Si vous voulez continuer de lire la soumission d'Harmony, retrouvez-nous
https://harmonyamoureuse.blogspot.fr
A très bientôt.
Harmony Heureuse
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A très bientôt.
Harmony Heureuse
Je viens vous rassurez,vous qui écrivez à Harmony pour être sûr qu'elle va bien.
Car comme le dit si bien Colette :
On écrit pas une histoire d'amour pendant que l'on fait l'amour
Il y a un temps pour vivre et un temps pour dire...
Lorsque l'on vit en 2011, que l'on est une femme plûtot gâtée par la vie, que l'on a été à l'université, que l'on a voyagé, que l'on
a un métier plutôt sympatique... Est-il possible d'avouer que l'on aspire à être une animale chérie et entretenue... et rien que cela ?
Et bien qu'importe de la bienséance, de la morale, de ceci, de cela, des combats etc... Je dis moi que je veux être et n'être plus que cela...
La jument chérie d'un cavalier émérite. A moins que femme-enfant, je ne désire être le chaton choyée d'un Monsieur à chat. je pourrais même m'amuser à être la poule préfèrée d'un fermier
raffiné...
Mais que ce passe-t-il, que m'arrive -t-il ?
Il me semble que j'en rêve depuis très longtemps…
Petite fille, je me promenais sur les petits pont rouges et je m'imaginais…
Plus tard, découvrant l'auteur irlandais, Lafcadio Hearn, devenu icône au Japon que je me promettais d'enfiler un jour un Obebe et son Obi, peinte et femme de
l'art.
Malgré ma promesse, ma passion, mon désir grandissant, je n'ai pas encore enfilé l'obebe tant espéré.
Mais je n'ai eu de cesse de me passionner pour le Japon : le thé, la langue japonaise, les arts, bien sûr la danse buto — cette danse du corps obscur— le théâtre Nô, les
estampes, le shibari, etc...
Mais j'avoue toujours attendre le jour où j'enfilerai un Obebe... et oui maquillée comme il se doit… je serai la geïko de mon Maître.
Sans doute que mon entourage ne comprend pas le soin exagéré que je prends de mon cou. Et bien oui, la nuque est très importante. Au Japon, un cou dénudé est très érotique. Si
le mâle occidental rêve sur les jambes des femmes, le Japonais regarde d'abord leur gorge et leur nuque, raison pour laquelle les geishas portent des kimonos décolletés dans le dos. On voit le
haut de leurs premières vertèbres dorsales. Une Japonaise qui découvre sa nuque, c'est un peu comme une parisienne en minijupe. La Geisha y dessine un délicat motif appelé " sansbon-ashi ". On a
l'impression de regarder la peau nue à travers les pointes effilées d'une fenêtre blanche.
Mais ce qui me passionne encore plus que esthétisme de la Belle Geisha, c'est son calme, sa maîtrise, sa sérénité. Cette assurance, cette noblesse qu'elle offre à chaque seconde, à chaque instant la justesse, la perfection… Comment atteindre ce calme, cette tranquillité.
Je ne l'ai pas découvert ce secret mais vous savez ce qu'Harmony décide Harmony le trouve… je percerai le secret de la Geisha… Vous savez pourquoi ? Vous savez pour qui ? Pour être son Oeuvre d'Art à Lui.
Maître est en voyage et je suis seule alors repos dominical excessif. Je reste au lit : ma semaine a été longue, sorties, nuits courtes. Je décide que je vais récupérer ces heures de
sommeil manquantes. J'avoue passer avec My Lord, de longues heures de conversations, qui me réjouissent mais qui m'obligent à écrire professionnellement tard dans la nuit. Je
n'ai pas le courage de me priver de Maître pour dormir. Donc Dimanche paresseux et lascif. Entre veille et sommeil je pense à ce Maitre, son sourire, son regard, ses mains, ses lèvres, ses
ordres dans un inventaire à la Prévert pervers je rêvasse.
Je m'endors et plonge dans un faux rêve...une de ces rêveries que votre imagination initie et qui s'emporte...
