Mes Nouvelles (short stories)

Mercredi 19 septembre 3 19 /09 /Sep 01:27

Il est possible de sentir la métamorphose... 
J'ai écrit une nouvelle où Harmony racontait sa vie, où elle devenait animale je vous livre un très petit bout de cette métamorphose... 

C'est vers la fin de la nouvelle, son Maître s'inquiete... et décide d'en parler avec Pierre, le médecin du village qui connait Harmony...  

[…]

- Oui, elle était, dans mon bureau, sous son manteau,nue, elle portait son collier et sa laisse...et elle m'attendait, belle, fière, calme, obéissante... Jamais je ne l'ai vu si belle, si fière, si calme...

- Mais Paul vous disiez que vous étiez inquiet ?

- Oui, car si quelqu'un d'autre que moi, l'avait découvert, si quelqu'un était entré dans mon bureau...

- Il aurait découvert une superbe femme qui attend son mari, un peu coquinement !

- Non, Pierre, il aurait découvert Mon Animale, sous mon bureau, attendant son Maître et prête à dévorer l'inconnu qu'elle aurait pris pour un imposteur... Oui, Pierre, il aurait découvert notre secret, il aurait découvert qu'Harmony vit désormais à la maison, le plus souvent à quatre pattes, qu'Harmony est ma fidèle animale, que je possède la créature la plus sauvage qu'il soit, que chez nous, Harmony est ma créature..

Si quelqu'un était entré dans mon bureau, il l'aurait vu cette étrange créature, croupe offerte, tendue. Il aurait découvert le sexe d'Harmony mouillé, gluant, suintant de plaisir, de désir. Il aurait vu ses tétons durcis par l'attente, par le froid... Il l'aurait entendu gémir, geindre sous la violente supplice dévorante de son corps de bête lubrique aimant son Maître. Il aurait vu Harmony saliver, langue pendante, assoiffée de son Maître.

Voilà ce qu'il aurait découvert et Harmony se serait retrouvée où ?

- Paul... vous divaguez !

- Non, Pierre, je ne divague pas, je l'aime, elle m'aime. Nous avons choisi de vivre ainsi, Harmony est ma Chose, ma fidèle, mon obéissante animale. Rien ne lui plait plus que d'être à mes pieds. Je dois l'enfermer, l'attacher, il me faut parfois la punir. Je dois la tendresser. Je la fouette et elle devient la plus belle des Choses... Vous même l'avez vue, si belle, dans sa robe de cuir ? Si vous l'entendiez me supplier, si vous l'entendiez rugir...

Non, Pierre, je ne vous mens pas mais je ne peux plus laisser Harmony seule à la maison, comme une animale effrayée, elle s'enfuit pour me retrouver. Je l'ai retrouvé hier sur le siège arrière de ma voiture dans la cour de l'entreprise. Encore le collier rouge et sa laisse au cou, nue et à quatre pattes dormant en souriant sur mon pull bleu, comme rassurée.

- Mais Paul qu'avez-vous décidé, vous devez…

© His creature - 2010 [/i]

 

 

 

Par Harmony - Publié dans : Mes Nouvelles (short stories) - Communauté : Reflets de Femmes
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Vendredi 25 juin 5 25 /06 /Juin 00:16

le début de ce tango..

 

M.L. m'emporta plus qu'il ne m'emmena... il devait presque me porter tant j'étais en transe. Je transpirais, mon cœur battait vertigineusement vite, mon corps désirait s'abandonner au plaisir...  

Marc, nous attendait à la porte du club... 

- Á plus tard, M.L. belle nuit !

- Merci, grâce à vous, elle le sera

Marc avait appelé un taxi dans lequel M.L. me faisait pénétrer toujours blottie dans la cape et dans ses bras. J'étais tellement partie, troublée, heureuse, tout à M.L. que je ne remarquais pas que la direction indiquée au taxi n'était pas celle de notre domicile. Lorsque le taxi s'immobilisa place de la Concorde, je ne pus étouffer ma surprise...

- Maître, mais c'est 

- Oui, un très bel hôtel où j'ai envie que vous me suciez... descendons ! 

Ces mots m'avaient éveillée et pas que moi, je voyais dans le rétroviseur le chauffeur souriant à cette invitation de M.L.

- Merci Monsieur, bonne soirée, je donne la valise au portier... 

