harmonysoumise

Etranges vibrations, images communes, imaginaires complémentaires, vocabulaires en échos... 
Il y a eu un entracte, une respiration, une libération... mais il doit y avoir domination.
C'est étrange comme le désir d'appartenir accompagné de sa cohorte de plaisirs émouvants et troublants revient au galop lorsque l'homme qui me parle est cet Homme en particulier.
Il n'est peut être pas  — si l'on en réfère aux critères communs — ni le plus beau, ni le plus riche mais il est le plus désirable des Maîtres, tant il semble vrai, tant tout semble naturel malgré son exigence, malgré ses demandes...  
Ses mots me font taire tant il semble me comprendre avant même que je n'ai à dire... me rappelle que je suis aussi cet être unique, particulier et que personne plus jamais ne sèmera le doute dans mon crâne. 
Ce qu'il y a de bien avec l'errance, avec la solitude, avec le vide, même si cela est parfois compliqué à vivre c'est que l'on se compare, on compare ceux qui vous répondent, ceux qui vous séduisent et ceux que vous séduisez un peu beaucoup passionnément... 
Il n'a pas l'âge ou pas celui qu'il faut (sourire) mais il fait échos, aquarelle ma vision de la vie, tout simplement... 

Je croyais avoir besoin d'un Maître, je rencontre un Homme et ma vision est véritablement comblée... 
Je ne savais pas quel Maître pourrait me faire avancer, il est vrai que A, ML m'avaient permis de mettre la barre trés haut... ce que je croyais toucher du doigt plus que ma vision claire de l'appartenance c'était les valeurs que je respectais...
Puis il y eu le doute, la difficulté d'avancer... jamais le doute ne fut plus destructeur..., il m'envoûtait mais étrangement... je ne comprenais plus rien de ce que je vivais et puis il y eu la bulle d'Harmony, merci O. 
Il fut doux de cicatriser près de vous... vous saviez que je n'étais pas mais vous berciez... Merci encore de ces instants de partages étranges. 
Plus il y a eu le vide... me détacher de tout, de tous et reconstruire...

Et il y eu Lui et alors que tout disait non ... la lenteur et l'intensité façonnaient.

© Les textes appartiennent à Harmony - Illustration © Le Film : Gilda