Partager l'article ! Rêve de cuir...: Il est dans le cheminement des moments où l'inconscient se trouble provocant d'étranges rêves. Je vous raconte comme à ...
Il est dans le cheminement des moments où l'inconscient se trouble provocant d'étranges rêves.
Je vous raconte comme à LUI mon rêve de cuir... Il est des instant où le corps s'enflamme :
LUI, m'a doucement mise nue, Lui aime me déshabiller lentement et me voir rosir. IL a posé un masque sur mes yeux. Un masque
tendre, un de ces masques de gelée rafraîchissante* : un masque relaxant pour m'offrir un pur moment de détente, idéal pour avoir les yeux apaisés et un regard reposé. Ce masque relaxant
réfrigérant fait beaucoup de bien au yeux, c'est un véritable moment de plaisir et de détente et cela procure une délicieuse sensation non sans la perversité de
l'aveuglement.
J'aime lorsque mon Maître associe l'utile à l'agréable, lorsqu'il trouve la dualité de me torturer délicatement. Il aime — comme
j'aime le décrire — me tendresser (tendrement-dresser), me violendrer (vioenter tendrement). IL a ces attentions tendres et doublement troublantes : me faire porter un masque qui m'aveugle
et me fasse le regard beau. Tout comme lorsqu'il profite de me masser à l'huile parfumée et chauffée pour me troubler et me faire la peau douce.
Me voilà sous le masque frais... totalement nue mais perchée sur les talons de 15cm de mes escarpins. LUI me prend par la main et vient me mettre devant la
croix où Il m'attache par les chevilles et les poignets.
Mon dos lui fait face, mes seins posés contre le
bois.
IL s'éloigne et je l'entends fouiller dans le coffre...
J'imagine cravache, martinet, fouet... Mon Maître collectionne les outils de cuir bien qu' IL me promette aussi une fessée avec la badine de bambou noir — ce bambou, que je connais bien puisqu'il
grandit sur la terrasse, choyé par mon Maître attentif jardinier. Nous avons du Japon, la même
passion. Alors que je dorlote mes bonsaïs, LUI soigne bambou, plantes aromatiques, arbustes fleuris sur le toit de sa maison...
Mais pour l'heure c'est du cuir, qu'Il touche, c'est du cuir qui sera mon trouble... il revient vers moi... j'entends dans la pièce siffler la cravache qui fend l'air...
Soudain, je sens une ceinture de cuir, sa ceinture, me serrer l'estomac sur la croix... Je
la connais, je l'aime tant sa réversible — ce petit accessoire luxueux de voyage pour Maître élégant. Je ne peux plus faire un mouvement, je suis fixée immobile, la joue, les seins, le
sexe collés au bois.
Puis j'attends de nouveau ses pas, il arpente notre donjon, ce grenier qu'il entretient, aménage, qu'il encense, qui lui
ressemble, qui palpite de ses désirs... son pas résonne comme divine frayeur. Mon Maître s'approche , j'ai entendu dans ma chair, ses pas. Il y
a des pas qui résonnent, qui déchirent, qui caressent, qui envoûtent... ce soir, ces pas sont de ceux là.
J'attends le métal résonner : des chaînes, des
entraves, et ces plugs qui me perturbent autant qu'ils me ravissent lorsque pénétrant mes chairs, mon corps, mon anus, Lui met en lieu et place de son sexe un de ces leurres de métal.
Maître s'approche, il sait que je tremble, que je suis totalement loin de la femme, il sait qu'Harmony n'est plus que l'animale, n'est plus que la femelle sexuée et désirante...
Pourtant ce soir, c'est l'esclave que Lui récompensera, c'est Harmony qui jouiera sous les baisers de cuir... mon dos brûle, enivré, marqué.
© Les textes appartiennent à Harmony et ne peuvent être utilisés sans son autorisation...
© Illustrations : La ceinture reversible Hermes - Le Gode Njoy de Démonia
L'amour est une rose, chaque pétale une illusion, chaque épine une réalité.
Ton rêve pourrait il être à la hauteur du défi de cuir
Souffrir etait ce vraiment une nécessité absolue pour franchir cet autre monde
N'aie pas peur de son pas, s il t'aime il te donnerait sa vie
LUI n'a pas peur et il te protège
C'est ton Ange
L'amour, des roses, des épines.... un diable angélique, un ange diabolique... le paradoxe. La magie de la perversion.
Quelle age as tu en tant que soumise et en tant que femme?
j'aimerai savoir le temp de l'abandon
et non voir ton corps n'augmenterai pas ma compréhension de ce texte mais je suis curieux
ou refuse tu pas peur d'être reconnu telle que tu ai à l'exterieur
n'accepte tu pas pleinement ta condition?
J'ai 52ans en tant que femme et 3 ans de soumission enfin il y a presque trois que je rencontrais mon premier Maître, mais la soumission vivait en moi, l'appartenance m'est familié et des deux côté de la cravache.
Ma condition n'est pas un secret, je suis fière d'être à LUI.
Un bien joli moment partagé avec ton Maître...
Que tu dois être belle, ainsi abandonnée à cette croix, sur tes jolis escarpins...
Madame S,
Vous savez trop bien que la beauté est dans les yeux de celui qui regarde (Oscar Wilde) et que la soumission rend belle. Lorsque l'on se voit souffrir dans les yeux de son Maître... nous devenons une esclave reine. Je sais que vous comprenez cela...