- Parfait, Merci ! Venez Soumise B... n'allez pas attraper froid , j'ai bien d'autres projets pour nous cette nuit et pas l'intention de me transformer en médecin... 

Nous fûmes rapidement dans l'ascenceur et M.L ouvrait la cape qui me protégeait pour me regarder nue, suant, belle de désir comme il dit. Il caressait mon corps nu sans pudeur, ses doigts pénétraient mon sexe...

- Quelle catin vous êtes, goûtez-moi cela,  dit-il en m'enfonçant voluptueusement ses doigts souillés de ma mouille dans la bouche, aimez-vous autant que moi votre liqueur de désir, vous mourrez d'envie de jouir. Venez, je veux que la fête continue ! 

En entrant dans la chambre, je dus me rendre à l'évidence, M.L. était un magicien divin, il ne laissait rien au hasard et il était 11H-moins cinq et la Tour Eiffel scintillait... je riais. 

- Maître, vous savez que l'anglo-saxonne que je suis, adore voir la Tour par la fenêtre de son nid d'amour mais regardez-là elle se tortille, elle se contorsionne... croyez-vous que son Maître la branle... 

- Ma soumise que vous avez l'imagination pervers... mais vous êtes bien naîve... son amant, un amant mais ne savez-vous pas que chaque parisien aime à caresser la belle froideur métalique... cette dame qui fait Paris, elle a des milions d'amants. Et vous vous n'en n'avez qu'un ? 

- Oui, M.L. un seul et

- Et bien ce soir, comme votre amie la Tour Eiffel, vous brillerez, vous pétillerez, vous étincellerez, vous exploserez... car vous allez m'offrir une fellation et puis une autre...  

- Quel gourmet, M.L.

- Oh oui et je ne vous ai pas encore tout dit... allons nous rafraîchir... nous avons deux salles de bain et quinze minutes avant de nous retrouver ici... 

Je vous passe les détails, jacuzzi, douche italienne, pétales de rose dans la baignoire... lait doux et parfumée au jasmin... l'odeur du jasmin m'évoque instannément l'Orient, les marchés aux esclaves ... les harems de Degas...
J'enfilais le déshabillez blanc translucide que je trouvais là... je me sentais vêtue d'aile de papillon tant la soie était légère et transparente... J'entendais du bruit dans la chambre, je savais l'habitude de M.L de nous faire monter du champagne et des fraises... il souriait parfois en me disant que cela devenait banal mais qu'il aimait toujours le faire car cela lui rappelait notre première rencontre à l'Hôtel... 

- Vous voilà enfin, mais vous alliez nous faire attendre ! 

Il avait dit nous... 

- Oui, nous avons un invité !

- un invité ?

- Oui, Pablo... 

Je ne pouvais pas réagir... je ne savais que dire, que faire... Pablo était là, ils s'approchait du canapé face auquel M.L. était installé. M.L. était nu dans le fauteuil... 

- Soumise B, je vous ai dit que je nous étions là plutôt qu'à la maison car je voulais que vous m'offriez une fellation. Pour être plus précis, j'aimeriez que vous offriez une fellation à Pablo. Vous n'avez pas remercié Pablo pour le tango qu'il vous a fait danser... lui qui devait ne pas vous voir, ne pas réagir devant votre désir, lui qui ne pouvait se laisser aller à bander devant votre corps en feu, devant votre corps de salope chaude, brûlante... Il ne bandait pas, tout à la danse qu'il vous offrait.
Maintenant, voyez...

Pablo s'était déshabillé pendant que M.L. me commandait de sucer mon danseur de tango et maintenant, il bandait... son sexe dressé, gonflé, ne semblait pouvoir attendre... il se posa sur le canapé et ouvrait les cuisses... je n'avais plus qu'à obéir à M.L. et à m'agenouiller devant Pablo pour lui tailler une plume.  

Pendant ce temps M.L. observerait mais pourquoi m'offrir ainsi... ne m'aimait-il plus, ne me voulait-il plus pour lui seul, n'aimait-il plus m'offrir son elixir après que je l'eu longtemps caressé... J'avais le regards volié par quelques larmes qui naissaient... 

- Soumise B, Pablo vous désire... maintenant honorez-le ! M.L. se fit plus pressant. Sucez le et comme vous le faites pour moi, délicatement... 

- Oui, Maître !

