Mes rêves de soumission

Dimanche 18 avril 7 18 /04 /Avr 22:34

Votre soumise à une nonne sévère était abandonnée.

Si vous n'avez pas lu le début 

Á peine fussions-nous arrives au couvent, que Mère Larme me fit jetée sans ménagement dans une cellule par deux solides nonnes contre lesquelles, je n’eus pas le courage de me révolter.

Quelques instant après , je me décidais à réagir, à comprendre… J’étais dans une cellule d’environ deux métres de large sur à peine 4 de long. Un soupirail me donnait de l’air et de la lumière. Un lit métallique et un crucifix constituait l’unique mobilier de la chambre, au sol une timbale d’eau semblait être mon unique luxe. C'est dans cette cellule que j'allais passer la nuit ? 

Rapidement, j’entendais la porte de ma cellule s’ouvrir. Une des nonnes qui m’avaient jétée ici revenait.

-       Mère Larme vous verra demain mais je dois vous préparer… Déshabillez-vous, je vais vous débarrasser de vos vêtements, vous devez vous présenter à notre Seigneur, nue. Vous avez de jolis cheveux, je ne veux pas les couper mais peut être que pour cela, je serais punie. 
Elle me caressait les cheveux en me fixant d’un regard qui me faisait peur..
- Pour dormir cette nuit abritez vous sous cette robe de bure. J’aime vos cheveux, j’aime vos yeux verts… Dépechez-vous, ne faisons pas attendre demain Mère Larmes. Allez quittez vos vaniteux tissus… votre peau blanche est votre plus bel atout pour vous présenter devant notre seigneur… Je reviendrais vous chercher à 4H, vous prierez avant de vous présenter au jugement de Mère Larme. Mais n'oubliez pas, nous ne sommes pour rien dans ce qui arrive, M.L. l'a souhaité. Ne l'oubliez pas, je crois que cela vous aidera.
Vous devez essayer de dormir.

Sa voix était douce. Elle s’approchait de moi, sa main me caressa la joue.
-       Il le faut… M.L. l’a voulu. Vous savez qu’il le faut.

Me suis-je endormie ou me suis-je évanouie , j’avais sombrée en pensant à M.L., dans mon sommeil je lui parlais : My Lord - Je vous devine souriant. De me voir craindre... loin de vous, sans votre main, pour m'apaiser, sans vos lèvres pour me caresser... 

My Lord, qu'il est parfois difficile de vous faire plaisir.

Je vais dormir. Caressant mes cheveux... les mêmes dont parfois je maudis la couleurs... ce soir, je me promets de ne plus jamais les décrier. 

Oui, 4h arrivera vite sans doute trop vite

Bonne nuit, My Lord.

Toujours est-il que je ne m’apercevais ni du depart de ma gardienne adoucie, ni de son retour.

-       Levez-vous, quittez cette robe de lin rêche, je dois vous passer les chaînes aux pieds…

-       Mais, pourquoi, je sentais sur mes joues couler des larmes…
-       Ne pleurez pas, vous attiseriez sa colère. Mère Larmes n’aime pas mes faibles. 
Elle me passa de pesantes chaînes autour des chevilles puis vint me lier les poignets derrière le dos. Mes poings reposaient sur ma fesse, liés par une corde de chanvre. Elle me glissait au cou une lourde croix de bois. 
- Vous êtes belle, soyez forte et vous retrouverez M.L. très vite, je vous en fais la promesse. Ne craignez rien de moi, je suis lourde, rebondie, vous me jugez laide mais je serais votre amie pendant votre séjour ici. Laissez-vous guider.

Elle posa un baiser sur mes lèvres. Et il ne me fut pas pénible. IL me réchauffait. J’avais moins peur. Elle me prit par le coude et lentement, je voyais quelle rythmait son pas sur le mien pour que je ne me blesse pas avec les chaînes qui empêtraient mes pieds.
-       Je vous emmène à la chapelle, si je peux vous donner un conseil, fermez les yeux en entrant et laissez-moi, vous guider.

Bien sûr, je n’écoutais pas son conseil et entrais dans la chapelle, les yeux grand ouvert, quelle folie. J’avais sous les yeux une chapelle lumineuse embellie de centaine de cierges allumés et une audience de nonnes et de moines que j’entendis murmurer lorsque je rentrais.
Deux moines s’approchaient. Leurs habits ne les empêchaient pas de me jauger, l’un me palpait les fesses, l’autre les seins et dans un éclat de rire, ils firent le même commentaire.
-       M.L. avait dit vrai.

