Partager l'article ! Au couvent, qui est votre Maître ?: Votre soumise à une nonne sévère était abandonnée. Si vous n'avez pas lu le début ...
Votre soumise à une nonne sévère était abandonnée.
Si vous n'avez pas lu le début
Á peine fussions-nous arrives au couvent, que Mère Larme me fit jetée sans ménagement dans une cellule par deux solides nonnes contre lesquelles, je n’eus pas le courage de me révolter.
Quelques instant après , je me décidais à réagir, à comprendre… J’étais dans une cellule d’environ deux métres de large sur à peine 4 de long. Un soupirail me donnait de l’air et de la lumière. Un lit métallique et un crucifix constituait l’unique mobilier de la chambre, au sol une timbale d’eau semblait être mon unique luxe. C'est dans cette cellule que j'allais passer la nuit ?
Rapidement, j’entendais la porte de ma cellule s’ouvrir. Une des nonnes qui m’avaient jétée ici revenait.
- Mère Larme vous verra demain mais je dois vous préparer…
Déshabillez-vous, je vais vous débarrasser de vos vêtements, vous devez vous présenter à notre Seigneur, nue. Vous avez de jolis cheveux, je ne veux pas les couper mais peut être que pour cela,
je serais punie.
Elle me caressait les cheveux en me fixant d’un regard qui me faisait peur..
- Pour dormir cette nuit abritez vous sous cette robe de bure. J’aime vos cheveux, j’aime vos yeux verts… Dépechez-vous, ne faisons pas attendre demain Mère Larmes. Allez quittez vos vaniteux
tissus… votre peau blanche est votre plus bel atout pour vous présenter devant notre seigneur… Je reviendrais vous chercher à 4H, vous prierez avant de vous présenter au jugement de Mère Larme.
Mais n'oubliez pas, nous ne sommes pour rien dans ce qui arrive, M.L. l'a souhaité. Ne l'oubliez pas, je crois que cela vous aidera.
Vous devez essayer de dormir.
Sa voix était douce. Elle s’approchait de moi, sa main me caressa la joue.
- Il le faut… M.L. l’a voulu. Vous savez qu’il le faut.
Me suis-je endormie ou me suis-je évanouie , j’avais sombrée en pensant à M.L., dans mon sommeil je lui parlais : My Lord - Je vous devine souriant. De me voir craindre... loin de vous, sans votre main, pour m'apaiser, sans vos lèvres pour me caresser...
My Lord, qu'il est parfois difficile de vous faire plaisir.
Je vais dormir. Caressant mes cheveux... les mêmes dont parfois je maudis la couleurs... ce soir, je me promets de ne plus jamais les décrier.
Oui, 4h arrivera vite sans doute trop vite
Bonne nuit, My Lord.
Toujours est-il que je ne m’apercevais ni du depart de ma gardienne adoucie, ni de son retour.
- Levez-vous, quittez cette robe de lin rêche, je dois vous passer les chaînes aux pieds…
- Mais, pourquoi, je sentais sur mes joues couler des
larmes…
- Ne pleurez pas, vous attiseriez sa colère. Mère Larmes n’aime pas mes faibles.
Elle me passa de pesantes chaînes autour des chevilles puis vint me lier les poignets derrière le dos. Mes poings reposaient sur ma fesse, liés par une corde de chanvre. Elle me glissait au cou
une lourde croix de bois.
- Vous êtes belle, soyez forte et vous retrouverez M.L. très vite, je vous en fais la promesse. Ne craignez rien de moi, je suis lourde, rebondie, vous me jugez laide mais je serais votre amie
pendant votre séjour ici. Laissez-vous guider.
Elle posa un baiser sur mes lèvres. Et il ne me fut pas pénible. IL me réchauffait. J’avais moins peur. Elle me prit par le coude et lentement, je
voyais quelle rythmait son pas sur le mien pour que je ne me blesse pas avec les chaînes qui empêtraient mes pieds.
- Je vous emmène à la chapelle, si je peux vous donner un conseil, fermez les yeux en entrant et laissez-moi, vous guider.
Bien sûr, je n’écoutais pas son conseil et entrais dans la chapelle, les yeux grand ouvert, quelle folie. J’avais sous les yeux une chapelle lumineuse
embellie de centaine de cierges allumés et une audience de nonnes et de moines que j’entendis murmurer lorsque je rentrais.
