Partager l'article ! Je méritais cette fessée...: Oui, je la méritais cette fessée... Je le savais, je le devinais en voyant son visage blanc aux traits ...
Oui, je la méritais cette fessée...
Je le savais, je le devinais en voyant son visage blanc aux traits tirés. J'avais dû lui déplaire, manquer à mon rôle. Pendant le week-end, je vis avec mon amie Velika, ma vie de jument. Maître A oublie quelle femme, je suis et s'occupe de ses deux pouliches.
Maître A est tendre mais ferme, pendant ces deux jours, je suis femme-cheval et je ne dois pas l'oublier. Aujourd'hui, j'avais dérogé aux règles, après notre promenade. Velika sort la première se détendre dans notre pré, quel bel animal, elle est. Puis c'est à mon tour... nue, mon Maître m'apprend à accepté le mors et la longe...
Le mors est placé dans ma bouche pour me conduire et régler mon allure. En règle générale, mon Maître utilise les mors dont l'action est la plus douce possible.
Je commence à marcher avec un joli pas... je lève mes jambes de plus en plus haut de manière élégante... Mon Maître me félicite en me caressant chaleureusement la croupe. Ce matin, c'est pendant près d'une heure qu'il m'a fait marcher au pas. Mais il pleuvait et de la boue m'éclaboussait. C'est sans doute la cause de son mécontentement... Lorsque nous sommes rentrées au box, pendant que mon Maître est allé se changer j'en ai profité pour me laver au jet.
Il n'a pas supporté... A-t-il déjà manqué de prendre soin de ses animaux ? Comment avais-je osé le priver de prendre soin d'une de ses juments préférées, comment avais-je pu le priver de bichonner sa pouliche.
Puisque j'étais redevenue une femme, et non obéissante, il me punirait comme on punit les femmes : en m'administrant une bonne fessée.
Il me fit me pencher sur ses genoux, poser mes mains sur le sol, et lui offrir mes fesses. J'attendais , cette fessée je l'avais méritée. Je méritais d'être couchée sur ses genoux pour m'apprendre la discipline.
Il m'a demandé de me relever, il m'a embrassé délicatement les lèvres et m'a sourit. Tu le mérites, tu sais que je dois te l'administrer cette fessée. Il m'a sèchement de nouveau pliée et couchée sur ses genoux et fait claqué la première frappe sur ma fesse. Je sentais mon derrière devenir chaud et rouge à chaque nouvelle claque qu'il me donnait sans faiblir.
Mon cul me brûlait :
- tes fesses sont rouges et gonflées. As-tu mal ?
- Oui, Maître j'ai mal mais je l'avais mérité.
- Viens, je vais te passer de la crème pour apaiser la douleur, je sais que tu n'es pas masochiste, mais tu dois savoir que toute désobéissance à une conséquence...
- Oui Maître, je suis désolée de vous avoir déçue.
Il me badigeonnait délicatement le postérieur avec la crème à l'arnica... La caresse de ses mains sur ma peau était douloureuse mais je sentais sa tendresse et je me suis abandonnée, mon sexe était chaud et humide. Je ne savais plus si c'était vrai ou si je rêvais. Il me prie dans ses bras, me donna un fougueux baiser et me posait dans le foin.
- Dors mon animal, dors maintenant me murmura-t-il à l'oreille.
Je m'endormais vite en compagnie de Velika qui s'était approchée.
Chère Soumise B
J'aime cette acceptation de la punition méritée, d'autant que vous avouez ne pas être masochiste ?
Vous semblez un peu perdue dans vos rêves de soumission, Maître A, cet Ange, un directeur de conscience (Existe-t-il ? Avez-vous ce confessur ? )
Si vous cherchez un guide, je serais flattée de vous accompagner. Vous pourriez me chérir. Je serais votre tendre Maïtresse Eva. Je saurais vous aimer, vous dresser. Un petit détail, je suis cavalière, j'aime les chevaux comme vous. Le voulez-vous ? Imaginez-vous commencer l'année 2010 en nous rencontrant.
J'aimerai vous guider.
Eva,
Merci de votre tendre proposition. J'y pense mais j'avoue ne pas avoir encore imaginé être dominée par une femme. J'y réfléchie. Nous en reparlerons.