Un moine de chaque côté, j’avançais vers l’autel. Lorsque je fus devant, ils me demandèrent de m’allonger sur le sol de pierre. Je le faisais sans sourciller, je ne pouvais pas renoncer, je ne pouvais pas me révolter M.L. le voulait. Alors que j’étais au sol, transie par le froid. Je sentais sur mon dos un poids, que je n’identifiais pas immédiatement… puis reconnaissant la caresse du bois puis devinant sur mon dos et mes épaules la croix. C’était sous le poids de la croix. J’entendais les murmures des prières. Puis à toutes voles les cloches se mirent à sonner.Je sentais le poids de la croix me libérer puis tout mon corps soulevé. Un homme, énorme, fort, trop fort me déposait sur l’autel… et il approchait un cierge allumé…

Alors que les nonnes et les moines continuaient de dire leurs prières, celui que je baptisais mon bourreau me maculait de cire chaude, mes seins, mon ventre, mon sexe recevait la brûlure de la cire chaude…

Je mordais mes lèvres pour ne pas hurler, mais bientôt je ne pu retenir mes cris. Et là comme électrisé par mes cris, il riait et redoublait de zèle encouragé par la mélopée des priants. Chaque goutte de cire chaude me tordait, me ployait. C'est alors que j'hurlais sous les brûlures du cierge, que Mère Larmes entra et s'approcha de moi.

- Ma pauvre enfant, rendez grâce, donnez votre âme à notre Seigneur. 

- Non, ma Mère, j'ai choisi de servir un autre Maître que le fils de Dieu. 

- Etes-vous sure ma fille, de vouloir endurer ces souffrances, juste parce que vous lui appartenez, juste parce que vous le servez ? 

- Oui, ma Mère , rien ne me fera le trahir, je suis son esclave. 

- Ma fille, réfléchissez bien, vous vous exposez à de cruelles tortures : le fouet, la croix... les privations. 

- Ma Mère, je mourrais aussi si je le trahissais alors j'accepte de souffrir. 

Elle fit signe à mon bourreau – Détachez là et qu’elle soit attachée debout devant l’autel.

C’est ainsi que je me retrouvais debout, jambes écartées, chevilles et mains liées à l’autel.
Mon dos faisait face à l’assemblée, Mère Larmes me regardait dans les yeux. Puis fit signe au bourreau, juste un oui de la tête…
Je n’avais pas eu le temps d’imaginer ce qui pourrait maintenant m’arriver que mon dos était en feu…

Je reçus un coup de lanières de cuir sur les épaules qui me fit Presque perdre connaissance.
Je me ressaisissais, fixait la Mère supérieure. Elle levait sa main…
Je compris que cela signifiait 5 coups de plus… Les religieux comptaient les coups donnés par la brute. Je mordais ma langue, mes lèvres… j’allais mourir, succomber, mais je ne renoncerais pas…
-       Ma fille, invoquez notre seigneur Jésus-Christ… 
Mon corps tremblait, de douleur, de froid, de rage.

-       Non, ma Mère, je n’ai qu’un Maître.

Elle allait ordonner à cette brute de me tuer. Elle leva les deux mains et je reçus dix coups de plus. Je sentais des gouttes chaudes couler sur mon dos, il devait être sanguinolent, lacéré par le cuir.

-       Renoncez mon enfant.

-       Non, ma Mère, je préfère mourir.

Elle leva les deux mains et tourna le dos à l’autel…

Un murmure d’angoisse parcoura l’assistance des religieux. Quelques sœurs pleuraient.

Puis je reçu 22 coups brutaux avant de m’évanouir.

Je sentais des lèvres sur les miennes. Un souffle, des larmes sur mon visage…

-       Ma sœur, réveillez-vous, ne mourrez pas, réveillez-vous,

C’était mon amie , la sœur qui m’accompagnait dans ma pénitence.

-       Buvez, reposez-vous, je vais vous passer des onguents dans vos plaies. Il faut que vous dormiez… ils vont revenir vous chercher pour la prochaine épreuve. N’ayez plus peur, ils ne peuvent plus rien contre vous…
-       Une autre épreuve ? Mais je suis incapable de me tenir debout…
-       Je sais mais c’est ce qu’à décidé Mère Larmes. Pour le reste de la journée, ils vont vous attacher à la croix de pierre du jardin du monastère, en plein soleil… et si vous réclamez à boire, ils vous donneront de l’eau au jet… votre corps sera mouillé et brûlé au soleil… et vous resterez là jusqu’à ce que votre Maître revienne vous chercher. Alors, ma sœur, implorez-le si, vous lui faites tellement confiance. Qu’il vienne vous sauver avant que vous ne mourriez sur la pierre. Je ne peux plus rien pour vous. Dormez…

Je me retournais pour lui offrir mon dos, elle passait de la graisse sur mon dos, le plus tendrement possible. Elle m’embrassait les plaies lorsque cela me faisait trop souffrir. Elle me caressa le sexe.

-       Ma sœur, c’est pour vous aider à supporter les blessures. Mais dormez et priez votre maître. Je n’ai pas le droit de vous nourrir.

J’implorais mon Maître, je me jurais d’être à ses pieds, sa fidèle soumise, je l’implorais.