Maître est là sur le bord de mon lit.
- Oublierais-tu mon bébé, que tu es ma soumise ?
Maître aimé est ce précieux mélange de tendresse, de douceur et de fermeté. My Lord est un exig-tendre. Soulevant le drap de lin, Maître me caresse, mes genoux s'éloignent l'un de l'autre, mon corps s'abandonne, mon corps succombe toujours le premier... il frémit, se cabre, se cambre puis mon esprit s'abandonne. Je lâche alors tout emprise, je suis à lui.
My Lord pose les bracelets à mes chevilles, à mes poignets et je me sens écartelée, liée aux quatre coins du lit.
- Mais Maître ?
- Ne voulais-tu pas rester au lit, mon ange ? Puis armé de son magnifique sourire froid et pervers, pose sur mes seins de cruelles pinces japonaises... Puis il pose le rosebud queue de cheval... celui qui éveille les sens de la femme-jument.
Maître prend son temps, sourit, savoure... tourmente chaque centimètre de ma peau, faisant ainsi s'enflammer tout mon épiderme.
- Puisque je n'ai plus d'esclave, que je dois faire mon thé moi- même, je dois t'abandonner ainsi, . Mais cela te servira de
leçon, tu dois être patiente cela est ton nom ? Soumise veut dire patience, endurance, et tolérance, n'est-ce pas pour cela que tu aimes tant ton nom... Alors sois patiente.
Avant de partir à la cuisine, faire du thé, il pose sa main chaude sur mon sexe faisant filer le désir...
- L'attente sera un délicieux supplice, je vois que ton corps est bien éveillé. Ne t'imagine pas pousser tes petits gémissements de désirs, je serais contraint de te faire taire. Et je n'ai pas
envie de te mettre à l'épreuve du bâillon déjà !
My Lord, m'embrasse fougueusement remplissant ma bouche de sa langue chaude et sensuelle. Comment taire mon désir ?
- Je rapporterais du thé...
Combien de temps durera ce supplice ? Comment ferais-je taire mon désir. Comment calmer l'animale qui rage dans sa prison de lin. Ruant la jument s'épuisera-t-elle ?
Mon plaisir ne viendra pas avant que Maître en ait décidé le moment, l'intensité... mon plaisir ne sera que conséquence de son plaisir à dominer, à posséder, à diriger. Je devrais sentir le feu
me dévorer, l'envie, la folie désirante enflammera ma chair.
Cette nuit, j'ai fait un rêve troublant mais combien significatif. C'est le récit de fait à mon Maître que je vous offre ici.
" Je dormais serrée contre vous — j'aime tant le contact chaud de votre corps — mais vous le savez je ne dors jamais très profondément. Je vous sentais bouger, et je compris vite que vous cherchiez à me réveiller en me caressant comme vous le faites délicatement mais en insistant sur ma tête, ma croupe, mon dos lorsque vous caressez votre animale. Je dors à mon collier, il vous suffit donc d'y enclencher le mousqueton de la laisse. Vous m'embrassez et me demandez de sortir du lit, que je me mette sur le tapis — vous n'utilisez pas le mot mais vous me voulez chienne. Je suis tendue mais accepte...*
Après quelques instants, restée à quatre pattes sur le tapis, vous me faites comprendre en agitant la laisse que vous souhaitiez que je
marche, vous me faites marcher à vos pieds et vous me félicitez en me caressant la tête.
Vous m'emmenez jusque dans la cuisine où le contact avec le carrelage froid finit de me réveiller. Vous remplissez d'eau une petite écuelle en
aluminium que vous posez au sol... Et
là refus je ne bois pas, je ne lappe pas.
Vous vous faites tendre, mais vous prévenez... il
n'y aura pas de verre, je vous regarde inquiète suppliante. Vous répétez
doucement,
- Cette assiette est à mon animal, elle est propre, l'eau y est savoureuse, c'est ici et ainsi que doit boire mon animal maintenant pour mon plaisir.
Je refuse, me cache le visage à vos pieds. Je refuse de boire comme un animale... là vous avez une idée de Maître tendre et déterminé.
