Vendredi 14 mai 5 14 /05 /Mai 13:07

cintrecravache-Dom

M.L. est un Maître raffiné mais il n'en est pas moins Maître. Lorsqu'il décide de d'avoir du plaisir, rien ne lui est interdit. Je suis SA soumise.
Vous savez que M.L. est éloigné et je lui suis soumise en acceptant qu'entre nos rencontres, la soumission soit virtuelle mais pas moins belle. Il ne supporte pas l'à peu près. Je lui en suis reconnaissante d'exiger que ma soumission soit forte, totale, librement consentie et toujours plus extravagante.

Je vous offre ici un échange entre Mon Maître et moi, soumise b, un échange qui m'a fait me rouler dans la luxure avec plaisir. Comme dit M.L., grâce à lui, je savoure le "pires plaisirs".

 - Bonjour ma soumise.

- Bonjour, M.L, comment allez-vous ? 

- De retour d'un charmant mais long repas.
 Avec des amis pas très raisonnable mais plaisant de boire un gorgée d'eau de vie — alcool de poires — quand les autres restaient à l'eau simple.

- Vous auriez besoin d'un bon massage... 

- Ou d'un peu de plaisir au moins .... 
Avez-vous terminé votre petit outil de torture ? Belle idée que votre bricolage. Que j'aime voir vos seins ainsi tirer vers le haut, vers le sublime. J'aime cette douleur que vous m'offrez.
Il y a aussi ces cintres avec deux pinces que l'on peut écarter à loisir et qui me font rêver aussi.

- Un cintre comme celui-ci ? 

Ma soumise, Ce cintre me semble parfait. Je peux décider d'écarter ou de rapprocher les tétons. Je peux attacher l'anneau central à votre collier ou vous le mettre en bouche pour relever vos seins et les tirer vers le haut. Je peux tirer dessus et vous guider ou bon me semble. Je peux faire de multiples choses de ce simple objet... 

 - M.L., une maison et son équipement vanille se transforme très rapidement en véritable donjon pour de délicate torture...

- Peu  importe l'endroit et les ustensiles  à ma disposition, je trouverais à rougir votre cul, à le dilater, à manier vos tétons et à vous apprendre à me donner du plaisir ma chère soumise. 

- Vous aimez parler de mon cul à dilater, à entrainer ? 
Ne vous en priver pas M. L., et si je devais en rougir, savourez ce rose à mes joues. 
Si vos joues ne rougissaient pas à l'évocation de votre cul, alors il me faudrait pour vous punir de votre audace, rougir les joues de votre cul de quelques coups de badines...
- Mes joues rougissent encore  lorsque vous évoquez mon cul mais mon corps en ressent une belle excitation maintenant. Mais ne vous privez de rougir les joues de mon cul de cette badine... vous savez combien mes joues, mon cul avait apprécié les claques que vous lui octroyez.Vous avez éveillé le corps de votre esclave. Mes seins pointent durs et mon abricot coule.. 
Je désire tant me lover dans la luxure, que vous puissiez me lier et me faire saliver... 
Et-il bienséant de demander ainsi à vous vautrer dans la luxure? J'aimerai que vous soyez ici à mes cotés et me le demandiez en vous agenouillant près de moi.
- En effet, il ne doit pas l'être mais j'ai tant de désir... 
Comme j'aimerais me trainer à vos pieds, bavante, désirante, coulante, supliant M.L. de me laisser avoir du plaisir. 
Ajourd'hui, je suis folle de désir, je me verrais bien suspendue, cruxifiée, flagellée... M.L., me priver de vous ainsi me rendra-t-il insaine ? 
Votre soumise rampante... suppliante.
- J'aime à vous imaginer couchée à mes pieds. Vous êtes si implorante que je peux prendre mon temps et poser mes pieds sur vous. Passer de votre bouche à votre abricot pour voir mes pieds dégouliner de vous. Suppliez encore alors que je force votre bouche de mon pied
- Oui, il me plait de vous implorer... caressant, léchant vos pieds, votre main, me frottant ronronnante à vos jambes. Mon corps désirant est liane, pliée, douloureux de désir... 
- Je vous imagine couchée sur le sol. rampante et implorante. Restez couchée sur le sol. Votre visage sous moi, vos jambes écartées. grandement.
Je pose mes pieds sur vos bras pour les immobiliser. Regardez ma queue grandir.
 Votre animal ainsi immobilisée n'aura que plaisir et loisir de voir votre sexe, votre belle queue grandir, gonfler, se tendre... sentez vous sous votre pieds mon corps frémir, trembler... quel trouble, vous faites naître chez votre soumise. Suis-je femme ou jument

- Ce soir, j'ai envie de me servir d'une fine et longue badine ou un fouet dont seule l'extrémité est souple. J'ai envie de m'amuser à caresser votre corps et à le frapper de petits coups de ce fouet.
- Mon Maître, M.L., chaque jour, vous m'enchantez de vos désirs... 
Serais-ce celui que nous appelons chambrière en équitation ? J'aime cette idée d'être délicatement fouettée. Oui, je crois que c'est celui ci dont on dit : 
Il faut donc amener le cheval à ne plus avoir peur de la chambrière. Qu'il la comprenne, mais qu'il ne la craigne pas ! Quel cavalier merveilleux, vous feriez, votre cheval n'aurait d'autre alternative que d'être votre, à vos ordres et heureuses de vous obéir.