- Pablo posa doucement une main dans mes cheveux derrière ma tête... pendant que je suçotais ses testicules... entièrement la droite... puis la gauche puis la droite à nouveau... dans ma bouche je savourais ces couilles et comprenais pourquoi les français les appellent aussi parfois les bonbons... comme d'une pastille à l'anis je m'en délectais... 
Ma main caressait la hampe dressée de Pablo qui respirait fort mais joliment ... Je perdais ma main dans un mouvement lent mais régulier de va et vient, de bas en haut de haut en bas de bas en haut... ma bouche abandonnait ses boules pour que ma langue puisse venir tourner autour de la couronne du gland... Turgescence rose vif, il perlait de la première goutte de désir... je la posais sur ma langue avant de venir me noyer dans le regard de mon amant. 

Mes yeux interrogeaient M.L. pourquoi offrir cette fellation à Pablo ?

Mais déjà, Pablo venait chercher ma bouche en forcant légérement ma tête contre son vit brandi comme un glaive.  Par plaisir ou par défi, j'avalais petit à petit mon danseur, lui rendant à l'émotion près la sensualité du tango qu'il m'avait offert. Je suçais, je caressais, je caressais, je suçais... je perdais le sens de la réalité, et je découvrais que cette fellation que mon Maître offrait à Pablo c'était un cadeau qu'il s'offrait à lui.

Il offrait la chaleur, la tendresse, la patience de sa maîtresse à ce danseur mais il lui disait sans un mot prononcé dans cette offrande :

Rien n'est à toi, Pablo cette femme te suce parce qu'elle est mienne, cette femme te suce parce que je le veux, cette femme te suce pour mon plaisir... Pablo jouit dans la bouche de cette femme, jouit sur le corps de cette femme qui m'appartient et m'obéit. Pablo, cette femme ne te voit pas, cette femme ne te sent pas, c'est moi qu'elle voit, c'est à moi qu'elle obéit. 
Douce, je caressais, lèchais, branlais, suçais, suçotais... j'entendais la respiration haletant de Pablo, je retenais de mon pouce dans le canal encore un instant son plaisir montant...

- Jouis Pablo, jouis, jouis car je dois t'offrir du plaisir pour en offrir à mon Maître... jouis car ton plaisir sera son plaisir... 

Pablo explosa, je ne peux retenir son sexe dans ma bouche et je reçus son jus laiteux sur la face, sur la poitrine...

M.L étais là debout derrière moi et jamais son sexe n'avait été plus beau... je pouvais entendre ce que ces yeux me disais... 

- Merci ma catin, de m'avoir offert le plaisir de Pablo. Maintenant, ma chère soumise offres-moi, offres-toi du plaisir.

Il ne me fallut que peu de temps pour qu'électrisée, ma bouche se remplisse de salive chaude comme un animal sentant la chair désirée, aimée, je bavais, je salivais... 

Mon Maître m'entrainaît dans notre chambre laissant le salon à Pablo...

Par Soumise B. - Publié dans : Mes Nouvelles (short stories) - Communauté : salope soumise
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Mercredi 23 juin 3 23 /06 /Juin 18:10

Si vous n'avez pas lu le début de ce Tango promis. 

tango-argentinArrivée au club, la musique mis bien peu de temps à me faire bouger… depuis toujours, je suis incapable de résister. Immanquablement la musique me fait bouillir le sang.

Alors j’entraînais Melinda sur la piste.. et nous amusions comme des amoureuses de la danse…

Quelques danseurs s’approchaient de nous  mais nous les ignorions, Jospeh et Maître nous retrouvaient cycliquement selon les rythmes qui les tentaient.

Salsa, merengue, samba, mambo, rock’roll … comme nous nous amusions…

J’étais la cavalière Melinda, le cavalier si nos chevaliers nous abandonnaient…

Melinda me suppliait 

-      Ma puce, allons boire un verre, viens te reposer…

-      Mélinda pas encore, s’il te plait, dansons encore un peu…

-      Je n’en peux plus…

J’allais suivre Melinda, lorsqu’un danseur me rattrapa…

-      Accordez moi ce tango…

-      Mais

-      Juste celui ci… et je vous libère.

 Pourquoi j’acceptais de danser avec cet inconnu un tango, cette danse de la passion et de la mélancolie ?

Ce danseur était merveilleusement bon danseur… pas de geste déplacé, son regard franc droit dans mes yeux… un sourire sain.