Vous vous accroupissez près de moi, m'embrassez sur la joue, poussez ma tête sur
l'assiette, me mouillez le nez et les lèvres en m'enfonçant fermement mais sans violence dans l'écuelle.
Toujour ce même refus de boire, vous ne vous énervez pas et recueillez de l'eau au creux de vos mains et vous me les tendez. Je lappe, les gouttes précieuses. Une vague intense parcours ma colonne vertébrale... Vous me montrez l'assiette. Refus encore de ma part, inlassablement, vous recommencez à mettre de l'eau au creux de vos mains, expliquant, patiemment
- Regarde l'eau que tu aimes dans ma main est celle-ci, c'est là que tu dois la boire.
Je refuse l'assiette... je me colle à vous hésitante mais ni nerveuse ni effrayée... vous remplissez encore vos mains de quelques gouttes, à peine tendez-vous les mains vers moi, que je lèche joyeusement lorsque je finis le creux de votre main...vous remplissez à nouveau mais rester les mains au dessus de l'assiette. Je ne me méfie pas, je tends le cou pour boire dans vos mains... vous les ouvrez et laissez tomber l'eau dans l'assiette où je viens boire.
My Lord, je suis cette animale qui boit dans l'assiette... Votre tendresse a conquis sa confiance et lui permet de boire là au sol à vos pieds dans son écuelle de petite animale. Vous la caressez elle est heureuse. Vous connaissez votre animale, fidèle à ses origines, elle en a adopté l'attitude : Doux quand on me caresse, terrible quand on me provoque.
Mon rêve était si clair au réveil que j'étais certaine de trouver une assiette au pieds de mon lit ... et je fis attention en me levant de ne pas renverser l'écuelle d'aluminium et sa belle soucoupe.
En repensant à ce rêve, mon corps tressaillait secoué par le plaisir de vous appartenir, oui, il est doux d'être votre animale celui que vous dressez sans impatience tendrement.
* La règle N°5 que j'applique volontiers me protège de la désobéissance — La règle N° 5 est simple et met un terme à toute réflexion : Le Maître a toujours raison. Mais cela ne vaut que parce que le Maître est exceptionnel et offre à sa soumise ce qu'il appelle du tailor-made ce qui fait que je n'ais jamais d'autre solution que d'obéir. Maître me connait si bien grâce à leurs longues conversations quotidiennes où tous les sujets sont abordés...
© les textes appartiennent à Harmonysousmise et ne peuvent pas être utiliser sans son autorisation.
Merci.
Qu'il est troublant de se sentir toute petite, fragile, innocente... qu'il est troublant de redevenir une adolescente pour séduire son Maître.
J'ai rêvassé et voilà la douce histoire que j'ai imaginée...
Je m'imaginais enfant enfin jeune fille 15-16 ans et je vous rencontrais maintenant, enfin vous aviez votre âge actuel...et je tentais assez innocemmment de vous séduire... je vous demandais gentiment et poliment de m'aaprendre ce que je devais savoir... pour avoir un amoureux.
- Tu ne veux pas me faire aller en prison, il te faudra attendre 3 ans
- Mais je peux essayer de vous séduire même si vous ne succombez pas... mais je vous demandais gentiment et poliment de m'apprendre ce que je devais savoir... pour avoir un amoureux. Mais vous avez 56 ans j'en ai 16 et vous affirme que je n'ai jamais embrassé ou été caressée par un garçon.
- Voudrais-tu ?
- Oui, apprenez-moi à savoir ce qu'est un amoureux...
- Tentant mais pourquoi n'attends tu donc pas d'avoir 18 ans ( si tu as à 16 ans le charme de tes 20, alors, j'aurais été mal)
- Mais parce que les jeunes filles en 2010 ont un amoureux avant 18 ans... et que mes amies ont des amoureux...
- Oui mais il ne peut avoir 56 et je n'aurais pas aimé de voir te donner à un autre
- Monsieur, mon corps me fait peur alors je le cache sous de grandes chemises larges et les garçons de mon âge ne me regardent pas...ne me voient pas ou ne m'approchent pas, résultat je ne sais pas ce qu'est un corps d'homme... et je suis une jeune femme curieuse...
