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Il le
fallait, je devais me reposer... je suis donc partie en vacances mais mon Maître reste seul. Rapidement loin de lui, je fis de curieux rêves.
Je les
racontais à mon Maître, car je les fis trois nuits de suite...
"Depuis trois jours je rêve un étrange reve… chaque nuit plus horrible.
Je pense que mon inconscient dit : Mieux vivre le pire que d'être sans
vous.
Reve de la première nuit
Maître, vous veniez me réveiller doucement en me murmurant à
l'oreille…
- Mon bébé, tu es ma salope, mon animale et tu ne peux
dormir que si je l'accepte.
J'étais heureuse d'être ainsi
éveillée par mon LUI.
- Maître, oui, en effet… mon sommeil comme ma veille est à vous.
- Tu ne vas plus dormir
- Mais pourquoi Maître ?
- Parce que je le désire et puis la douleur t'empêchera de dormir mon
ange.
- Quelle douleur Maître ?
- Celle -ci
Et en posant vos lèvres sur mon téton, j'ai cru m'évanouir …vous avez mordu si fort le
téton dressé.
Je pleurais…. lorsque je me suis éveillée en
sursaut
Rêve de la seconde nuit
Vous vous approchez du lit alors que je ne dormais pas…
- Maitre, s'il vous plait vous ne me ferez pas mal ce soir…
Vous souriez et répondez
- Tu ne dormira pas cette nuit
- Mais Maître …
- Mon animale tu n'oublies pas que tu es à moi…
- Non, Maître je n'oublie pas
- Si tu oubliais la douleur te le rappellerai
- Maître, je vous supplie mon sein me fait encore mal…
- Je le sais, mais tu as deux seins ?
Á peine aviez-vous dit cela, que je sentais mon second sein s'enflammer…. je ne savais
pas ce qui brulait ma peau, mon téton était en feu…
- Tu es à
moi
- Oui Maître
Á peine avais-je prononcé Maître que je brulais une seconde
fois
Ce n'était pas de la cire, trop profonde
douleur,
Incapable d'ouvrir les yeux pour comprendre,
j'hurlai
- Maîttttttttre
- Oui, petite chose , tu auras une belle marque, la mienne. Personne ne pourra voir
ton sein sans savoir que tu es mienne.
- Maître, je
vais…
- Oui, tu vas t'évanouir, la brulure de ta peau sera
douloureuse mais c'est le prix à payer, mon Animale et tu vas le vivre.
- Je perdais connaissance ou plutôt je m'éveilais une main sur mon téton
J'avais l'impression toute la journée
d'avoir une blessure, c'était étrange mon soutien gorge me gênait beaucoup. C'est troublant cette cérébralité qui fit
naître cette douleur comme si j'avais vécu cette brulure. Plusieurs fois dans la journée je caressais mon sein regrettant
presque de n'avoir pas de douleur, le desir grandissant.
Rêve de la troisième nuit
Je me suis endormie agitée et vous êtes
venu m'éveiller.
- Ma douce, mon bébé ma salope… dors-tu ?
- Non Maître, la douleurs sur mes tétons m'empêchent de dormir
- J'aime bien ces marques, ma douce, mon animale.
- Sur l'un vos dents ont marqué mon sein, sur l'autre l'horrible
brulure..
- Bientôt cette suppuration, sera jolie cicatrise et puis
merveilleuse marque
- Oui, Maître
- Mais je n'ai pas fini… tes nuits ne seront pas encore refuge
paisible
- Maître, puis-je savoir pourquoi ces tortures
nocturnes
- Je veux que tes nuits soient aussi noires que tes jours
sont lumineux …
- Maitre, je ne pourrai
pas...
- Non, tu ne pourras pas et tes jours m'appartiendront
aussi… épuisée, malmenée tu est toute à moi.
Cette nuit, tu seras
notre horloge
- Notre horloge ?
- Oui, je te fouetterai chaque heure et je te cravacherai au demi heure. Je
t'embrasserai au quart d'heure. Leves-toi que je t'attache à la poutre.
Vous avez posé des fers à mes pieds et vous m'avez suspendue par les bras à une
poutre. J'étais écartelée… le dos droit et tendu…
Vous avez caressé
longtemps mes seins. Vous riez en voyant mes grimaces lorsque vous touchiez mes blessures encore laides.