Ce n’était ni un tango d’académie de danse, ni un numéro gagnant de concours de danse de salon. Mais un beau tango où deux danseurs s’amusent et échangent le plaisir de la danse.
J’aurais pu danser jusqu’au bout de la nuit avec celui que Maître appellera — ironiquement — Pablo.

Lorsque la musique cessa, Maître était sur la piste et élégamment dit à mon danseur sans agressivité.

-      Je vous enlève votre cavalière. Vous me pardonnerez !

-      Elle est à vous  répondait mon danseur en me souriant, je vous remercie Madame pour ce tango.

-      Je vous en prie.

  Je bredouillais. Je m’accrochais au bras de Maître qui ne pu s’empêcher d’actionner la télécommande de mon jouet…

-      Cela vous fait-il autant d’effet que le tango ?

-      Mais Maître ?

-      Chut, vos amis nous attendent, buvons cette coupe de champagne à votre amie Mélinda, vous avez failli la tuer d’épuisement…

La soirée fut une longue conversation amicale, accompagnée de champagne et de champagne rosé… Nous décidions de raccompagner à pieds en chemin Melinda et Joseph à leur hôtel.

Rires et vœux de bons voyages, accompagnés de la promesse de se revoir bien vite.

-      Rentrons mon animal, vous devez être bien lasse. Vous irez vous rafraîchir et irez dormir sur la nouvelle descente de lit.  — Maître venait de faire l’acquisition d’un joli tapis Castelbajac dont j’admirais le graphisme —  Je pense que vous y serez bien pour réfléchir cette nuit.

-      Mais …

-      Mais rien !  Je vous dis que vous monterez dormir et que ce sera sur la descente de lit. Je suis moi-même fatigué, je n’aimerais pas devoir argumenter avec vous ma docile.

-      Oui, Maître. Je dormirais sur la descente de lit.

-      Nue et attachée par votre laisse au pied du lit.  Je viendrais vous rejoindre plus tard, j’ai quelques mails à envoyer.

-      Bien, Maître.

 En arrivant, à l’appartement, je traînais dans la salle de bain, je pris mon collier, ma laisse, et vins devant Maître. Les mains ouvertes lui présentant mon collier de cuir.

-      Oui, je vais vous poser votre collier, vous aimez vous savoir mon animale, je ne vous priverais pas de sentir dans votre chair que vous m’appartenez.

Maître crochetait la laisse de bel acier blanc dans l’anneau du collier…  Je le regardais dans les yeux, il était calme, ferme, merveilleusement Maître. Je fondais.

         - Approchez-vous !

Je n’avais pas fait un pas pour me rapprocher de lui, qu’il empoignait mes tétons et les pinçait violemment

-      Filez, je pourrais avoir envie de vous battre. N’oubliez pas de vous attacher au pied du lit. 

C’est donc à la gauche du lit sur la descente de lit au dessin camouflage rose et gris que je m’allongeais nue après avoir passé la poignée de cuir dans le pied du lit. J’étais attachée et allais le rester tout le temps que Maître le souhaiterait.

La laine était douce, je sentais le sommier du lit recouvert de lin gris, je me collais près du lit afin queMaître puisse m’atteindre. Il aime laisser tomber son bras pour me sentir là au sol.

Je devais être très fatigué car je m’endormais avant que Maître ne vienne se coucher.

C’est à 7h15, que le réveil me fit sursauter… me relevant brusquement, j’avais oublié où j’étais, la laisse me rappela à l’ordre.

Maître apparu en peignoir, souriant

         - Bonjour, mon ange. La danse est un exercice épuisant ! Vous avez dormi comme un chiot nouveau né, ma chère soumise.

         - Bonjour, Maître,  j’ai en effet bien dormi.

         - Votre tapis vous convient donc bien… vous avez donc maintenant votre place là à la gauche de mon lit.

         - Oh !!!

         - Ne protestez pas vous risqueriez une punition et cela ne vaut pas la peine, bien sûr que ce tapis ne sera pas votre place quotidienne mais seulement lorsque je voudrais savoir mon animal à côté de moi.

Maître me détachait du lit et me claquant la fesse d’une main chaude et ferme… il exigea savamment.

         - Vais-je devoir attendre encore longtemps mon petit-déjeuner…

Je dois filer au bureau rapidement… j’aimerai que vous m’y retrouviez à 19H, je vous invite ce soir. Une jolie robe d’été, un sourire et rien d’autre… je vous attendrais dans mon bureau. Maintenant filez à la cuisine, s’il vous plait et déjeunons, je meurs de faim. 