 - Mon esclave, plutôt le fouet de dressage ? l'extrémité me semble moins longue, donc plus facile à maitriser.

Oui, j'ouvre mes jambes espérant que votre chambrière caressera mon sexe, sentir mes petites lévres se durcir sous la brulure du cuir...  Je pleure rageant de ne pouvoir me caresser... Jouez, riez, amusez vous cruel de me voir vous désirer, de me voir vous supplier de jouir... 
Mon sexe, comme un abricot trop mûr, coule ... mes fesses me soulèvent, cherchant votre fouet...  plutôt souffrir que de supporter ce corps désirant

- Je voudrai ce soir taquiner votre entre-cuisse d'une fine lanière.
comme vos seins. Ma soumise, J'aime vous voir autant désirer le plaisir. Prête à la souffrance pour dompter ce plaisir. Le cuir caresse votre chatte puis la cingle. J'observe votre visage après ce coup. Mon sexe coule de désir. Coule sur votre visage.

- Quelle douce souffrance de voir votre sexe tendu, perler de désir... ma joue, mes lèvres, ma langue accueillent ce désir... 
Mon sexe cinglé (joli ce double sens) coule, déborde, d'une mousse, gélatineuse, sucre de désir... 
Cette souffrance, je vous l'offre, elle est mienne dans ma chair et votre... elle vous appartient, elle est sous vos ordres, il ne tient qu'à vous qu'elle augmente, qu'elle dure... 
Vos désirs sont mon plaisir dus-je en pleurer, me mordre les lèvres jusqu'au sang pour ne pas gémir... 
Je sais que vous ne supporteriez pas ces cris, ces plaintes ridicules... 

- Ma soumise, je crois que vous vous contiendrez et ne laisserez s'exprimer que de douces plaintes. Je crois que j'aimerai entendre vos petits cris contenus de douleur. Méfiez vous. Je risque de beaucoup aimer cela et de poursuivre votre flagellation...

- Mon Maître, oui, mordant mes lèvres, et implorant la dignité, je me contiendrais mais vous êtes si habile et cruel manipulateur de stick, que quelques gémissements et un souffle fort échapperaient de votre jument.
Poursuivez cette flagellation, si vous y prenez gôut, si votre sexe durcit, gonfle... si frapper ainsi avec art votre jument vous donne du plaisir ne vous en privez pas... 

- Mon esclave, mon animal, ma chose. Vous me faites très plaisir en vous offrant ainsi. Au delà de vos limites. Merci de me demander ce fouet. Votre demande me semble si forte et sincère que je prends un plaisir sans limite à vous fouetter.
Et je prends autant de plaisir à cesser de vous torturer pour vous regarder jouir.
- Mon esclave, ce soir je prendrais alors le stick. Je vous réserverai la chambrière lorsque vous serez attachée, les bras levés, Une autre fois.
Ce soir, je veux claquer de rapides coups sur l'intérieur de vos cuisses, vos seins de ces quelques centimètres de cuir au bout de la cravache.

- N'omettez pas la chambrière. Revenez-y un autre soir... c'est un instrument merveilleux. Regardez ce qu'en disent les cavaliers
La chambrière correspond aux jambes du cavalier. Elle peut simplement toucher, elle peut vibrer, créer l'impulsion, décontracter. Mais aussi parfois châtier ou caresser...La chambrière touche seulement quand c'est nécessaire. 
Attachées, les bras en l'air et chambières pour me taquiner, quelle belle promesse.
Mon Maître, mon corps bouillonnant sous le stick, verra avec plaisir que vous cessiez le fouet pour m'offrir fleur au jardin. 
Doucement feuille de rose douce et délicate ma langue vous caressera l'anus... 
pendant ce temps ma main ira chahuter mon clitoris que le stick aura endolorie.
Mais ce soir, le stick dans votre main, mes seins, mes cuisses, mon entrecuisse, M.L. regardez le regard de votre animale, emflammée de désir. Y voyez-vous l'incendie, qui dévore mon corps... 

- Après avoir rougi vos cuisses et vos seins, Je vais libérer vos mains.
Ce soir vous n'aurez pas mon sexe en bouche. Je vais m'assoir sur votre bouche. souvenez vous comme vous m'aviez si bien éveillé de votre bouche qui s'insinuait...
Vous allez vous caresser. Me montrer comment vous prenez votre plaisir.
Et je vais me laisser faire feuille de rose.
Pendant que je vous regarderai et que je pincerai vos seins.