Deux moines s’approchaient. Leurs habits ne les empêchaient pas de me jauger, l’un me palpait les fesses, l’autre les seins et dans un éclat de rire, ils firent le même commentaire.
- M.L. avait dit vrai.
Un moine de chaque côté, j’avançais vers l’autel. Lorsque je fus devant, ils me demandèrent de m’allonger sur le sol de pierre. Je le faisais sans sourciller, je ne pouvais pas renoncer, je ne pouvais pas me révolter M.L. le voulait. Alors que j’étais au sol, transie par le froid. Je sentais sur mon dos un poids, que je n’identifiais pas immédiatement… puis reconnaissant la caresse du bois puis devinant sur mon dos et mes épaules la croix. C’était sous le poids de la croix. J’entendais les murmures des prières. Puis à toutes voles les cloches se mirent à sonner.Je sentais le poids de la croix me libérer puis tout mon corps soulevé. Un homme, énorme, fort, trop fort me déposait sur l’autel… et il approchait un cierge allumé…
Alors que les nonnes et les moines continuaient de dire leurs prières, celui que je baptisais mon bourreau me maculait de cire chaude, mes seins, mon ventre, mon sexe recevait la brûlure de la cire chaude…
Je mordais mes lèvres pour ne pas hurler, mais bientôt je ne pu retenir mes cris. Et là comme électrisé par mes cris, il riait et redoublait de zèle encouragé par la mélopée des priants. Chaque goutte de cire chaude me tordait, me ployait. C'est alors que j'hurlais sous les brûlures du cierge, que Mère Larmes entra et s'approcha de moi.
- Ma pauvre enfant, rendez grâce, donnez votre âme à notre Seigneur.
- Non, ma Mère, j'ai choisi de servir un autre Maître que le fils de Dieu.
- Etes-vous sure ma fille, de vouloir endurer ces souffrances, juste parce que vous lui appartenez, juste parce que vous le servez ?
- Oui, ma Mère , rien ne me fera le trahir, je suis son esclave.
- Ma fille, réfléchissez bien, vous vous exposez à de cruelles tortures : le fouet, la croix... les privations.
- Ma Mère, je mourrais aussi si je le trahissais alors j'accepte de souffrir.
Elle fit signe à mon bourreau – Détachez là et qu’elle soit attachée debout devant l’autel.
C’est ainsi que je me retrouvais debout, jambes écartées, chevilles et mains liées à l’autel.
Mon dos faisait face à l’assemblée, Mère Larmes me regardait dans les yeux. Puis fit signe au bourreau, juste un oui de la tête…
Je n’avais pas eu le temps d’imaginer ce qui pourrait maintenant m’arriver que mon dos était en feu…
Je reçus un coup de lanières de cuir sur les épaules qui me fit Presque perdre connaissance.
Je me ressaisissais, fixait la Mère supérieure. Elle levait sa main…
Je compris que cela signifiait 5 coups de plus… Les religieux comptaient les coups donnés par la brute. Je mordais ma langue, mes lèvres… j’allais mourir, succomber, mais je ne renoncerais
pas…
- Ma fille, invoquez notre seigneur Jésus-Christ…
Mon corps tremblait, de douleur, de froid, de rage.
- Non, ma Mère, je n’ai qu’un Maître.
Elle allait ordonner à cette brute de me tuer. Elle leva les deux mains et je reçus dix coups de plus. Je sentais des gouttes chaudes couler sur mon dos, il devait être sanguinolent, lacéré par le cuir.
- Renoncez mon enfant.
- Non, ma Mère, je préfère mourir.
Elle leva les deux mains et tourna le dos à l’autel…
Un murmure d’angoisse parcoura l’assistance des religieux. Quelques sœurs pleuraient.
Puis je reçu 22 coups brutaux avant de m’évanouir.
Je sentais des lèvres sur les miennes. Un souffle, des larmes sur mon visage…
- Ma sœur, réveillez-vous, ne mourrez pas, réveillez-vous,
C’était mon amie , la sœur qui m’accompagnait dans ma pénitence.
