Partager l'article ! Le manque...: Y aurait-il un danger de somatisation du manque ? Comment réagir lorsque la dépendance pointe le bout du nez ? &nbs ...
Y aurait-il un danger de somatisation du
manque ?
Comment réagir lorsque la dépendance pointe le bout du nez ?
Comment se battre contre la léthargie que provoque son absence ? Comment ne pas perdre la raison.
Comment ne pas perdre la raison, devant ces rêves récurant : Je rêve d'être attachée, enchainée, cirée, pincée, fessée, cuirée et ensuite serrée fort dans vos bras, sentir quand vous
m'enlacez les marques, ces marques qui brulent, tiraillent, ces traces qui me rappelent les baisers de cuir.
je divague en imaginant être secouée de spasmes lorsque vous caressez de vos doigts sur les marques laissées sur mon corps.
Cela sera douloureux My Lord et tendre et sentir la brûlure aimante de vos mains passer avec tendresse l'onguent réparateur.
Etre ainsi fouailler pour me sentir la votre, etre tendrement soignamourée après avoir été dévastée, conquise, possédée, violendrer.
Et lorsqu'après avoir souffert pour My Lord je sentirais vos levres baiser mes plaies, je m'évanouierai avant d'etre bichonnée, chouchoutée, choyée, comblée, dorlotée, gâtée, par My
Lord.
J'ai revé d'être toruturaimée.
Mais le pire ne fut pas ce rêve, mais l'attente de vivre cette vénéneuse guéhenne, cette attente est un enfer comparée au sulfureux plaisir du supplice amoureux que je devrais subir. Souffrir
pour et par vous pour être choyer. Pleurer pour avoir mes larmes bues par My Lord.
Folie de l'absence, folie de l'attente...
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