- My Lord, venez me chercher, venez Maître, me poser mon collier, me mettre la laisse et emportez-moi comme votre animal, loin de cet enfer.
-       Priez-le, ne cessez une seule seconde de penser à votre Maître. Il est l’heure, je dois vous conduire au jardin…

- Une dernière chose, ne me jugez pas. J’avoue que j’étais moi-même soumise conduite ici par mon Maître, je n’ai pas su résister. Je suis devenue une servante du Christ et me suis maudite. Sachez que je prierais chaque jour pour vous, pour votre soumission.
-       Merci, ma Sœur.

Je me levais, je trébuchais, mon corps brûlait des douleurs affligées.

-       Mon Maître va me sauver, il vous sauvera aussi, partez avec nous !

-       Non, belle soumise, je ne peux pas trahir une nouvelle fois. Je resterais ici au service de Jésus. Marchez doucement, tenez-vous à moi. La pierre vous fera du bien, elle rafraîchira vos blessures. Buvez déjà ce grand verre d’eau… il est maintenant midi, le soleil au zénith chauffera vite votre peau. Fermez les yeux, et croyez en lui.

-       Je crois en mon Maître, merci ma sœur.

Tout se déroula comme elle me l’avait décrit. J’étais enchaînée au pardon de pierre… Lorsque je murmurais, implorant à boire. Je recevais des seaux d’eau glacée que des moines remontaient du puit. J’étais tantôt transie de froid, tantôt brûlante sous le soleil… je n’avais plus de notion du temps.

Je crois que j’étais évanouie debout ou divaguant. La seule pensée que j’étais capable d’avoir encore… se résumait ainsi.

-       Maître, je suis à vous, je suis votre esclave. Maître, je suis à vous, je suis votre esclave. Maître, je suis à vous, je suis votre esclave. Maître, je suis à vous, je suis votre esclave. Maître, je suis à vous, je suis votre esclave. Maître, je suis à vous, je suis votre esclave.

Je ne peux pas dire comment, quand…

Mais ce soir, je suis sur ma couche, collier au cou, repue de pommes que j’ai mangé dans la main de mon Maître. Mon dos me fait souffrir malgré les soins que mon Maître m’a prodigués. Malgré ses baisers…

Ce soir, je peux le dire fièrement. My Lord, je suis à vous envers et contre tous ! 

Par Soumise B. - Publié dans : Mes rêves de soumission - Communauté : salope soumise
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Vendredi 9 avril 5 09 /04 /Avr 14:56

Se prendre pour une jument, ramper, manger dans la main de son Maître... 

Etre cruxifiée ... 

Etre fouettée par une vieille nonne acariatre et perverse

Etre possédée par un ange.. 

Quelle folie certe mais quel bonheur.

N'essayez pas de me faire croire que les anges n'existent pas, je suis certaine, qu'il y en a, au moins un qui est sur terre et il me fait hurler de plaisir. 

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Par Soumise B. - Publié dans : Mes rêves de soumission - Communauté : Reflets de Femmes
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Mardi 6 avril 2 06 /04 /Avr 10:08

Il ne m'était encore que peu arrivé de rêver ma soumission... cemment jai fit un rêve où mon Maître apparaissait et je suis troublée de ce rêve de séance... 

Qu'en aurait déduit le père de l'analyse de notre intimité, l'initiateur de la pulsion, aurais-je été pour Sugmung Freud, une de ces hystériques féminines en proie à ces refoulements sexuels ? 

Je vous raconte mon rêve que je tente toujours d'analyser... 


M.L m’avait donné rendez-vous sous la Tour Eiffel, là il y avait moins d’hommes d’affaires mais pas moins de monde que sur l’esplanade de la Défense. Comme à son habitude, M.L. avait donné quelques consignes vestimentaires à suivre : pas de sous-vêtements exception faite des bas. J’arrivais donc 5 minutes avant l’heure — j’aime être là et voir arriver mon Maître, il est toujours ponctuel et d’un calme absolu. Comment fait-il ? — et me mettais comme prévu à proximité de la file des touristes qui veulent escalader la Demoiselle, que dis-je la Dame de Paris.
Il arrivait à l’heure sonnante, quel sourire merveilleux, j’adore croiser de loin son regard et recevoir son sourire, c’est un cadeau inouï. Pour moi, c’est comme un rayon de soleil, un jaillissement, lorsque je croise son regard de loin, lors de nos retrouvailles. Nous nous rapprochons et sans un mot, j’ai besoin de rester un moment dans ses bras, de le retrouver d'être près de lui, avec lui, là pour lui, à lui. C’est un instant particulier, me retrouver contre lui, dans ses bras, sans un mot pour je ne sais pas le dire : une minute, deux, plus, moins qu’importe. L’intensité de cet instant est grisante, exaltante. C’est comme si, une bulle nous enfermait dans un espace intemporel, je ne vois plus personne, je n’entends plus rien, je suis à lui, rien qu’à lui. Puis, je redescends de mon nuage, sur terre de nouveau,  je le regarde, l’embrasse et la vie reprend son cours. 
Là au milieu de la foule de touristes, M.L glisse sa main sous ma jupe. Quelle ne fut pas ma surprise, ma gêne, mon excitation… on pouvait voir, sa main sous ma jupe caresser mon cul nu.

