harmonysoumise

 La vie n'a pas besoin d'être parfaite elle a juste besoin d'être vécue…

Je suis de plus en plus certaine que le bonheur  se fabrique, le bonheur est partout pour tous. Ce que je crains c'est que nous ne soyons pas tous armé pour le découvrir . 
Plus je grandis, plus la vie me fait des crocs en jambe, plus je ris, plus je me réjouis... car le malheur n'est pas de tomber mais serait de ne pas se relever.
J'avoue être impatiente de vivre et de plus en plus…

Je suis tendre, plutôt souriante, tolérante, mais j'avoue être exigeante et je n'ai aucune patience lorsque la mélancolie m'envahie ou m'approche.
Je ne sais pas faire avec... alors d'un revers de main, je passe à autre chose, je me lance un nouveau défi...
Je n'ai pas l'âme qui se satisfait ni aime  se baigner dans la mélancolie, je préfère l'action, l'épuisement à la tristesse fut-elle passagère.
Pour ma part, j'avoue que je crois que nous avons le devoir de rechercher chaque jour la gaieté et comme La Fontaine, je n'appelle pas gaieté ce qui excite le rire mais un certain charme un air agréable qu'on peut donner à toutes sortes de sujets, même les plus sérieux. 
Il me semble que nous avons dans nos société occidentale une tendance exagérée au nombrilisme... je suis désolée je n'ai pas de patience, non que je ne puisse comprendre, mais je ne suis pas une éponge, non je n'absorbe pas le feeling d'autrui, non, je ne déprime pas avec la tristesse des autres. 
Je pense que si on agit on a moins mal... alors oui c'est simple : 
Je suis fatiguée je dors...  Je m'ennuie de vous, je viens vous voir, je vous aime je vous le dis...
Mais ne comptez pas sur moi pour entretenir des rêves impossibles, la mélancolie slérosante me rend  hargneuse... je ne comprends que le courage d'être soi, apprendre à surmonter les violences, les blessures et les souffrances, nous venons tous du pays de notre enfance et cela sera ou un poids ou une chance mais ne pourra être changé, alors autant faire avec, rêgler le compte aux vieux fantômes et avancer. 

Se connaitre s'accepter n'est pas s'imaginer parfait mais c'est bien au contraire faire une force de ses imperfections.