harmonysoumise

Dans l'écurie, je m'étais endormie sur mon futon de pierre, mon corps nu  réchauffé par le souffle de Velika. Je sentais ma nouvelle amie, elle osait à peine respirer... sa tête posée sur ma poitrine. Si j'avais ouvert les yeux, j'aurais vu ceux de Vélika et j'y aurais lu sa compassion. Elle savait que je l'aimais, elle savait que je souffrais que je n'avais pas encore accepté ma condition de femme-jument.

Elle ne comprenait peut-être pas pourquoi j'étais là mais elle voulait faire de moi sa sœur, sa complice. Mais ce que je ne savais pas c'est que si elle m'acceptait, et elle m'acceptait mais elle gardait le rôle de jument dominante.

J'ai maintenant  un Maître et une sœur dominante.