- Mais ! osais-je !

- Mais, quoi ? me dit-il en me fixant de son regard profond.

En effet, mais quoi, mais nous étions au milieu de la foule, mais je n’avais pas de culotte sous ma jupe, mais M.L. avait glissé sa main et soulevé ma jupe, mais mes fesses pouvaient être vues , mais qui s’en serait aperçu ? 
En effet, je devais être bien prétentieuse de croire que j’étais ou aurais pu être le point d’attraction de cette foule. Je venais d’apprendre que mon Maître pouvait me caresser les fesses nues dans la rue sans que quiconque ne s’en aperçoive. M.L., maintenant, passait sa main sur mon abricot mielleux et je sentais mes joues s’empourprer.

-       Vous désirez, ma soumise !

Comme était troublante la découverte de ces « pires » plaisirs — c’est l’expression de mon Maître, je savoure l’ironie de celle-ci — vers lesquels me promettait de m’emmener M.L. Cette main se promenant sous ma jupe avait, je dois l’avouer, mis le feu à mon corps. Je regardais mon Maître d'un regard trouble et il voyait bien dans mes yeux, ce feu qu’il avait allumé, ce désir fou et fort qui vivait en moi.

- Je crains, chère soumise, ne pouvoir vous offrir ce que vous désirer ici !

Il s’amusait de me voir ainsi excitée, désirante, il appréciait de me voir lâcher prise, oublier la bienséance. Il me prit fermement par le bras.

- Venez ma soumise …

Il m’emmenait dans un lieu merveilleux… je n’ai pas pu m’empêcher de frémir lorsque je vis par la fenêtre la Tour Eiffel. Je m’approchais de lui, me mis à ses genoux pour le remercier. Il me caressa les cheveux et sortait de sa valise des cordes, je sentais la douce et végétale odeur des cordes de chanvres.


corde

- Déshabillez-vous, je veux vous voir nue, sur le lit, allongée sur le ventre…

 

M.L était doux mais ferme, c’est une constante de son caractère.

Pour ne pas lui déplaire, je me dépêchais de me dévêtir, de me rafraîchir et de revenir nue sur le lit .

- Mettez vos mains dans votre dos et ne bougez plus…

Je l’aurais voulu que rapidement je n’aurais pû effectuer le moindre geste. M.L. avec de savants tours de cordes m’immobilisait. J’étais un reptile sans main, sans bras, sans jambe….
- Ouvrez la bouche !

M.L. me fermait les lèvres avec un bâillon métallique qui me laissait la bouche largement ouverte.

- Maintenant ma soumise, venez me rejoindre au salon.

Comment pouvais-je le retrouver ? La seule solution était de me laisser rouler sur le sol et de ramper… ramper vers mon Maître. C’est ainsi que j’arrivais à ses pieds… rampante, salivante, folle de désir… je me frottais le corps sur ses pieds, ses jambes… je voulais qu’il me caresse, me pince, me plie, me torde.

-       Mais ma soumise !

Ce furent les derniers mots de M.L dans mon rêve. Mon réveil ponctuellement cruel, sonnait !

 

© Copyright - Les textes appartiennent à Soumise B, merci de ne pas les copier sans son autorisation. 

 

Par Soumise B. - Publié dans : Mes rêves de soumission - Communauté : salope soumise
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Jeudi 11 février 4 11 /02 /Fév 21:21

Devant une énorme porte de bois cloutée, elle fut abandonnée.

Rapidement, la porte s'ouvrait lentement, une voix résonnait

- Entrez ... n'ayez pas peur, ne craignez rien. Approchez-vous, montrez-vous, j'espère que vous avez repris des forces, que votre peau est redevenue blanche, douce et ne porte plus ces horribles traces de chaines. Approchez-vous, parlez-vous ou avez-vous fait vœux de silence ?

- Je parle si je pense que cela a un sens.

- J'aimerai que vous y trouviez sens alors....

- J'essaierai

  - D'abord, quelques régles soumise b : Vous m'appellerez M.L. comme tout le monde ici, je crois que vous avez déjà fait connaissance avec habitants du lieu : six juments, une jeune homme Matheus, votre serviteur et Philinia, votre esthéticienne et maintenant, je me présente votre Maître M.L. J'espère que vous ne vous ennuierez pas avec nous. Aimez-vous les chevaux, soumise B ?

- Je les vénére M.J !

- Contentez-vous de les aimez et vénérez-moi , soumise B.

- Mais

- Evitez, s'il vous plait ces mots qui me peinent... me vénérerez-vous ?

- Oui, M.L.

- J'en étais sur, lorsque vos yeux m'ont fusillé sur le marché, je savais que vous n'aviez pas de haine envers moi.

- Je n'en ai pas, M.L.

