harmonysoumise

Lorsque ses mots m'enchainent :Te regarder grandir à travers mes yeux, te voir grandir, et te magnifier,  Tu seras belle et sensuelle dans ton animalité..... Et pour moi tu seras raffinée, sophistiquée........et parce que tu es Ma Chose, tu vas acquérir la force pour le crier au reste du monde............bien droite et bien fière, à quatre pattes et bien fière, toute écartelée, remplie et bien fière, toute ligotée, bâillonnée et bien fière.
Oui tu livreras mes maux au reste du monde et je serai fier de Ma Chose qui m appartiendra corps et âme.” 

Si vous n'avez pas lu le début

— Branles toi, caresses-toi pour Ton Maitre

Ce que je commençais à faire méthodiquement, je me savonnais le cou, les épaules, et j'entreprenais

mais je vous entendais

— Branles toi, caresses-toi pour Ton Maitre

Alors je me caressais les seins, sentais mes tétons poindrent sous mes doigts et je vous entendais...

— Ne t'ai-je demandé d'entendre mes murmures et demander de répéter des mots crus,

j'attends…

— Oui, Maître, je les entends

— Alors répetes -les

— Maître, vous susurrez que je suis votre bébé... que je suis votre catin, j'ai cru entendre

que vous disiez que j'étais votre tendre salope.

— Tu n'entends pas très bien ma chose ?

— Si, Maître

Alors pendant que ma main pinçait et faisait rouler mon téton sous mes doigt, je sentais

ces myriades de papillons qui envahissaient mon ventre. Je ployais sous le galop de

chevaux sauvages qui me piétinaient la colonne vertébrale.. ; et mes lèvres s'agitaient

mais …

— Tu dis ?

— Maître, je suis votre Bitch...

— Ai-je dis cela ?

— Je croyais que Bitch etait la traduction

— L'ai-je murmuré en anglais

— Non Maître, alors

— Maître, vous avez demandé qui était votre Chienne ?

— Alors …

Maitre, je sentais ma main caresser fort mon clitoris pendant que l'autre pinçait mon téton,

j'imaginais que mes mains étaient vos mains... je devenais folle, accelerant cette caresse édoniste

d'une main et de l'autre la torture de mon sein... ,

— Maître, je suis votre Chienne, oui je le suis...

— Répète ce que je murmure …

— Maitre vos mots … vous voulez ce que je dise que je me masturbe pour mon Maître que

je désire que mon Maître me possède, que je suis sa catin que vous me allez remplir quand,

où et comme vous le désirez...

—

J'ai alors du me mordre la lèvre pour ne pas hurler, pour ne pas gémir car vos mots enflaient mon

désir

— Dis moi, ce que je te murmure ma chienne obéissante, demandes-moi de te prendre

comme la femelle que tu es.... dis le je te demande simplement de ne pas réfléchir, ne

comprends plus ces mots juste répètes les.

Et dans une violente caresse de mon clitoris et pinçant à me faire hurler mon téton... je jouissais par

vous, pour vous.

— Je jouis Maître, je coule parce que je suis votre femelle, votre salope, votre Bitch, votre

ten-dressée à éduquer... Maître prenez moi, baiser-moi, empalez, sodomisez ce con, ce

sexe, ce cul qui vous désirent... Remplissez s'il vous plait ma bouche du nectar de mon

Maître, faites hurler votre créature...

Je devais m'allonger tout mon corps tremblait de plaisir de vous appartenir... qu'il est

diaboliquement doux de jouir pour vous.

© Ces textes appartiennent à Harmony et à son Maître, vous ne pouvez les utilisez sans leur permission.

Et si Confusius avait raison…
et si une image valait mille mots...
Quels seraient-ils ? 

Ce soir, ne rien dire, ne pas exprimer ces désirs, ces chatteries, ces gourmandises que nous aimons partager et pourtant savoir être là. 
Respecter ses silences, les remplir, les porter. Etre la sienne, être possédée ! 

Lui me manque comme si malgré les avions, les trains nous ne parvenions à nous retrouver assez souvent.
Il y a des retards qui sont délicieux... ou disons plutot qui le deviennent. Lorsque pour Lui, qui est loin, je tente d'imaginer ce que je fais depuis depuis 19 minutes que je revasse dans la salle d'attente de Roissy car nous devons nous retrouver, Lui rentre, il sera là dans 19 mm. 
Je décide de vous raconter ce que j'imagine que pourraient être ces 19 minutes, 19 minutes c'est bien court pour tenter de contrer l'absence, 19 minutes juste pour son plaisir, juste pour dire que je ne pense plus qu'à le retrouver, qu'à ce plaisir, qu'à son cuir... 

