Partager l'article ! Le manque...: Y aurait-il un danger de somatisation du manque ? Comment réagir lorsque la dépendance pointe le bout du nez ? &nbs ...
Y aurait-il un danger de somatisation du
manque ?
Comment réagir lorsque la dépendance pointe le bout du nez ?
Comment se battre contre la léthargie que provoque son absence ? Comment ne pas perdre la raison.
Comment ne pas perdre la raison, devant ces rêves récurant : Je rêve d'être attachée, enchainée, cirée, pincée, fessée, cuirée et ensuite serrée fort dans vos bras, sentir quand vous
m'enlacez les marques, ces marques qui brulent, tiraillent, ces traces qui me rappelent les baisers de cuir.
je divague en imaginant être secouée de spasmes lorsque vous caressez de vos doigts sur les marques laissées sur mon corps.
Cela sera douloureux My Lord et tendre et sentir la brûlure aimante de vos mains passer avec tendresse l'onguent réparateur.
Etre ainsi fouailler pour me sentir la votre, etre tendrement soignamourée après avoir été dévastée, conquise, possédée, violendrer.
Et lorsqu'après avoir souffert pour My Lord je sentirais vos levres baiser mes plaies, je m'évanouierai avant d'etre bichonnée, chouchoutée, choyée, comblée, dorlotée, gâtée, par My
Lord.
J'ai revé d'être toruturaimée.
Mais le pire ne fut pas ce rêve, mais l'attente de vivre cette vénéneuse guéhenne, cette attente est un enfer comparée au sulfureux plaisir du supplice amoureux que je devrais subir. Souffrir
pour et par vous pour être choyer. Pleurer pour avoir mes larmes bues par My Lord.
Folie de l'absence, folie de l'attente...
If theres a cure for this
I dont want it
Dont want it
If theres a remedy
Ill run from it
Marc...
Vous auriez pu nous offrir aussi la musique...
Bon allez Maestro Musique :
http://www.youtube.com/watch?v=gINMEL41B5w
Et bien j'entends les chaines cliquecliquer, les soumises esclaves se déhancher... Les Maîtres devront-ils vous remercier de ce spectacle offert par leur soumise se trémoussant...en hurlant
I've got the swetest hangover
I don't wanna get over
Swetest hangover
Le manque,certaines soumises intellectuels, l'écriture est parfois ressentie comme un besoin. La Soumise traduit en mots ce qu'elle ressent aux pieds d'un Maître. C'est ainsi qu'elle transcrit l'émotion qui participe aux jeux sexuels, voire les sensations qui accompagnent les punitions. Elle jouit des effets du manque causé par l'absence du Maître, qu'elle comble par la délicieuse mise à distance de l'écriture. C'est aussi un moyen de raviver le souvenir d'un moment magique, et peut-être de l'enjoliver. On couche parfois sur papier les fantasmes les plus fous. Des femmes soumises tiennent un journal où s'exprime leur désir d'appartenance. C'est un recueillement quotidien dédié au Maître qui le fascine. A priori, elle sera l'unique lectrice de leurs écrits intimes. Si tenir un journal est un ordre, la soumise s'engage alors à poursuivre sa rédaction... jusqu'au jour où l'un des partenaires se lasse ! Bon week-end...
Oui, l'écriture accompagne l'appartenance, elle l'humanise.
Mon appartenance est alors émotion, animalité vécues et grâce à l'écriture j'en découvre la subtantifique moelle. Je suis alors cette animale pensante.
Le journal n'est pas un ordre mais un besoin, une respiration, une fenêtre... Je ne désire pas étouffer de l'émotion charnelle qu'est le plaisir d'appartenir... le dire, le partager sans doute pas totalement, car l'écriture ne dit pas tout ce que la chair vit... c'est aussi offrir à son Lui, à ce LUI recherché sa part d'humanité...
Vous dites : jusqu'au jour où l'un des partenaires se lasse et alors c'est le drame ?