JGHamiltonEtalon Noir pie Elv EisgruberMini - Venez, nous sommes déjà en retard, vous savez chaque jour, j'aime aller me promener, chaque jour, j'aime chevaucher à travers les près, les bois... Aujourd'hui, vous m'accompagnerez. Je vais vous faire seller un cheval, j'ai un étalon noir pie splendide qui vous conviendra à ravir. Vous n'avez pas peur d'un étalon, soumise B.

- Non, je n'ai pas peur, M.L.

M.L claqua des mains et subitement Matheus était là.

- M.L., le cheval de votre esclave est prêt !

- Ne vous fâchez pas soumise b, ne le tuez pas si vite, soumise b, Matheus a raison, vous êtes mon esclave... mon unique et chère esclave. Personne ne vous manquera de respect, je vous le promets mais votre titre est bien : l'esclave de M.L. Personne à part moi, ne vous appellera soumise B.

- Bien, M.L.

Je suivais M.L. dans l'écurie de l'étalon, que je n'avais pas vu bien sûr, puisqu'on le tenait à l'écart de mes compagnes les juments...

En écriture....

 

 

Par Soumise B. - Publié dans : Mes rêves de soumission - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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Mercredi 10 février 3 10 /02 /Fév 21:01

Soumise B venait de rejoindre l'écurie de M.L. Elle vivait  maintenant  en compagnie de six magnifiques juments.

M.L., l'avait acheté et depuis son arrivée, soumise b n'avait rien vu d'autre qu'une magnifique salle de bain et les écuries. Elle avait les yeux bandés chaque fois que l'on venait la chercher... Chaque jour, un homme qui n'était 37-Lecomte-du-Nouy-L-esclave-blanche--1888-copie-1.jpgpas M.L., venait la chercher dans l'écurie, comme elle y vivait nue, il la recouvrait d'une cape d'un lainage noir et épais il lui mettait un bandeau sur les yeux, relever la capuche de la cape et la conduisait doucement vers cette salle de bain.

Elle traversait une grande cour pavée et plus tard montait de nombreuses marches, qu'elle identifiait en pierre car cela était si froid sous ses pieds nus... Lorsque qu'elle avait atteint la salle d'eau, un splendide lieu de céramique et de mosaïque ornées, l'homme la dénudait et la confiait à une femme mi-infirmière, mi-esthéticienne, qui réparait, préparait le corps de soumise b Massage, gommage, soin, épilation, onguent, crème... Soumise b était épilée, douce. Ses cheveux avaient été raccourci, et lissés maintenus en un beau chignon, son cou ainsi dégageait semblait plus long.

Soumise b comptait déjà 4 longs jours qu'elle était là, vivant nue dans l'écurie et recevant ces soins chaque jour, des mains de cette femme qui était ferme, juste et sans ambigüité.

4 longs jours pendant lesquels elle n'avait pas revu M.L., pendant lesquels elle n'avait plus entendu sa voix. 4 longs jours à vivre comme une jument. Soumise b croyait voir changer son corps : sa peau était plus belle, plus blanche, plus douce, le grain plus lisse... mais elle sentait aussi sa croupe s'arrondir, ses reins se cambrer... ses jambes se raidir, son pas s'allonger... que se passait-il dans le corps de soumise b, quelles transformations subissaient-elle ?

Soumise b ne voyait pas M.L. mais elle voyait chaque jour, une jument être préparée, soignée, sellée puis être conduire hors de l'écurie à la longe. Cette jument élue d'un jour, ne revenait à l'écurie qu'après de longues heures et lorsqu'elle revenait son corps écumait. Elle transpirait... son souffle témoignait d'une longue course...

Soumise b mangeait peu; elle n'avait pas l'habitude de se nourrir essentiellement de flocons d'avoine et de fruits. Seul extra à son régime, le lait qu'elle était autorisée à boire... Chaque jour, avoine, pommes, raisins, lait lui apportaient l'énergie de vivre. Couchée nue à même la paille, elle dormait peu...

march--aux-esclaves-de-jean-l-on-GEROME-copie-1.jpgSi les soins faits à son corps l'embellissait, son séjour à l'écurie l'affinait...

6 jours et toujours pas de changement... Elle s'endormait en larmes, la solitude lui pesait, elle aurait voulu voir cet homme qui l'avait achetée au marché aux esclaves, lui épargnant l'humiliation de l'examen d'esclave, palpation, regard appuyé... elle aurait voulu entendre la voix qu'elle avait entendu convenir de son prix, de sa valeur... elle se souvenait que M.L. n'avait pas essayé de faire baisser le prix, payant rubis sur l'ongle, le prix demandé par le marchant qui l'avait kidnappée et qui se remplissait ainsi les poches de monnaie sonnante et trébuchante.