Dans le taxi qui nous ramenera, il posera sa tête sur mon épaule et me demandera de lui raconter les 19 minutes d'attente, les 19 minutes de retard de son avion... c'est un jeu chaque fois que son avion a du retard, il reste calme en imaginant qu'au sol, je dois m'agiter pour lui inventer une histoire, mes rêveries dans un timming crédible car il pourrait bien avoir envie de verifier in situ le déroulé de l'histoire...

Minute 1 : Mon corps s'éveille, un vol de papillons s'élance dans mon estomac, des chevaux aux galop martèlent ma colonnne vertébrale m'obligeant à tomber à genoux.

Minute 2 : à genoux, à vos pieds, je lève mes yeux vers vous, vous êtes là droit, grand, souriant... un géant de tendresse.

Minute 3 : Vous ne viendrez pas à mon aide, votre sourire me dit que vous voyez, vous savez, vous réjouissez...  Chatte, je minaude, je sais que mon oeil brille tentant de vous faire craquer… J'approche de votre mocassin de cuir, je sens le cirage encore un peu fort, puis l'odeur du cuir de mon Maître. Votre chaussure me rappelle l'odeur de votre fouet...
Je pose ma joue sur ce soulier, je m'aggrippe à vos chevilles, ma croupe se tend, mes reins se cambrent...

Minute 4 : — Tu désires mon animale, tu caresses, tu te frottes... Mon Maître vous savez que votre voix éveille mon corps, que je me raidis sous votre mélodie, vos mots flattent mon sexe... 

Minute 5 : Je caresse ma joue sur votre richelieu, je caresse mes tétons à vos lacets, je m'envivre, je m'excite. Femelle je sens la chaleur montée dans mon sang qui bouillonne. Mon sexe palpite, coquelicot turgescent, mon clito est dur et douloureux... Je me roule, sur le sol, je gémis, je feule, je désire. La femme supplie son Maître... 

Minute 6 : Je pose mes lèvres, j'embrasse le cuir ciré, je remarque que les bordures de vos chaussures, Maître, sont belles, propres... la petite brosse que j'aime tant sait prendre soin de ces souliers et de mon désir. Oui, j'avoue que j'aime aussi cette brosse hors ces travaux de cirage... lorsque  après avoir mordillé mon sexe, vous posez votre langue mouillée et chaude entre mes lèvres, et que vous promenez les crins de chevaux sur mes petites lèvres... lorsque le manche de hêtre tapote sur mon mont de vénus.

Minute 7 :  : Je pose mes lèvres, oui mon sexe humide sur le cuir de votre chaussure gauche. Je sens le cuir s'enmieler, je sens que mon clitoris durcit, que je me cambre, que je m'enroule sur votre jambe, frottant mes seins nues sur votre genou... le temps s'écoule doucement et mon désir coule lentement.

Minute 8 :  Je voudrais que le temps s'arrete, je désirerai à cet instant rester là des heures. Immobile, sereine, excitée, protégée. 

Minute 9 :  Le temps ne s'écoule plus, je reste là immobile, sereine, lascive et lubrique femelle.

Minute 10 :  Doucement votre main caresse mes cheveux. Je lève la tête vers vous, je frotte ma joue sur votre genou. Je suis bien, je sais que je suis juste, à ma place, sans peur, sans honte.

Minute 11 :  Tout va chavirer, tout va basculer... 

Minute 12 :  Indecente je serais, ne craignant rien, osant tout vous dire, ne refusant pas de vous expliquer ce qui se passe dans mon corps que je ne contrôle plus... 

Minute 13 et 14  :  Je vous déchausse, ote vos chaussettes, masse vos pieds, les pose sur ma poitrine chaude... les leche, les seche dans mes cheveux... 

Minute 15  :  Je vais me branler sur votre coup de pied, oui promenant mon clitoris et mes levres, encore et encore... mon corps gonfle, je suis votre catin, je suis votre salope et sur votre pied je cherche à vous offrir mon plaisir... Il me faudra encore deux minutes
Minutes 16 et 17 pour me perdre dans vos yeux... silence de cathédrale. 
Minute 18  : vous m'interdirez de jouir, vous me suspendrez à votre doigt qui levera mon menton vers vous... vous me baverez dans la bouche pour me faire patienter pour m'offrir votre nectar, tout  de vous m'est cher... et vous savez qu'à ce moment là ma bouche est sèche, ma langue colle à mon palais... 
Minute 19  : vous souriez liberant l'animale ... la suite est à vous et qu'à Vous...

 © Harmony pour les textes.
Pour les amoureux de chaussures : le Musée de la Chaussures de Romans. http://www.ville-romans.com/ - La chaussure une Gérard Sené. Et ces 19mm juste pour LUI.