- Tu es vraiment tentante du haut de tes 16 ans, avec tes explications de femme
- Déjà trop maligne (?)
- Plutôt, oui
- Mais Monsieur, je veux savoir ce qu'est le corps d'un homme amoureux... c'est tout ce que je vous demande.
- Tu n'as pas la télévision ? Pourquoi me demandes tu cela, à moi ? Tu ne sais même pas que tu seras ma soumise plus tard ?
- Parce que vous êtes un homme qui n'est pas de ma famille... je ne regarde pas la télévision, on me dit que cela amoindrit la cervelle. De plus je
remarque que vous me regardez différemment des autres hommes...
C'est quoi une soumise, Monsieur ?
- C'est une jeune femme qui décide un jour, mue par un désir profond, un besoin intérieur, de se donner à un homme corps et âme et désire le servir comme une
esclave, une simple servante qui ne vit que pour l'honorer et obéir à ses moindres désirs?
Tu t'en apercevras bien assez tôt. Et je te regarde différemment parce que je sais que nous serons amoureux bientôt alors, tu peux
attendre, je commencerai ton apprentissage en temps voulu. Attendons au moins ta majorité, petite future soumise. Je ne vais quand même pas te prêter ! Pas déjà
!
- Me prêter ?
- Je ne peux le faire moi même et ne veux pas que ce soit un autre
- Alors j'attendrais 3 ans
- Reste sage en attendant, je m'occuperai de ta fleur
- Ce sera mon cadeau d'anniversaire...
- Et de ton éducation
- De ma fleur ?
- De ta virginité
- Et de mon éducation mais je vais en classe Monsieur...
- Je nourrirai ton esprit différemment avec tout ce qu'un jeune femme doit savoir pourservir son Maître, une éducation de Géiko soumise obéissante, docile, aimante, experte
- Vous savez je connais déjà le Japon, Monsieur...
- Alors tu comprends ce que je veux dire et nous ferons les travaux pratiques dans trois ans, tu seras ma chose, je t'apprendrais à te donner librement et t'apprendrais l'amour, je ferai ressortire la perversité que je sens en toi. L'amour, la perversité...
- Je ne comprends pas ce que vous dites Monsieur.
- Tout simplement que tu n'es pas faite pour un amour normal, aux normes de tout le monde. Toi tu as besoin d'être une esclave fière au service d'un Maître et ça change tout. Tu es faite pour vivre aux genoux d'un Maître et le servir
- Mais comment le savez-vous... ?
- Parce que je le lis en toi
- Je peux me mettre à vos genoux ?
- Tu vois que tu ne peux t'en empêcher !
- Dans trois ans, non seulement tu seras à mes genoux mais tu porteras mon nom. Tu porteras aussi ma marque et tu me serviras. Tu seras ma chose.
- Votre marque, votre chose... ?
- Tu porteras le symbole de ton appartenance.
- Comme moi, j'ai un Connemara,
- Tu seras ma femme-jument
- Vous vous m'aurez comme votre chose ?
- Et je te dresserai, tu seras ma propriété
- Je dresse mon cheval...
- C'est pareil
-Il m'aime, vous savez...
- C'est pour cela que je t'apprendrai l'amour
- Il mange dans ma main, il me suit, il n'a jamais peur de sauter un mur si je lui demande...
-Je te prendrai par la main et te guiderai. je t'apprendrai à obéir, à servir, à ne pas avoir peur et faire ce que je te dis comme ton Connemara
- Mais je ne suis pas un cheval...
- Tu es une centauresse, une femme-cheval, une soumise, je n'y peux rien tu es comme cela et je ne ferais que d te dévoiler ce que tu es.
- Et vous serez mon amoureux, c'est cela que je vous demandais ?
- Plus que ça, je serai ton Maître. Ton Maître amoureux, pervers moi aussi
- Alors j'attendrais mais le jour de mes 18 ans, vous cueillerez mon jardin ?