Que j'aime ces instants où nous sommes complices, amoureux, Maître et soumise…

Je vous prive de notre petit-déjeuner, de ma journée, pour vous retrouver dans le bureau de Maître. à 19h. Il est assez pointilleux et la ponctualité n’est-elle pas la politesse des rois ? 

Arrivée en bas de l’immeuble où Maître a son bureau, je lui téléphone, pour le prévenir… il est 18h53 …

-       Maître, je suis en bas, puis-je monter, je ne vous dérange pas ?

-      Ma douce soumise, il sera bien 19h ou presque lorsque vous arriverez ici, je vous attends.

Je suis toujours émue comme au premier jour, lorsque je retrouve Maître, J’ai besoin de plonger ma tête dans ses bras, de sentir son corps, de m’abandonner…

Souvenir de notre première rencontre… Je me suis sentie si bien là dans ses bras dés les premières secondes de notre rencontre, que j’ai l’habitude de m’y retrouver, d’y replonger… presque autant sinon plus que mon collier, être là me rappelle à ma condition, je suis sa soumise.

-      Servez-nous du Champagne, il est au frais !

-      Vous avez toujours du Champagne au frais dans votre bureau, Maître ?

-      Toujours lorsque j’y reçois ma soumise !

-      Montrez-moi si vous avez exécuté toutes mes consignes …

-      J’ai une robe d’été

-      C’est vrai, j’aime ce joli chiffon  et n’avez vous que cette robe… ?

-      Oui, Maître !

-      Soulevez cette robe que je vois

Je m’exécutais lui montrant mon sexe nu 

-      Approchez et tournez-vous … allez penchez-vous en avant… montrez-moi votre cul… ouvrez-vous… j’ai une  surprise pour vous…

-     Maître,  oh, je

 -      Oui, je vais vous enfoncer ce joli plug dans le cul… ce joli bijou que vous pourrez porter plus souvent que vous ne pouvez porter votre queue de cheval. Vous savez que j’aime votre cul. 

-      Oh, Maître ! C’est...

-      Oui, le plug est un peu plus gros que mon doigt mais il est temps que vous appreniez à accepter un diamêtre un peu supérieur… vous savez qu’un jour, j’aimerai…

-      Oh, Maître, oui, je vais apprendre … oui, plus large encore et un jour… oh… oui, c’est comme deux ou trois doigts dans mon fondement, oh… oui, Maître.

-      Voilà ma soumise… ce plug est en place. Je vous félicite, vous êtes maintenant enculée d’un joli diamant, sa longueur 7,4 cm et son diamètre est de 3cm, c’est plus volumineux que tout ce que vous avez enduré jusque là… Bravo, vous êtes délicieusement courageuse… Redressez-vous maintenant, et marchez…

-       Maître,  je sens beaucoup…

-      Et bien, je suis ravi ! Servez-nous une seconde coupe de Champagne et célébrons votre nouveau bijou… je vous gâte de trop ma soumise !

Je servais le champagne et allais m’asseoir sur les genoux de mon Maître, j’eus une petite secousse en m’enfonçant un peu plus sur  le plug.

-      Vous allez vous habituer. Je parie que bientôt vous ne voudrez plus le quitter… Allez, plus une minute à perdre ma soumise plugée, nous avons un rendez-vous…

-      Un rendez-vous ?

-      Je ne vous dis rien, suivez moi… Vous savez que vous n’avez rien à craindre avec moi ?

-      Je ne crains rien Maître, si ce n’est de vous déplaire…

-      Alors plus un mot et en route.

 Je passais par les lavabos où je caressais mon nouveau diamant, je sentais la bague qui interdisait que je le perde. Je me lavais les mains, me reparfumais de quelques gouttes du parfum très fleuri : le labyrinthe libertin  et rougissais mes lèvres.

-      Vous êtes lumineuse, je suis fière de vous.

Dans l’ascenseur qui nous conduisait au parking, Maître caressait ma croupe sous ma robe, sans me quitter des yeux. Puis il chahutait mon sexe de ses doigts lorsqu’il conduisait… J’étais folle de désir… mielleuse à souhait.

-      Voilà nous sommes arrivés !

-      Mais c’est le Club ?

