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Je me réjouissais , je venais de retrouver sur mon écran Maître A. Il m'avait abandonnée depuis 5 jours. 5 jours pendant lesquels, je ne pouvais plus lui parler, plus recevoir ses consignes, plus
me ressaisir à ses ordres.
- Bonjour, Maître A, comme cela me fait plaisir de vous retrouver.
- Moi aussi Soumise B, comment vas-tu ?
- Maitre A, je suis un peu faible, j'ai mal mangé, peu dormi pendant votre absence...
- Mais pourquoi ?
- Mon corps me torture lorsque vous n'êtes pas là ... lorsqu'il ne vous touche pas..
- Mais encore ?
- Mes sens sont perturbés, ma raison défaillante... je perds le goût de vivre.
- Je suis là...
- Je suis heureuse de nouveau.
- Nous pourrons nous voir dans 4 jours, je viendrais te chercher pour aller à la campagne, retrouver ton amie Velika . D'ici
là soit heureuse, retrouve le calme, ton appétit, ta beauté, le sommeil...
- Maitre ...
- Ah, oui, une consigne, tu as besoin d'une consigne... d'ici là fais-moi le plaisir
- Oui, Maître.
- J'aimerai que pendant ces quatre jours, tu prennes soin de toi... fais toi encore plus belle, fais-toi la peau douce... n'oublies pas de faire tes exercices, chaque matin démarres avec le
rituel.
Oh, oui Maître...
- Une dernière chose, je souhaite que pendant ces quatre jours, tu ne te fasses pas jouir... tu te masses pour ta peau, tu t'offres pour le rituel, tu t'entraîne aux positions de soumissions mais
je ne veux pas que tu jouisses.
- Merci Soumise B, au revoir, je dois te quitter. A vendredi.
La consigne la plus cruelle venait de tomber. je devais me faire belle, prendre soin de moi afin de retrouver Maitre A mais je ne pouvais pas jouir , je ne pouvais pas avoir de plaisir en pensant
à celui pour qui je vivrais ces 4 jours.
Celui pour qui, j'étais capable d'être nue, humide, celui pour qui je m'oubliais, m'offrais , m'abandonnais...
Celui pour qui tous mes trous et à chaque instant étaient disponibles, accessibles, celui pour qui j'avais pris l'habitude de ne plus porter de sous-vetement, celui pour lequel j'étais devenue
une chienne docile et fidèle m'interdisais le plaisir.
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