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La soumission est un état merveilleux mais il n'est pas sans souffrance. La soumission n'est pas simplement obéissance, c'est avant tout * le don de
soi. C'est un corps et une âme offerts à un Maître*. C'est un esprit qui accepte de s'oublier pour suivre et grandir avec la main, la voix de son Maître pour guide.
Si cette offrande est un cadeau consenti, il est une plénitude à vivre... s'offrir à un Maître, se donner, s'abandonner, le servir est une joie qui ne peut se
dire.
Il y a pourtant, revers à cette médaille dorée : l'absence, l'éloignement.
Qui peut imaginer le déchirement, la violence, la solitude lorsque la vie, les circonstances mettent une distance qui contraint la soumise à vivre loin de son Maître et vice versa — il me semble que la soumise n'est pas seule à souffrir.
Rien, aucun fouet, aucune humiliation, n'est pire torture que l'absence... Aucune chaine ne laisse plus profonde blessure. Soudain, je vis dans ma chair, ces merveilleux vers de Lamartine.
Un seul être vous manque et tout est dépeuplé...
En vain le jour succède au jour
En effet, loin de mon Maître, je souffre, le vide m'envahit, parfois je me sens incapable de remplir de mes souvenirs de lui, l'abîme qu'est son absence.
Mais il serait souffrance bien pire que son absence. Que deviendrais-je soumise errante sans Maître à servir ?
M.L. je sais que croyant n'avoir le droit de me faire subir cette souffrance, vous imaginez parfois renoncer à ma soumission.
Je vous le dit, simplement, M.L. imaginer cela est pire cruauté que de me transpercer le cœur.
Sachez que je souffrirais encore cette distance pour avoir la joie, l'extase de vous retrouver et de vivre ces moments auprès de vous. Sachez que rien ne peut me faire plus de peine que de devoir
penser à vous sans que vous soyez Maître.
Oubliez cet éloignement, et vivons le comme une séance de plus.
Je suis vôtre, je suis votre esclave et je vous attendrais car je veux encore brûler du bonheur de voir votre sourire. Me laisser envahir par la béatitude qui naît de vous obéir et de chercher à satisfaire votre plaisir.
* Cela est bien sûr mon avis et n'engage que moi - Dans mon cas, Un homme : Le Maître, une soumise : une femme (moi). Mais bien sû, il est entendu que toutes les combinaisons possibles sont acceptables. Par simplicité, dans tout ce blog, le Maître est un homme, la soumise une femme.
© Les Histoires, les textes appartiennent à Soumise B - Merci de ne pas les utiliser sans en avoir obtenu l'autorisation...
Soumise B,
ma demande va surement de paraitre génante
cela dit sur ce blog beaucoup de soumise sans maitre et de maite sans soumise
t'ecrive alors je me demandait pourquoi ne pas faire un article avec les adresse des un et des aute afin que chaque femme puisse comme toi ne plus souffrir d'un manque de dressage
et que chaque maitre puisse avoir son esclave a ses pieds
a tes debut n'aurai tu pas aimer sur un bmog que l'on t'aide a trouver ton maitre toi aussi?
Vous voudriez qu'il y ait une partie annonce ? Pourquoi pas ? Je vais y réfléchir... Oui, en effet, cela aurait pu m'aider, bien que mon blog ait servi à cela puisque mes lecteurs pouvaient être des Maitres cherchant soumise M.L. et Maitre DO furent mes lecteurs avant d'être mes Maîtres.
Ma soumise,
Quelle belle déclaration, qui plus est publique.
Que dire, si ce n'est que votre déclaration m'a profondément ému. Que votre soumission est si belle, si entière, qu'elle provoque en moi un doux vertige.
Une émotion semblable à celle que j'ai ressenti lorsque vous vous êtes agenouillée à mes cotés et avez posée votre joue sur mes genoux la première fois.
Merci de supporter cette distance qui m'empêche de recueillir votre miel et de tirer de vous de si profonds plaisirs.
M.L.
M.L.
Mais que serait une soumission qui ne pourrait vous assurer de ma patience ?
Vous savez que je rage de ne pouvoir prendre soin de vous lorsque vous êtes dans cette lassitude...
Alors, soyez sûr que je suis à vos pieds. Soyez certain que je ressens encore l'intense émotion que d'avoir mangé dans votre main... d'avoir senti la corde m'enrouler, les noeud m'immobiliser.
Que je me souviens de la salive remplissant ma bouche sous mon mors...
Comment ne pas être patiente, pour désirer encore sentir mon corps, plier, se tordre, bruler....
M.L., Je patiente.