-      Oui et alors vous aimez danser ?

-      Mais il est à peine 20H et je suis …

-      Et bien pour vous qui aimez tant danser, y aurait-il une heure pour danser ?

-      Non, mais …

-      Mais, vous êtes nue sous votre chiffon virevoltant … et bien ce n’est pas grave… allez dépêchez-vous, ne me faites pas attendre. 

Je descendais sans bien comprendre. Nous entrâmes dans le club, je ne reconnaissais pas l’homme à l’entrée…

-      Bonjour, Messieurs Dame, votre invité est là.

-      Bonsoir Marc merci, veillez à ce qu’il ne manque de rien, servez-nous du champagne à la table près de la piste, et apportez s’il vous plait le petit sac que l’on a dû vous déposer…

-      Oui, bien sur.

-      Venez chère soumise.

-      Je m’accrochais au bras de Maître et commençais à m’inquiéter..

-      Je vous sers une coupe de champagne puis vous irez danser…

-      Mais il n’y a personne, Maître.

-      Détrompez vous ! Je vais vous admirez , je ne suis personne pour vous ?

-      Non, enfin,

-      Et puis lorsque vous aurez enlever votre robe pour danser, peut être que vous ne souhaiterez pas qu’il y ait foule !

-      Enlever..

-      Oui, ma chère soumise, vous allez danser nue , là sur cette piste pour moi…

-      Merci Marc.

Cet homme élégant que je ne connaissais pas que mon Maître appelait Marc venait de donner à mon Maître un sac dont je ne tarderais pas à connaître le contenu tant mon Maître semblait presser de le vider.

D’abord, ce fut un collier que Maître me passa au cou, puis il sortit une chambrière qu’il fit claquer sur la piste… puis il sortit du sac un stick, une petite cravache…

Lorsqu’il eut le stick dans une main, la chambrière dans l’autre, il m’invita à quitter ma robe du bout de la cravache…

-      Je ne voudrais pas l’abîmer. Posez la sur la banquette…

 Je me sentais ridicule mais exécutais sans broncher les ordres de mon Maître. Je n’avais ni l’envie , ni l’audace de lui désobéir.    

-      Approchez sur la piste !

Á peine avais-je poser le pied sur la piste que la lumière s’allumait me plongeant dans un flot de lumière verte et la musique une salsa cubaine explosa dans les hauts -parleur… 

-      Dansez mon animal, auriez-vous oublié que vous adorer vous trémousser en cadence, devrais-je vous aider…

Mon Maître souriant à pleines dents me lançait sur les jambes de cinglants petits coups de cuir… allez gardez la cadence…

J’aime voir votre cul gigoter et ce diamant vous va à ravir… aller dansez ma belle !

Enivrée par la musique, par le champagne par la situation et délicatement domptée par un maître qui ne reculait devant rien pour me surprendre et me troubler, je me laissais envahir par la musique… je dansais, je dansais… j’étais en transe, mon corps bougeait, mon corps virevoltait, nu fiévreux, ensorcelé par la musique.

Je transpirais, je coulais, je bavais… j’allais mourir…

-      Ne vous arrêtez pas vous le regretteriez ! 

Je sentais le cuir de la chambrière s’enrouler autour de ma taille…

-      Maître, je vous en supplie, j’ai chaud, j’ai soif, j’ai mal… 

  -      Ma chère soumise, ne vous arrêtez pas encore, je veux vous voir encore danser… Marc, demandez s’il vous plait, à notre invité de nous rejoindre.

Je n’entendais plus rien, je ne sentais plus rien… j’étais un corps de chiffon que mon maître menait du bout de son fouet…

Il y eu le noir total, puis la musique s’arrêta, je tremblais !!! Que se passait-il ? Où était Maître ? Qui était cet invité… ?

La lumière revint en même temps que la musique… un tango, non pas un tango, le tango. Je vis alors sourire Maître, Marc et le danseur, mon danseur de tango…

-      Pablo vous offre ce tango… ma soumise, je vous offre Pablo !

 L’homme s’approchait et sans donner l’impression qu’il voyait que j’étais nue, que j’étais en transe, sans voir mon désir.. il m’entraîna dans un pas de deux… de folie. Mon corps exultait porté par ce danseur hors pair et suffisamment distant pour que je me laisse aller, que je m’abandonne. Je me nourrissais de la musique, je renaissais par ce tango… guidée, portée…  Car le tango c’est une façon d’être, une présence d’écoute de soi et de l’autre, afin de se rencontrer.

