Partager l'article ! Éventons, éventaillons nos Maîtres...: La lourde chaleur me donne des envies... Une est avouable, je m'imagine en esclave nue éventant mon Ma ...
La lourde chaleur me donne des envies... Une est avouable, je m'imagine en esclave nue éventant mon Maître.
Et puis sortant lorsque la nuit apporte un peu de fraicheur, je garderai mon éventail pour en apprendre le délicieux language...
Au XVIIe siècle en France les femmes l'appelaient « l'utile zéphyr » ou « le paravent de la
pudeur »
Il me plait d'en imaginer de délicats en plumes ou en dentelle... que je pourrais porter inpudiquement... en position de soumise.
Quel serait l'effet d'une femme tenue en laisse par son Maître qui jouerait de l'éventail ?
Très romanesque la petite soumise. Je dirai même qu'elle est restée à l'époque du romantisme. Mais pas si fleur bleue que ça.....(grâce à son Maître).
Je pense aussi que tu préfère un langage plus élaboré comme celui que nous lisons sur ton blog. Heureusement pour nous car, je me suis renseigné, le langage 'éventail' ne passe pas très bien en html.
Monsieur,
Le romantisme n'a pas d'âge... ni de siècle.
Quel bonheur que cette courtoisie et ce language un peu ampoulée des romantiques...
J'avoue préférer la suggestion coquine à l'évidence... Un sein à peine dissimulé sous un tulle très fin n'est-il pas plus troublant qu'un décolleté trop offert ? Enfin, cela ne m''empêche pas d'être de chair et de sens. Mon Maître est en effet, un de ces Princes que j'affectionne : il calîne et cajole avec tendresse, courtois, protocolaire mais ferme et clair, il n'hésite à bousculer la soumise et se faire comprendre.
Un cul est un cul et il n'hésite pas à ....
le dire clairement.