Au matin, du 7e jour, les premiers rayons du soleil baignaient le visage rougi par les pleurs, lorsque est entré dans l'écurie M.L., le Maître en personne

Le rituel  ne changea pas, comme chaque jour, soumise b eu les yeux bandés et fut protégée par la cape... puis conduite à travers la cour au grand escalier, puis confier à son infirmière. Il semblait à soumise b, que les soins étaient plus précis, son corps avait eu une étonnante sensation en présence de M.L. Quelque chose de plus solennel... de plus troublant.

Elle fut pour la première fois de son séjour, parfumée, maquillée... Mais resta nue. On la conduisit sans son bandeau à travers de longs couloirs, elle entendait de la musique, celle d'un petit groupe de musiciens baroques...

Devant une énorme porte de bois cloutée, elle fut abandonnée.  (à suivre)

 

Par Soumise B. - Publié dans : Mes rêves de soumission
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Samedi 6 février 6 06 /02 /Fév 23:49

Peu vêtue, enchaînée, épuisée, soumise b arrivait pour la première fois de sa vie sur un marché aux esclaves.

Dans ce port, toute l'humanité s'y croisait : riches armateurs, colporteurs, voyageurs, dans un brouhaha infernal d'odeurs, de cris, de poussière. Elle ne sentait plus son corps, affaiblie par le chaleur, les chaînes, l'humiliation, elle se laissait pousser par son infortunée compagne de boulet. Elles étaient des centaines comme elle à attendre de changer de Maîtres.

esclave-gerome.jpgSur cette place, elle le vit rapidement, cet homme différent, magistralement imposant... pourtant elle n'en eu pas peur. Il fit le tour du groupe de femmes qui entourait soumise b. Il palpait un sein, une cuisse, pinçait le téton de l'une, caressait la fesse d'une autre. Cela révulsait soumise b, n'être qu'un animal de foire... elle s'enfermait dans une froideur hautaine qui éveillait aussitôt le respect des autres femmes. Soumise b n'était ni la plus belle, ni la plus jeune, encore moins la plus grande pourtant autour d'elle se faisait le silence, une aura particulière  rayonnait.

Elle avait entendu un compagnon de voyage crier son nom

- ML, je vous retrouve ici dans une heure... je vous laisse faire votre choix.

Il s'approchait d'elle, elle le fixait , le regard froid.

  ML ne s'y trompait pas, ce n'était pas de la haine qu'il lu dans ces yeux là. Il ne se livra pas à sa palpation, il négociait avec le marchand le prix de soumise b. Affaire conclue, elle était maintenant à lui. Soumise b fut détachée, salua quelques consœurs avant que ML ne lui passe non pas des chaînes mais un collier et une longe.

Il la fit avancer, traverser la ville sans lui dire un mot et elle monta à bord de son bateau, ML la fit entrer dans la cale où elle alla rejoindre, les autres emplettes du jour de M.L. Soumise B du se trouver un petit espace où elle pu s'assoir dans la paille. Rapidement ces nouvelles compagnes s'approchèrent d'elle, pour faire connaissance.

Soumise b venait de rejoindre l'écurie de ML. Elle était l'unique femme et allait vivre avec six magnifiques juments.

 

Par Soumise B. - Publié dans : Mes rêves de soumission - Communauté : PLAISIRS BDSM
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Dimanche 3 janvier 7 03 /01 /Jan 01:41

CentauressedeCourtet.jpgChaque fois qu'il arrive, c'est la même chose, la même sensation....

Une délicieuse douleur dans le bas de mon dos, juste à la naissance de mes fesses, fait naître une vague d'émotions. Je me sens me cambrer, ma croupe se tend... mes jambes s'arquent. Mes seins gonflent, mes tétons durcissent. Un désir fou d'être nue, de me mettre à quatre pattes, de me rouler dans l'herbe.

Je ne sais pas comment, pourquoi mais mon corps est secoué de spasme, je me sens devenir animal. Mes cheveux deviennent crinière, j' ondule de la croupe, je me sens devenir femme-cheval. J'ai envie de "m'étrangler au vent du galop", de hennir de fureur, je sens ma respiration se transformer, l'air chaud sort de mes nasaux, je tente de ruer... Mais déjà je sens le mors dans ma bouche, et le licol m'emprisonner le poitrail.

plug-horseMon Maitre s'approche, me murmure à l'oreille, pose sa main sur ma croupe et glisse la cravache sur mon sexe,  ses gestes sont lents, il peigne ma crinière, il écoute respirer mon excitation et sent mon corps raide tout le long de mes hanchesMon Maître pince fort mon téton, pour me calmer, mais il amplifie le trouble. Mes yeux le dévorent. Je sens le désir me brûler le corps, mes muscles se nouent, mon corps durcit.

Sa main caresse doucement mon cul , une claque ferme vient chauffer mon galbe... je suis offerte, mon bouton magique durcit, mon sexe mouille... mon anus se dilate... Mon Maître aide la transformation en m'enfilant — sans hésiter malgré mes gémissements — horsebuds3.jpg le plug.

  Avec cette véritable queue de cheval, je perds la raison, je n'ai plus qu'une idée, le servir être sa jument : qu' il passe derrière moi,  glisse son sexe entre mes fesses,  câliné entre mes muscles fessiers.