Ce qui fait le tango, c’est la consistance du geste sensuel, sa justesse, c’est le mouvement le plus juste pour soi composé sur l’instant, en fonction de la musique, du soi présent, du partenaire, du contexte.

J’entendis la musique s’arrêter, les trois hommes applaudissaient…

Maître me passait une cape sur les épaules, posait un baiser sur mon front…

Je ne voulais plus qu’une chose être seule avec Maître. Je ne voulais plus danser, je ne voulais plus savoir qui était Marc, qui était Pablo.

- Vous avez fait un pas merveilleux aujourd’hui ma soumise.

 

(Á suivre ) 

© Ce texte appartient à soumise B vous ne pouvez l'utiliser sans son autorisation. 

 

Par Soumise B. - Publié dans : Mes Nouvelles (short stories) - Communauté : REALISEZ ENFIN VOS FANTASMES!.
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Dimanche 20 juin 7 20 /06 /Juin 17:33

Je vous l'avez promis, je reviens vous offrir mes écrits... Je vous offre là une fantaisie, un excercice d'écriture érotique... bien sûr, mes doutes, mes fantasmes, mes craintes, mes goûts se mêlent à ceux de M.L. et à la fiction pour nous distraire... 

Soyez audacieux, ne craignez pas de me donner votre avis...  faites des suggestions... 

 

Ce soir voici le début de cette nouvelle, ... Tango

XXXXXXXXXXXXX

J’avais dû me rendre à l’évidence depuis notre dernière sortie en discothèque, je sentais mon Maître songeur. Je savais qu'il était mécontent rêveur, je le sentais lointain, j'avais la certitude qu'il estimait que je méritais une leçon. J’étais bien incapable de comprendre, de savoir pourquoi, d’imaginer ce qui lui avait déplu. Mais je sentais le malaise…

Certes, nous n’avions peut être pas la danse en même estime, mais cela ne pouvait suffire à comprendre son désagrément…

J'essayais de me souvenir, de revivre cette soirée et de comprendre.

 

M.L. avait accepté l’invitation de mes amis antillais de passage à Paris en route pour Johannesburg. Oui, ils allaient assister à la Coupe du monde de football. Je me souviens de son petit plissement de nez… lorsque qu'il avait dit :

- Ce sont vos amis, je ne peux pas toujours dire non, à ces sorties étonnantes que vous me proposez alors, oui, nous irons.

 

Puis nous n’en avons plus parlé jusqu’au jour J.
Ce soir là, nous les avons rejoint dans le restaurant que M.L. avait choisi, pour me faire plaisir, je sais qu'il  ne raffole pas de ces tables nouvelles et très — trop — à la mode où son appétit de véritable épicurien ne trouve pas toujours consolation.

 

Melinda et Joseph l'avaient félicité pour son choix du restaurant. Melinda se pamait sur son élégance, son raffinement et patati et patata…

J’acquiesçais mais pas pour la même raison que Mélinda…

Oui, son raffinement, ce soir, je l’aurais appelé sa perversité merveilleuse…

Il avait exigé que je sois sans string, nue, sous ma robe de soie, et que je porte un nouveau jouet… ce petit œuf vibrant à commande à distance.

Il m'avait demandé en sortant de la douche, de m’asseoir au bord du fauteuil, de largement ouvrir les jambes afin qu'il puisse impudiquement glisser le jouet entre mes lévres…Il y avait pris un plaisir sadique... sourire aux lèvres.

Il s'était éloigné du fauteuil et conserva ce sourire merveilleux lorsque surprise je poussais un petit cri.

-       Oh, Maître

-       Et oui, de loin, je décide de votre plaisir. Partons ne faisons pas attendre nos amis.
 

Dans le taxi, Il m’avait câlinée… son bras passé autour de mon épaule, il déposait de doux baisers au creux de mon cou, dans la petite dépression de la clavicule — je crois que l’on appelle ce petit creux la salière et je n’oublie jamais d’y déposer une goutte de parfum.

Comme j’aime ces instants où je savoure sa délicate tendresse.

Trop vite arrivée, je soufflais lorsque le taxi s’arrêta

-       Voici vous êtes arrivés, Messieurs Dames… Passez une bonne soirée !

