Mardi 6 avril 2 06 /04 /Avr 10:08

Il ne m'était encore que peu arrivé de rêver ma soumission... cemment jai fit un rêve où mon Maître apparaissait et je suis troublée de ce rêve de séance... 

Qu'en aurait déduit le père de l'analyse de notre intimité, l'initiateur de la pulsion, aurais-je été pour Sugmung Freud, une de ces hystériques féminines en proie à ces refoulements sexuels ? 

Je vous raconte mon rêve que je tente toujours d'analyser... 


M.L m’avait donné rendez-vous sous la Tour Eiffel, là il y avait moins d’hommes d’affaires mais pas moins de monde que sur l’esplanade de la Défense. Comme à son habitude, M.L. avait donné quelques consignes vestimentaires à suivre : pas de sous-vêtements exception faite des bas. J’arrivais donc 5 minutes avant l’heure — j’aime être là et voir arriver mon Maître, il est toujours ponctuel et d’un calme absolu. Comment fait-il ? — et me mettais comme prévu à proximité de la file des touristes qui veulent escalader la Demoiselle, que dis-je la Dame de Paris.
Il arrivait à l’heure sonnante, quel sourire merveilleux, j’adore croiser de loin son regard et recevoir son sourire, c’est un cadeau inouï. Pour moi, c’est comme un rayon de soleil, un jaillissement, lorsque je croise son regard de loin, lors de nos retrouvailles. Nous nous rapprochons et sans un mot, j’ai besoin de rester un moment dans ses bras, de le retrouver d'être près de lui, avec lui, là pour lui, à lui. C’est un instant particulier, me retrouver contre lui, dans ses bras, sans un mot pour je ne sais pas le dire : une minute, deux, plus, moins qu’importe. L’intensité de cet instant est grisante, exaltante. C’est comme si, une bulle nous enfermait dans un espace intemporel, je ne vois plus personne, je n’entends plus rien, je suis à lui, rien qu’à lui. Puis, je redescends de mon nuage, sur terre de nouveau,  je le regarde, l’embrasse et la vie reprend son cours. 
Là au milieu de la foule de touristes, M.L glisse sa main sous ma jupe. Quelle ne fut pas ma surprise, ma gêne, mon excitation… on pouvait voir, sa main sous ma jupe caresser mon cul nu.

- Mais ! osais-je !

- Mais, quoi ? me dit-il en me fixant de son regard profond.

En effet, mais quoi, mais nous étions au milieu de la foule, mais je n’avais pas de culotte sous ma jupe, mais M.L. avait glissé sa main et soulevé ma jupe, mais mes fesses pouvaient être vues , mais qui s’en serait aperçu ? 
En effet, je devais être bien prétentieuse de croire que j’étais ou aurais pu être le point d’attraction de cette foule. Je venais d’apprendre que mon Maître pouvait me caresser les fesses nues dans la rue sans que quiconque ne s’en aperçoive. M.L., maintenant, passait sa main sur mon abricot mielleux et je sentais mes joues s’empourprer.

-       Vous désirez, ma soumise !

Comme était troublante la découverte de ces « pires » plaisirs — c’est l’expression de mon Maître, je savoure l’ironie de celle-ci — vers lesquels me promettait de m’emmener M.L. Cette main se promenant sous ma jupe avait, je dois l’avouer, mis le feu à mon corps. Je regardais mon Maître d'un regard trouble et il voyait bien dans mes yeux, ce feu qu’il avait allumé, ce désir fou et fort qui vivait en moi.

- Je crains, chère soumise, ne pouvoir vous offrir ce que vous désirer ici !

Il s’amusait de me voir ainsi excitée, désirante, il appréciait de me voir lâcher prise, oublier la bienséance. Il me prit fermement par le bras.

- Venez ma soumise …

Il m’emmenait dans un lieu merveilleux… je n’ai pas pu m’empêcher de frémir lorsque je vis par la fenêtre la Tour Eiffel. Je m’approchais de lui, me mis à ses genoux pour le remercier. Il me caressa les cheveux et sortait de sa valise des cordes, je sentais la douce et végétale odeur des cordes de chanvres.


corde

- Déshabillez-vous, je veux vous voir nue, sur le lit, allongée sur le ventre…

 

M.L était doux mais ferme, c’est une constante de son caractère.

Pour ne pas lui déplaire, je me dépêchais de me dévêtir, de me rafraîchir et de revenir nue sur le lit .

- Mettez vos mains dans votre dos et ne bougez plus…

Je l’aurais voulu que rapidement je n’aurais pû effectuer le moindre geste. M.L. avec de savants tours de cordes m’immobilisait. J’étais un reptile sans main, sans bras, sans jambe….
- Ouvrez la bouche !

M.L. me fermait les lèvres avec un bâillon métallique qui me laissait la bouche largement ouverte.

- Maintenant ma soumise, venez me rejoindre au salon.

Comment pouvais-je le retrouver ? La seule solution était de me laisser rouler sur le sol et de ramper… ramper vers mon Maître. C’est ainsi que j’arrivais à ses pieds… rampante, salivante, folle de désir… je me frottais le corps sur ses pieds, ses jambes… je voulais qu’il me caresse, me pince, me plie, me torde.

-       Mais ma soumise !

Ce furent les derniers mots de M.L dans mon rêve. Mon réveil ponctuellement cruel, sonnait !

 

© Copyright - Les textes appartiennent à Soumise B, merci de ne pas les copier sans son autorisation. 

 

Par Soumise B. - Publié dans : Mes rêves de soumission - Communauté : salope soumise
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