Qu'il me domine, qu'il me dresse, qu'il me chevauche. Qu'il découvre alors cette sensation magique, envoûtante de la monte, celle d'entrer dans le corps de son cheval, comme celle du corps du cheval qui vit en lui.  Qu'il crée ce lien invisible et pourtant inaliénable du cavalier et de sa jument. Qu'il fasse naître cette scabreuse harmonie de l'homme et de l'animal.

  J'ondule, je suis la Centauresse. Je brûle, me déchaîne, me cabre, me cambre, rue... le plaisir m'envahit, je balbutie, je vais hurler, non !  Je finirais par hennir pour lui dire que je viens de jouir.

Copyright de Soumise B, toute copie doit faire l'objet d'une demande d'autorisation

Par Soumise B. - Publié dans : Mes rêves de soumission - Communauté : REALISEZ ENFIN VOS FANTASMES!.
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Mardi 29 décembre 2 29 /12 /Déc 02:21

ange9-copie-1.jpg Savez-vous qu'un ange me nourrit  de ses mots et le croiriez-vous si je vous disais que je dialogue avec un chérubin, un ange, un être surréel  ? Que diriez-vous si j'avouais que je l'attends des heures, des nuits, des jours... que je me languis, que je me meurs en son absence. Que mon esprit et mon corps se pourrissent de cette attente. Que mes sens se troublent à son souffle : je le connais si bien, sans doute, un peu moins qu'il ne me connaît ou qu'il me sent... Jamais je ne me suis sentie si belle, si féminine, si troublée et troublante.

Il arrive dans un souffle dans mon cou.  Je suis dépendante, le savez-vous ? Il me possède, j'ai besoin de lui, de ses mots,  il hante mes pensées, fait naître mes pensées érotiques. Je l'imagine de ces ailes m'enlaçant.. Il est nu, derrière moi et ces ailes m'ont entourée...
- C'est grave,  je perds la raison.
Si je m'alerte, il rit : - A ce point ? 
Si je lui dis que je vais m'enfermer dans une cathédrale, il invoque Jeanne d' Arc  et craint une fin dans les flammes.
Mais dois-je craindre une fin dans les flammes,  y a t-il plus belle mort que celle par le feu ? Sentir son corps dévoré par les flammes comme moi, je sens mon corps dévorer par le feu de la passion naissante.
Mon ange me rappelle à l'ordre :

- Le feu, non le désir..
- N'est-ce pas aussi un feu que celui du désir, non ?
- Bien sur
- Vous voyez, je ne suis pas loin d'être dévorée par le feu...
- un feu qui te dévore, qui rend ton ventre ivre,  laissant s'écouler le plaisir perlant à la porte de ton désir 

- oui, un feu qui enveloppe mon corps, embrume mon esprit et mets mes sens en folie, envahie par le délice. Quelle réjouissante lascivité, quelle délicieuse impudicité !

- Le pouvoir des mots
- Maintenant, je voudrais voir vos yeux embrumés et embrasser vos lèvres chaudes. Disparaitre dans vos bras et mourir .
- Mais ce n est pas le destin d'un ange
- Je finirais par haïr les anges... (sourire). Vous allez encore disparaître ?
- Il n y a qu'un chemin
- Et me laisser ce grand vide... celui qui se remplit de la peur de ne plus sentir
de ne plus lire vos mots. Ce grand vide, que je remplis du souvenir de ces instants jaillissants. Quel trouble...
- Je ne veux pas être la cause de tristesse
- Qu'importe ma tristesse, ces instants de bonheurs partagés ont un prix
celui de ma mélancolie.
- J'en suis désolé
- Fait-on impunément l'amour avec un ange ?
- Je dois m en aller, à... 
- A plus tard... un jour, une semaine, une nuit, un rêve, un an, j'attendrais et je sentirais de nouveau son souffle sur mon cou, sa main sur mon sein.

 

Mon fauteuil club est idéal et confortable, on s'y assoupit facilement et voluptueusement. Rien d'étonnant que je vous dise que j'aime un Ange. 
  

 

Par Soumise B. - Publié dans : Mes rêves de soumission - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Dimanche 27 décembre 7 27 /12 /Déc 22:16

Oui, je la méritais cette fessée...

Je le savais, je le devinais en voyant son visage blanc aux traits tirés. J'avais dû lui déplaire, manquer à mon rôle. Pendant le week-end, je vis avec mon amie Velika, ma vie de jument. Maître A oublie quelle femme, je suis et s'occupe de ses deux pouliches.

Maître A est tendre mais ferme, pendant ces deux jours, je suis femme-cheval et je ne dois pas l'oublier. Aujourd'hui, j'avais dérogé aux règles, après notre promenade. Velika sort la première se détendre dans notre pré, quel bel animal, elle est. Puis c'est à mon tour... nue, mon Maître m'apprend à accepté le mors et la longe...                                                                                    

Le mors est placé dans ma bouche pour me conduire et régler mon allure. En règle générale, mon Maître utilise les mors dont l'action est la plus douce possible.

