Partager l'article ! Tango... Promis: Je vous l'avez promis, je reviens vous offrir mes écrits... Je vous offre là une fantaisie, un excercice d'écriture érotique ...
Je vous l'avez promis, je reviens vous offrir mes écrits... Je vous offre là une fantaisie, un excercice d'écriture érotique... bien sûr, mes doutes, mes fantasmes, mes craintes, mes goûts se mêlent à ceux de M.L. et à la fiction pour nous distraire...
Soyez audacieux, ne craignez pas de me donner votre avis... faites des suggestions...
Ce soir voici le début de cette nouvelle, ... Tango
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J’avais dû me rendre à l’évidence depuis notre dernière sortie en discothèque, je sentais mon Maître songeur. Je savais qu'il était mécontent rêveur, je le sentais lointain, j'avais la certitude qu'il estimait que je méritais une leçon. J’étais bien incapable de comprendre, de savoir pourquoi, d’imaginer ce qui lui avait déplu. Mais je sentais le malaise…
Certes, nous n’avions peut être pas la danse en même estime, mais cela ne pouvait suffire à comprendre son désagrément…
J'essayais de me souvenir, de revivre cette soirée et de comprendre.
M.L. avait accepté l’invitation de mes amis antillais de passage à Paris en route pour Johannesburg. Oui, ils allaient assister à la Coupe du monde de football. Je me souviens de son petit plissement de nez… lorsque qu'il avait dit :
- Ce sont vos amis, je ne peux pas toujours dire non, à ces sorties étonnantes que vous me proposez alors, oui, nous irons.
Puis nous n’en avons plus parlé jusqu’au jour J.
Ce soir là, nous les avons rejoint dans le restaurant que M.L. avait choisi, pour me faire plaisir, je sais qu'il ne raffole pas de ces tables nouvelles et très — trop — à la mode où son
appétit de véritable épicurien ne trouve pas toujours consolation.
Melinda et Joseph l'avaient félicité pour son choix du restaurant. Melinda se pamait sur son élégance, son raffinement et patati et patata…
J’acquiesçais mais pas pour la même raison que Mélinda…
Oui, son raffinement, ce soir, je l’aurais appelé sa perversité merveilleuse…
Il avait exigé que je sois sans string, nue, sous ma robe de soie, et que je porte un nouveau jouet… ce petit œuf vibrant à commande à distance.
Il m'avait demandé en sortant de la douche, de m’asseoir au bord du fauteuil, de largement ouvrir les jambes afin qu'il puisse impudiquement glisser le jouet entre mes lévres…Il y avait pris un plaisir sadique... sourire aux lèvres.
Il s'était éloigné du fauteuil et conserva ce sourire merveilleux lorsque surprise je poussais un petit cri.
- Oh, Maître
- Et oui, de loin, je décide de votre plaisir. Partons ne faisons pas attendre nos
amis.
Dans le taxi, Il m’avait câlinée… son bras passé autour de mon épaule, il déposait de doux baisers au creux de mon cou, dans la petite dépression de la clavicule — je crois que l’on appelle ce petit creux la salière et je n’oublie jamais d’y déposer une goutte de parfum.
Comme j’aime ces instants où je savoure sa délicate tendresse.
Trop vite arrivée, je soufflais lorsque le taxi s’arrêta
- Voici vous êtes arrivés, Messieurs Dames… Passez une bonne soirée !
J’entendais dans la petite phrase aimable du chauffeur, une note de solidarité masculine… devinait-il que M.L. était un de ces princes, un Maître possédant une esclave docile prête à satisfaire ses désirs les plus fous ?
Pendant qu'il avait reglé la course, j’oubliais le petit œuf mais je fus vite rappelée à l’ordre, lorsque je reçu une déferlante dans le ventre…
- M.L. quelle puissance !
- Ah oui, il y a plusieurs vitesses à cette merveille... avez vous lancé dans un éclat de rire
Melinda et Joseph arrivaient à pieds, M.L. avait pris soin de choisir une table proche de leur hôtel pour leur permettre de se reposer de leur voyage. Sa courtoisie n’est pas légendaire — j’avoue que cela ajoute à son charme, oserais-je dire et n’ôte rien à sa fermeté.
Joseph et M.L se saluèrent d’une poignée de main virile pendant que je tombais dans les bras de Mélinda…
- Ma Puce comme tu es belle, resplendissante et dire que tous nos amies me disaient que tu travaillais trop mais le travail te va à ravir ! Cette paleur, quelle merveille, un teint de porcelaine….
- Mélinda, ne te moques pas de moi… mais tu as raison, je me sens en forme…
je n’avais pas encore l’aplomb de lui dire la raison de cette éclat.
- Ma Puce,
(oui, c’est ainsi que Melinda avait l »habitude de me nommer depuis plus de 20 ans que nous nous connaissions… j’avais fait de la voile, du cheval, nagé avec Melinda et sa taille (bien plus
imposante que la mienne) lui donnait ce sentiment de devoir me protéger. )
- Restes dans mes bras, cela fait si longtemps… alors que j’avais mon visage enfoui dans la chevelure douce et luxuriante de Mélinda me laissant aller aux retrouvailles… M.L. m’envoya une décharge de plaisir via l’œuf, que je ne pû retenir un petit cri étouffé.
- Oh, Mélinda, lâches moi, ou je vais fondre en larmes essayai-je de lancer pour sauver la situation.
Je fusillais M.L.du regard… il jubilait et nous précédait pour prendre la table…
Il s’intalla face à moi.
Un serveur s’approchait de notre table…
- Bonsoir, Messieurs Dame, puis-je votre offrir le cocktail du jour ou autre chose vous ferait-il plaisir…
- Idiot, qu’avait-il dit ? Autre chose pour me faire plaisir, évidemment M.L. ne s’était pas privé de m’envoyer une nouvelle vague d’excitation… en ponctuant de sa voix douce et l’accompagnant d’un regard insistant à mon encontre …
- Comme ?
Le dîner fut merveilleux… M.L. était — découvrait mes vacances de jeune femme insouciante en Martinique grâce aux souvenirs de Melinda— jouant et abusant de la télécommande.
Après le dessert, n’en pouvant plus, je refusais de prendre du café et prétextant de devoir passer un coup de fil important je filais me repoudrer…
Mais bien sûr, M.L. fut majestueux, il savait que j’étais sur le bord d’exploser, d’hurler de bonheur, il se doutait que mon clitoris était gonflé de désir, que mes lèvres laissaient couler sur mes cuisses, la liqueur de l’excitation…
J’eu le temps de me repoudrer le nez, de poser du brillant sur mes lèvres avant que je ne ressente les délicieuses vibrations que M.L. commandait à distance.
Je m’enfermais dans une cabine, et attendais…. Quel feu d’artifice… une explosion, je jouissais comme une folle merveilleuse et heureuse.
Une petite lingette parfumée me rafraîchissant et je retournais retrouver nos amis.
- Bonne nouvelle, ce coup de fil ? me lança Joseph. Tu rayonnes !
- Oui, excellente je bafouillais en me sentant rougir.
- Ma puce en route, M.L. est d’accord, nous filons au Club … ce soir c’est une soirée cubaine, tu n’as pas déjà les fourmies dans les pieds ?
- Si elle pouvait savoir où j’avais des fourmies !!!
- En route, Salsa cubana !
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