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Vendredi 5 février 2010
"L’amour qui naît subitement est le plus long à guérir."
Jean de La Bruyère
Soumise B pense qu'il puisse en être de même pour la soumission..
Bonsoir, Soumise B
Croyez-vous qu'un seul homme mérite d'être aimé, servi comme vous semblez être capable de le faire ? Vous vous dites féministe mais comment est-ce possible ?
Vous acceptez la domination du sexe masculin sans réagir...
Je ne comprends pas
Une vraie féministe qui a honte de votre atitude
Corinne,
Je crois qu'il est possible d'être soumise et féministe. Je crois fort à cette harmonieuse soumission qui ne peut exister sans un respect mutuel. N'ayez pas honte de mon attitude , croyez que je donne et oblige à un profond respect de la femme. Lisez les commentaires des lecteurs de ce blog tous vous parleront de compréhension, de partage, de respect, relisez mes textes (un sur les violences faites aux femmes et inacceptables etc)
Corinne, il est parfois des choses que l'on ne comprend pas mais cela n'est pas forcément condamnable. Au nom du Respect du droit des femmes, puis-je vous demander un peu de tolérance. Acceptez que je sois soumise à ML et profondément féministe.
Jean,
Je ne crois pas que la soumission est un mal dont je devrais guérir. Mais comme Jean de La Bruyère, je pense que lorsqu'il y a blessure, si blessure il y a, je ne la crois pas obligatoire ni souhaitée, elle sera comme le mal d'amour longue à guérir.
Vous savez que mon engagement est vrai et donc cycliquement l'angoisse de faillir aussi.
Bien dans ma soumission mais encore fragilement installée dans mon statut — Amusez-vous car dans ma vie professionnelle, je suis une féministe active — mes réflexions me conduisent encore trop souvent à douter, à craindre mais pas à renoncer.
Mon guide M.L m'accompagne merveilleusement mais comme je le suis librement, je ne suis pas privée de ces reflexions et de ces doutes... Je sais qu'il a cette force de comprendre, de gérer mes "escapades" de "jument" libre et confiante en mon cavalier.
Jean, ne craignez pas, je ne suis pas mal en soumission, je ne vais pas guérir... et mon inquiétude proche de la réflexion de Jean de la Bruyère serait plutôt la preuve du contraire. Je suis si épanouie dans cette soumission que je crains toutes défaillances, me sentant incapable de guérir si cela finissait.
Merci de votre aide à clarifier ma réflexion