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Soumission : philosophie, érotisme ou pornographie ?

 Si l'on s'en tient à la définition du dictionnaire, la soumission au même titre, que l'échangisme, ou le masochisme ne serait qu'une pratique sexuelle. Soumission : (n.f.) Pratique sexuelle qui place l'un des partenaires dans un état de soumission. La personne dominante peut alors exiger à peu près tout de l'esclave qui se soumet volontairement à ce jeu, le but étant de prendre le plaisir à travers l'humiliation du soumis.  

Chaque Maître ou dominant, chaque soumise ou esclave ne serait donc que des obsédés sexuels. Et bien, il me plait à croire que cela est plus compliqué.

Comme le dit si bien, Esparbec, de son vrai nom Georges Pailler : Il y a de bons polars, de bons bouquins de SF, pourquoi pas de bons pornos ? Pourquoi la pornographie devrait-elle être laissée à des écrivains de second ordre ? Dénués de talent ? Pourquoi la vouer aux poubelles de la littérature, aux sex-shops ? »

Bien sûr, loin de moi, l'idée de me prendre (pas encore - sourire) pour un de ces auteurs merveilleux dont parle Esparbec, mais je me réjouis avec lui que la littérature, l'érotisme ne soit pas laissés à la médiocrité. 

Donc j'aimerai m'entretenir avec vous sur la soumission et le sexe...

Il me semble et je fus ravie de voir que M.L. et Bob, sont d'avis que la relation de domination dépasse le sexe, car une soumise ne refuse rien sexuellement à son Maître et donc ils ( Le Maître et sa soumise) ont le loisir de passer à plus... à plus loin, plus vrai, plus intense, plus harmonie, plus d'équilibre.

Qu'en pensez-vous ?