harmonysoumise

Il est étrange comme la chair dominée réclame. 
Lorsque loin de lui, le corps appelle, hurle, je veux m'offrir à LUI, toutes voiles du Désir déployées! 
Trempée et ouverte, entre scones et foutre, entre lacets et chaine. Entre Con dévasté et tétons arrogants.
Lorsque le cerveau encourage : Sois à  la disposition de ses désirs immédiats  Les tiens sont beaux qu'ils soient à l'unisson. 
Lorque cette poésie, cette magie, cette perverversité me manquent terriblement. Lorsque je n'aspire à rien d'autre qu'à être son Animale... pétrie comme le matériau précieux de notre sculpture communément crée...
Je ne suis plus que l"Animale libérée, au delà de tous les mots et de tous les gestes, être celle qui est pour LUI, celle dont la jouissance le comble'... 
Lorsqu'IL ne me  respecte pas MALGRé mes paradoxes de femelle et de femme... Mais qu'IL me respecte pour Faire BRILLER ces paradoxes qui n'en sont pas... Je suis et veux être pour LUI Femme, Animale, Salope, Chienne, Femelle, chair, esprit. 
Lorsque je ne veux plus rien d'autre que d'être là pour LUI : Con ouvert et liquide et Cul tendu pour la claque!
Lorsque je travaille et que je suis nue. Lappant de temps à autre. Fouillée de temps à autre. Seins caressés, mordillés pétris... je travaille, j'écarte les cuisses sans y penser, je tends mon Con... Il me fouille. Il me prend la bouche, il caresse ma fente. Je coule. Toutes en Une... Chienne aux pieds du Sublime. Femelle évidente. Suceuse en désir, plume au travail.... IL invente mon chapitre.
Comme ils sont  plus beaux mes mots sages car je les écris jambes ouvertes, sexe chaud, coulant, croupe offerte, tétons bandés, comme ils sont plus vrais car je lappe, suçe, supplie, je suis sa Chienne docile et sa Salope vibrante. Mon Cul est le centre du monde (bien plus que la gare de Perpignan!). 
La gare redeviendrait le centre du monde si vous me fessiez le cul dans la gare de Perpignan, devant des voyageurs ébahis à qui vous diriez :
- Pour que la gare de Perpignan soit le centre du monde pour nous, il fallait que je cuire la croupe de ma Salope en cette gare. C'est chose faîte...

Oui. Ils sont plus beaux mes mots tout gorgés de vie. Plus naturellement suc de mon esprit comme ta mouille cataracte est le suc du désir.
Un tableau plus Delvaux que Dali en somme... 

Je viens vite travailler, couler, rougir, gémir, pleurer, rire, sucer, branler, en mai faire de qui me plait.  Soumise.... Je le veux vraiment. Car je me souviens que Réné Char disait : "L'art est à la vie ce que le sperme est au sang." Le sang fait la vie mais le foutre l'engendre. Oui, le sperme l'embellit, la fait fleurir,  je suis la Terre salope à terrasser, vous êtes Mon jardinier. 
L'envie d'être par LUI posséder est ce que je connais de plus motivant.