévorée par le baiser du cuir, à chaque voltige du fouet, entendre le souffle de ce Lui qui désire enflammer mon corps
pour son plaisir.
Lorsque qu'après quelques minutes de silence, de peur, d'attente, cette valse violendre (violente-tendre) démarre, c'est comme être allongée sur une plage et se laisser submerger par la mer. C'est décoller et partir pour Lui, par Lui vers un ailleurs où nous sommes seuls.
Lui, et son Esclave unis dans cette divine perversion.
Bonjour ma Divine
Ton corps s'enflamme, ta chair désire pour ce LUI
Le temps poursuit son oeuvre et tu avances pour offrir ton impudeur , la clé
qui libérera cette animale qui sommeille en toi depuis si longtemps
LUI savait que le temps te façonnerait pour que ce pas, tu le réalises de toi même,
en animale domptée mais encore si farouche
Lui et Elle divinement liés dans cette perversion mais cette larme ne peut être non
celle de la souffrance qui coulera sur ta joue mais la larme salée d'amour avec ce grand A
Sans lui ce A, ton premier Maitre,
Sans LUI ce A pour Amour , tu ne pourrais avancer sereinement, confiante et t offrir sans impudeur
le devérouillage des portes s'exerce les unes aprés les autres mais ce chemin demandera
encore du temps pour que tu deviennes cette délicieuse Esclave qui enflamme tes sens, les sens du plaisir d'offrir et s'offrir
LUI et son esclave, non ma Divine
LUI est ton esclave car sans en avoir l'air ceiile qui a enchainé ce LUI
n est elle pas cette délicieuse salope ?
O oui mais personne ne le saura
ESCLAVES de nos vies
Vivre pour Elle, vivre pour LUI
Désirs, plaisirs et jouir de vivre
AIMER Mots et maux
ton Lui L'invisible est là
Que dire d'autre que simplement merci pour ce joli texte où vous vous dévoilez plus que jamais!
ML,
Il y a longtemps déjà que je me suis à vous dévoilée...
J'ai appris alors que c'était possible de vivre cette liberté.
Depuis, ce désir de le vivre pleinement ne m'a plus jamais quitté.
Alors ML, ce merci pour ce texte, je vous le retourne car sans vous, il n'y aurait eu ce possible, vous avez ouvert la fenêtre sur ce monde qu'Harmony explore humblement.