Je commence à marcher avec un joli pas... je lève mes jambes de plus en plus haut de manière élégante... Mon Maître me félicite en me caressant chaleureusement la croupe. Ce matin, c'est pendant près d'une heure qu'il m'a fait marcher au pas. Mais il pleuvait et de la boue m'éclaboussait. C'est sans doute la cause de son mécontentement... Lorsque nous sommes rentrées au box, pendant que mon Maître est allé se changer j'en ai profité pour me laver au jet.

Il n'a pas supporté... A-t-il déjà manqué de prendre soin de ses animaux ? Comment avais-je osé le priver de prendre soin d'une de ses juments préférées, comment avais-je pu le priver de bichonner sa pouliche.

Puisque j'étais redevenue une femme, et non obéissante, il me punirait comme on punit les femmes : en m'administrant une bonne fessée.

Il me fit me pencher sur ses genoux, poser mes mains sur le sol, et lui offrir mes fesses. J'attendais , cette fessée je l'avais méritée. Je méritais d'être couchée sur ses genoux pour m'apprendre la discipline.

Il m'a demandé de me relever, il m'a embrassé délicatement les lèvres  et m'a sourit. Tu le mérites, tu sais que je dois te l'administrer cette fessée. Il m'a sèchement de nouveau pliée et couchée sur ses genoux et fait claqué la première frappe sur ma fesse. Je sentais mon derrière devenir chaud et rouge à chaque nouvelle claque qu'il me donnait sans faiblir.

Mon cul me brûlait :

- tes fesses sont rouges et gonflées. As-tu mal ?

- Oui, Maître j'ai mal mais je l'avais mérité.

- Viens, je vais te passer de la crème pour apaiser la douleur, je sais que tu n'es pas masochiste, mais tu dois savoir que toute désobéissance à une conséquence...

- Oui Maître, je suis désolée de vous avoir déçue.

Il me badigeonnait délicatement le postérieur  avec la crème à l'arnica... La caresse de ses mains sur ma peau était douloureuse mais je sentais sa tendresse et je me suis abandonnée, mon sexe était chaud et humide. Je ne savais plus si c'était vrai ou si je rêvais. Il me prie dans ses bras, me donna un fougueux baiser et me posait dans le foin.

- Dors mon animal, dors maintenant me murmura-t-il à l'oreille.

Je m'endormais vite en compagnie de Velika qui s'était approchée.

Par Soumise B. - Publié dans : Mes rêves de soumission - Communauté : chienne soumise
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Mardi 15 décembre 2 15 /12 /Déc 01:41

Les anges cela n'existent pas.

Mais si par hasard, un jeune homme bien élevé, joli garçon et désireux de vous faire hurler de plaisir insiste à vous le faire croire, n'insistez pas... et dans un moue dubitative affirmez :

– Et pourquoi pas ?

Pourquoi, ne pas y croire et savoir que cet archange n'est pas fait pour rester à côté de vous pour la vie mais que si, il veut venir se poser de temps en temps... là dans un coin de votre bibliothèque — chaque fois que l'insomnie vous surprend— entre la Colère de Zoe Valdes et le Kamasutra, il y aura toujours un peu de lumière pour qu'il veille à ne pas se briser les ailes à l'atterrissage.

Ne craignez pas que l'on vous prenne pour une extravagante car vous êtes certaine qu' il laisse en partant comme un parfum intrépide et envoûtant, un peu comme si l'on libérait  de l'Eau d'Anis, du Lierre, de l' Absinthe, du Bois de Cashmere, du Bois de Violette, de la Fleur de Violette, du Bois de Cèdre, du Ciste, du Musc, du Vétiver et du Bois d'Olivier... ne dites rien et parfumez chaque matin votre mouchoir de ce délicat effluve.

Si vous saviez ce que c'est bon de sentir son souffle sur votre nuque... ses lèvres chaudes sur le lobe de votre oreille qu'il tétouille comme un chaton.

Je ne vous dirais rien de la brulure que provoque sa main chaude sur votre sein... et met votre corps en émoi.  

Il vous a  demandé de ... oui , et vous l'avez suivi et vous vous êtes mordue pour ne pas hurler votre plaisir et vous avez ramper à ses pieds, vous l'avez supplié et puis n'en pouvant plus votre corps a explosé et vous avez hurlé de plaisir, et il a disparu vous laissant un goût de bonheur merveilleux sur le cœur.

Comment osez-vous encore dire que les anges n'existent pas ?

Vous ne me croyez pas ? Je vous assure que si vous pouviez voir mon sourire maintenant alors qu'il vient de m'abandonner en me souhaitant des rêves torrides, vous n'auriez pas de doute.

Un ange existe et c'est un amant merveilleux !

 

Par Soumise B. - Publié dans : Mes rêves de soumission - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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