- Mon Maitre, Mes seins pincés, votre regards curieux et souriant, 
ma main caressante, ma langue chaude... 
Quelle folle récompense. Que ne reçois-je chaque jour, stick et chambrière si c'est ainsi que cela se poursuit.... 
Votre animale est folle, son corps s'emballe, vous la sentez transpirer, s'essoufler, lecher, douce feuille de rose.... 
Mais me permettez vous d'oser pétale de rose, insinuant, chercher plus loin, votre plaisir, dans votre cul, ma langue s'enfonce comme mes doigts dans mon sexe mouillé... ma poitrine tirée soulève mon corps... 

- Ma soumise, votre langue me fouille et me donne envie de tirer plus fortement sur vos tétons. pénétrez et sentez comme vos tétons sont tirés.
comme ma queue est branlée. Embrassez, lèchez, pénétrez et carressez vous. Jouissez ma catin.

- Mon Maître, je vais et viens ma langue adopte le rythme de ma main... 
le plaisir dans votre cul arrivera-t-il comme celui qui monte sur mon clitoris... 
Ressentez vous la vague dui ondule dans mon ventre, la sentez-vous vous plier les reins ? 
Pincez pincez... je sens, je souffre votre désir montant transmis dans vos doigts... Chaque fois que ma langue s'enfonce, vous soupirez et vous pincez plus fort accelerant du même coup ma main sur mon clitoris... 
Vous maitrisez votre animale, votre soumise, son plaisir au rythme du votre... 

- Ma chose, frottez votre clitoris aussi fortement que vos seins sont étirés. 
j'aime les voir s'allonger sous mes doigts.
Léchez et jouissez
Que j'aime votre langue insolente.
vos seins étirés
vos jambes indescentes
votre sexe dégoulinant.
Jouissez. Pissez.
Jouissez mon esclave.
Obéissez.

- Mon Maître, Mes tétons longs durs, pincés  ! Que vous savez magnier, affoler, torturer ces tétons qui sont votres... 
Lèchant votre rose, cueillant votre rose, je reçois votre elixir... 
Oui, my Lord aspergez-moi de votre plaisir... 

- Ma soumise, jouissez pendant que je vous étouffe
jouissez pendant que je tire sur vos tétons
jouissez pendant que je me caresse au dessus de vous.
Jouissez mon esclave

 - M.L., Entendez ce râle qui va dire mon plaisir, écoutez moi gémir alors que vous tirez, entendez hurler votre esclave... encore, encore, encore
Caressez votre queue pendant que je m'enfonce la langue dans votre cul... 
Suçons, pinçons, pendant que je lèche, branlons.... 
Jouissons M.L.
Jouissons et explosons Mon Maître

- Mon esclave, Je vais jouir sur vous. Mon cul enchanté de votre langue,
Mes yeux repus de votre impudeur, mes doigts excité de vous pincer;
Mon plaisir explose sur vous. Gicle sur vos seins et votre ventre.
Ma souillée, vous voilà couverte de mon plaisir, je vous donne la dernière goutte à avaler. Venez aider ma queue à se calmer. Nettoyez la. Recueillez chaque goutte de plaisir.

- Jamais vous ne serez mieux lécher, mieux vidé, mieux rafraichi... 
J'enferme votre gland au chaud pour recueillir sa dernière goutte et ses derniers tressaillements.
Quel fol plaisir... 
Maître, Quelle fulgurance, quelle harmonie... 
Ma main recueille votre liqueur pour me masser tout le corps de votre suc... 
quel plaisir vous offrez à vous esclave... 
Oserais-je vous demander impudiquement, de m'endormir baignant ainsi dans ces jus de plaisir... ? Oui, mon Maître
Votre esclave, votre jument, votre catin voudrait s'endormir puante de plaisir.

- Ma soumise, gardez le goût de votre maître dans votre bouche et sur votre corps et dormez-ainsi nue et odorante du plaisir offert.

- Mon Maître, quel plaisir de vous appartenir, votre soumise heureuse.

- Ma soumise, je vous adresse un sourire, quel plaisir d'avoir une esclave comme vous. Dormez sereine.

- Merci mon Maître, je m'endormirais dans ma luxure... mon collier sur le cou, sur la couche, (tapis de lit à votre côté).

Il y eu quelques mots supplémentaires mais ils sont ceux que je considère miens, ceux qui me lient à M.L. et n'appartiennent qu'à nous. Mais avouez qu'aujourd'hui, je fusse plus impudente de vous offrir comme — ou presque — je l'ai offerte à M.L. Ma soumission, ma douleur, mon plaisir. 
© Copyright - Les textes appartiennent à Soumise B, vous ne pouvez pas les copier sans son autorisation.






 

Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : salope soumise
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