- Toutes les fleurs, je te déflorerais entièrement avec amour douceur et domination. Et tu te donneras...
- Vous me le promettez...
- Yes indeed
- Tu es rassurée ? Tu attendras ?
- Oui, Monsieur, j'attendrais.
- Alors tu peux continuer de rêver dans ton fauteuil, je sais que tu es à moi
- Comme j'aime l'idée de te posséder
- Mais il me faut attendre 3 ans... ? (sourire)
Tableau © Jean-Jacques Henner - Nymphe qui pleure.
Ce rêve serait -il la preuve d'une guérison latente, ce rêve serait-il une supplique ?
Je serais à quatre pattes au pied du lit, vous êtes là, vous tournez autour de moi... votre cravache chahute mes fesses, ma raie et mon sexe. Un coup brutal me secoue, vous aimez me cravacher violement les fesses, moi qui suis votre femme-jument. Tout s’arrête. Vous enfoncez dans ma bouche le mors que vous attachez serré. La cravache retombe sévèrement sur ma croupe. Vous n'entendrez pas mes cris, mes dents mordent le caoutchouc. La douleur est insoutenable. Votre main lâche la cravache et je la sens me caressant la tête. Vous tirez ma queue de cheval — quelle autre coiffure adopterait une femme-cheval — pour me faire lever la tête. Vous me fixez de vos yeux clairs, j'y vois l'amour derriere un regard vicieux, puis un sourire machiavélique apparaît à vos lèvres.
Alors, vous approchez de nouveau, maintenant vous m’attachez les mains et les pieds aux barreaux du lit, vous avez écartez mes cuisses largement. Mes fesses sont encore très douloureuses du feu de la cravache. votre main vient tendrement caresser mon sexe, insistant sur mon clitoris, je sens vos doigts me magniant de plus en plus fort. Votre main pince le bout de mes seins en les roulant entre vos doigts, les tirant, les écrasant. Vous prenez votre temps, vous avez plaisir à me malmener... Vous savez que je ne vous demanderai pas de cesser. Vous savez que je préfère pleurer en silence avalant mes larmes qui donnent à ma salive ce goût amer, me laissant un goût de sang, un goût froid de métal... Jusqu'où irez-vous pour vous assurer de ma soumission ?
Ai-je perdu connaissance ? Je n'attends plus rien, juste le bruit de vos chaussures que je vénére aussi, que j'aime lècher, frotter, faire luire... vous prenez soin de choisir vos souliers dont vous me laissez prendre soin... j'aime ces cuirs que vous choississez et dont le parfum m'enivre...
Pourquoi quittez-vous la pièce, que se passe-t-il ? J'entends des voix... je reconnais la votre mais je crois reconnaître aussi celle de ...
Je sommolais en vous attendant - Je n'ai pû m'empêcher de rêver...
© les textes sont propriétés de Harmonysoumise (soumiseB)
La lourde chaleur me donne des envies... Une est avouable, je m'imagine en esclave nue éventant mon Maître.
Et puis sortant lorsque la nuit apporte un peu de fraicheur, je garderai mon éventail pour en apprendre le délicieux language...
Au XVIIe siècle en France les femmes l'appelaient « l'utile zéphyr » ou « le paravent de la
pudeur »
Il me plait d'en imaginer de délicats en plumes ou en dentelle... que je pourrais porter inpudiquement... en position de soumise.
Quel serait l'effet d'une femme tenue en laisse par son Maître qui jouerait de l'éventail ?
M.L
Ma promenade dans la lande fut merveilleuse et douloureuse... comme vous le vouliez, je suis partie nus pieds sur les chemins caillouteux. à chaque croisement, j'ai abandonné un vêtement et
pudique je me suis retrouvée nue.
Comment me protéger, il ne me restait pour cacher ma nudité,que ces énormes et déchirants buissons d'ajoncs dorés, c'est là que je me suis réfugiée et c'est là que je fus caressée à sang par les ajoncs.
Comme j'ai aimé vous offrir ces griffures de la nature.
Votre soumise en sang.
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