Vous massiez, et vous léchiez la morsure, la brulure m'arrachant des frissons qui me parcouraient tout le corps.
Votre main vient sur mon sexe…
- Tu es de plus en plus jolie ma salope, regardes comme tu coules… tu souffres et tu
dégoulines pour ton Maître
Je me balançais doucement aux chaînes… je
n'avais plus la notion du temps… quelle heure pouvait-il être ?
Combien de temps durerait mon supplice… ivre de mes douleurs, ivre de vous appartenir mon corps palpitait.
Vous embrassiez, léchiez, caressiez...
- Tu as encore dix minutes
Dix petites ou dix longues minutes pendant lesquelles vos mains exploraient tout à
tour mes blessures, mon sexe coulant
Mon sein mordu affichait
fièrement deux petits bleus qui n'était rien d'autres que la marques de vos deux canines… une petite croute indiquait que vous dents avait sectionné la chair et le sang avait
perlé.
Sur le second sein, sur le mamelon brun, la brulure
était encore laide, noire… profonde et très douloureuse sous votre doigt qui la dessinait.
- Tu souffres courageusement petite chose, tu es courageuse H2O tu mérites ces marques de ton Maître.
Sais-tu qu'il est minuit moins cinq ? Dans cinq minutes, tu compteras les douze coup
de minuit…
- Douze coup de...
- Oui, petite O, douze baisers du fouet de ton Maître
- Maître..
- Tu as peur, tu vas avoir mal, je sais mais je te sais
courageuse.
- Maître
- Ne crains pas de souffrir, ne crains pas d'hurler, de pleurer. Plus tu souffriras,
plus tu hurleras, plus tu m'aimeras
- Maître, dois-je souffrir pour
vous prouver que je vous aime ?
- Non, Petite animale, je n'ai
pas besoin de ta souffrance pour savoir… mais je désire tes cris, tes larmes, j'ai besoin ce ces cadeaux. Me demandes-tu de t'épargner cette souffrance ?
- Comment vous privez de ces offrandes Maître ?
- Simplement en me demandant de ne pas te fouetter c'est facile petite chose
!
- Si je vous demandais …
- Oui, si tu me demandais de ne pas te fouetter, je ne te fouetterai pas petite
chose…
- Maître, s'il vous plait
- Oui, Petite animale…
- Reste-il assez de temps pour que je puisse vous demander…
- Il te reste deux minutes avant minuit …
- Maître, m'offririez-vous quelques gouttes de champagne frais avant de sonner les
douze coups de minuit ?
Vous avez bu une longue gorgée de champagne frais - d'où le sortiez-vous ? et vous avez posé vos lèvres sur les miennes, m'offrant à boire un divin
champagne.
Nous avons entendu sonner minuit au clocher de
l'église…
- Il est l'heure, Maître
Vous m'avez tendu le fouet, je l'ai embrassé, vous avez mis un bandeau sur mes yeux,
vous avez encore une fois caressé mes seins blessés et le cuir a sifflé.
Puis lentement, d'un un soupir, se sont égrenées les heures et j'ai
compté...
- un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf,
dix, onze,
Votre main semblait s'envoler à chaque fois, plus
haut, plus lente…
- douze.
- Ma belle, mon bébé, mon animale, ma salope, ton dos est
merveilleux.
Haletante, les larmes roulant sur mes joues j'étais
muette et fière.
- je suis à vous !
- Oui, tu es à moi…
Déjà vous aviez posé le fouet et je sentais le bout de la cravache dessiner mes
courbes.
Je n'ai pas reçu la cravache dans mon rêve, ni d'autre coup
de fouet mais en me réveillant des larmes me coulaient sur la joue.
Depuis trois jours ce rêve très étrange.
L'absence comme hantise sans doute… et voilà pourquoi j'ai pensé que mon inconscient
disait : Mieux le pire que sans vous.
C'est totalement
fou, quelle souffrance endurée alors que j'ai peur de
souffrir et pourtant, chaque jour, je sens comme je glisse vers plus loin, avec vous pour vous, par vous.
Je désire être cette animale, esclave du plaisir de mon Maître. Merci Maître d'être ce Lui qui me comprend, qui m'accepte ainsi ambigue femme contemporaine, moderne et animale dépendante.
© Les textes appartiennent à Harmony © illustration horloge : Minuit
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