J’entendais dans la petite phrase aimable du chauffeur, une note de solidarité masculine… devinait-il que M.L. était un de ces princes, un Maître possédant une esclave docile prête à satisfaire ses désirs les plus fous ?

Pendant qu'il avait reglé la course, j’oubliais le petit œuf mais je fus vite rappelée à l’ordre, lorsque je reçu une déferlante dans le ventre…

-       M.L. quelle puissance !

-       Ah oui, il y a plusieurs vitesses à cette merveille... avez vous lancé dans un éclat de rire

 

Melinda et Joseph arrivaient à pieds, M.L. avait pris soin de choisir une table proche de leur hôtel pour leur permettre de se reposer de leur voyage. Sa courtoisie n’est pas légendaire  — j’avoue que cela ajoute à son charme, oserais-je dire et n’ôte rien à sa fermeté.

 

Joseph et M.L se saluèrent d’une poignée de main virile pendant que je tombais dans les bras de Mélinda…

 

- Ma Puce comme tu es belle, resplendissante et dire que tous nos amies me disaient que tu travaillais trop mais le travail te va à ravir ! Cette paleur, quelle merveille, un teint de porcelaine….

- Mélinda, ne te moques pas de moi… mais tu as raison, je me sens en forme…

je n’avais pas encore l’aplomb de lui dire la raison de cette éclat.

-       Ma Puce,
(oui, c’est ainsi que Melinda avait l »habitude de me nommer depuis plus de 20 ans que nous nous connaissions… j’avais fait de la voile, du cheval, nagé avec Melinda et sa taille (bien plus imposante que la mienne) lui donnait ce sentiment de devoir me protéger. )

- Restes dans mes bras, cela fait si longtemps… alors que j’avais mon visage enfoui dans la chevelure douce et luxuriante de Mélinda me laissant aller aux retrouvailles… M.L. m’envoya une décharge de plaisir via l’œuf, que je ne pû retenir un petit cri étouffé.

-       Oh, Mélinda, lâches moi, ou je vais fondre en larmes essayai-je de lancer pour sauver la situation.

 

Je fusillais M.L.du regard… il jubilait et nous précédait pour prendre la table…

Il s’intalla face à moi.

 

Un serveur s’approchait de notre table…

-       Bonsoir, Messieurs Dame, puis-je votre offrir le cocktail du jour  ou autre chose vous ferait-il plaisir…

-       Idiot, qu’avait-il dit ? Autre chose pour me faire plaisir, évidemment M.L. ne s’était pas privé de m’envoyer une nouvelle vague d’excitation… en ponctuant de sa voix douce et l’accompagnant d’un regard insistant à mon encontre …

-       Comme ?

 

Le dîner fut merveilleux… M.L. était — découvrait mes vacances de jeune femme insouciante en Martinique grâce aux souvenirs de Melinda—  jouant et abusant de la télécommande.

Après le dessert, n’en pouvant plus, je refusais de prendre du café et prétextant de devoir passer un coup de fil important je filais me repoudrer…

 

Mais bien sûr, M.L. fut majestueux, il savait que j’étais sur le bord d’exploser, d’hurler de bonheur, il se doutait que mon clitoris était gonflé de désir, que mes lèvres laissaient couler sur mes cuisses, la liqueur de l’excitation…

 

J’eu le temps de me repoudrer le nez, de poser du brillant sur mes lèvres avant que je ne ressente les délicieuses vibrations que M.L. commandait à distance.

Je m’enfermais dans une cabine, et attendais…. Quel feu d’artifice… une explosion, je jouissais comme une folle merveilleuse et heureuse.

Une petite lingette parfumée me rafraîchissant et je retournais retrouver nos amis.

 

-       Bonne nouvelle, ce coup de fil ? me lança Joseph. Tu rayonnes !

-       Oui, excellente je bafouillais en me sentant rougir.

-       Ma puce en route, M.L. est d’accord, nous filons au Club … ce soir c’est une soirée cubaine, tu n’as pas déjà les fourmies dans les pieds ?

-       Si elle pouvait savoir où j’avais des fourmies !!!

-       En route, Salsa cubana !

 

 

Á suivre 

 

© ces textes appartiennent à Soumise B et ne peuvent être utilisés sans son autorisation. 


 


Par Soumise B. - Publié dans : Mes Nouvelles (short stories) - Communauté : REALISEZ ENFIN VOS FANTASMES!.
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