- Buvez, reposez-vous, je vais vous passer des onguents dans
vos plaies. Il faut que vous dormiez… ils vont revenir vous chercher pour la prochaine épreuve. N’ayez plus peur, ils ne peuvent plus rien contre vous…
- Une autre épreuve ? Mais je suis incapable de me tenir debout…
- Je sais mais c’est ce qu’à décidé Mère Larmes. Pour le reste de la journée, ils vont vous attacher à la croix de pierre du jardin du monastère, en plein soleil… et
si vous réclamez à boire, ils vous donneront de l’eau au jet… votre corps sera mouillé et brûlé au soleil… et vous resterez là jusqu’à ce que votre Maître revienne vous chercher. Alors, ma sœur,
implorez-le si, vous lui faites tellement confiance. Qu’il vienne vous sauver avant que vous ne mourriez sur la pierre. Je ne peux plus rien pour vous.
Dormez…
Je me retournais pour lui offrir mon dos, elle passait de la graisse sur mon dos, le plus tendrement possible. Elle m’embrassait les plaies lorsque cela me faisait trop souffrir. Elle me caressa le sexe.
- Ma sœur, c’est pour vous aider à supporter les blessures. Mais dormez et priez votre maître. Je n’ai pas le droit de vous nourrir.
J’implorais mon Maître, je me jurais d’être à ses pieds, sa fidèle soumise, je l’implorais.
- My Lord, venez me chercher, venez Maître, me poser mon collier, me mettre la laisse et emportez-moi comme votre animal, loin de cet enfer.
- Priez-le, ne cessez une seule seconde de penser à votre Maître. Il est l’heure, je dois vous conduire au jardin…
- Une dernière chose, ne me jugez pas. J’avoue que j’étais moi-même soumise
conduite ici par mon Maître, je n’ai pas su résister. Je suis devenue une servante du Christ et me suis maudite. Sachez que je prierais chaque jour pour vous, pour votre soumission.
- Merci, ma Sœur.
Je me levais, je trébuchais, mon corps brûlait des douleurs affligées.
- Mon Maître va me sauver, il vous sauvera aussi, partez avec nous !
- Non, belle soumise, je ne peux pas trahir une nouvelle fois. Je resterais ici au service de Jésus. Marchez doucement, tenez-vous à moi. La pierre vous fera du bien, elle rafraîchira vos blessures. Buvez déjà ce grand verre d’eau… il est maintenant midi, le soleil au zénith chauffera vite votre peau. Fermez les yeux, et croyez en lui.
- Je crois en mon Maître, merci ma sœur.
Tout se déroula comme elle me l’avait décrit. J’étais enchaînée au pardon de pierre… Lorsque je murmurais, implorant à boire. Je recevais des seaux d’eau glacée que des moines remontaient du puit. J’étais tantôt transie de froid, tantôt brûlante sous le soleil… je n’avais plus de notion du temps.
Je crois que j’étais évanouie debout ou divaguant. La seule pensée que j’étais capable d’avoir encore… se résumait ainsi.
- Maître, je suis à vous, je suis votre esclave. Maître, je suis à vous, je suis votre esclave. Maître, je suis à vous, je suis votre esclave. Maître, je suis à vous, je suis votre esclave. Maître, je suis à vous, je suis votre esclave. Maître, je suis à vous, je suis votre esclave.
Je ne peux pas dire comment, quand…
Mais ce soir, je suis sur ma couche, collier au cou, repue de pommes que j’ai mangé dans la main de mon Maître. Mon dos me fait souffrir malgré les soins que mon Maître m’a prodigués. Malgré ses baisers…
Ce soir, je peux le dire fièrement. My Lord, je suis à vous envers et contre tous !
je me demandait cette histoire est pure invention ou histoire vrai et vecu?
Cher 13,
Je suis désolée de peut être vous décevoir... mais cette histoire est pure invention, née de ma conviction et de ma réalité du trajet lorsque je rentre du théatre... j'y mele des lieux que je fréquente... mais je ne connais pas de couvent où j'aurais pû avouer ma fidèlité à mon Maître. Peut être qu'un jour, j'entrainerais des ami(e)s Maîtres et soumises à vivre cette histoire...
Vous a-t-elle plu ou au contraire déplue cette histoire...