harmonysoumise

Lorsque l'on sait que c'est LUI, attendre est une torture délicieuse.  Parfois la peur tiraille mais c'est plus fort, une petite voix me dit ...
- Ne cherches plus c'est LUI, patientes, écoutes, vis... IL approche, IL est là.  
La distance, les villes, les pays plus rien n'a d'importance, c'est LUI. Et j'attends sans craindre chaque jour, je grandis parce que c'est LUI et je sais et je sens et plus fort... Tout est difficile ? Mais c'est si évident... sa voix, son rire, ses mots me manquent... depuis longtemps trop longtemps qu'importe... 
Tout me parle de Lui : la poésie, le théatre, la musique,le piano, les vers, la cuisine, mes rêves...
Je sais c'est plus fort que moi car c'est LUI.  

Il est dans la fessée mille troubles.
Qui a goûté ce plaisir mature comprend pourquoi tant de femmes se disent de charmante femme-enfant*. Comme moi, ces adorables petites choses n'ont qu'une envie : grandir, être dressée, être corrigée par la main de leur amant**. Ne nous  trompons pas la fessée n'est pas une punition mais un cadeau. On donne et on reçoit une fessée comme un cadeau, une récompense. La fessée ne devrait jamais être donnée en colère, ni considérée comme une punition. Je mérite sans doute d'être corrigée pour faute mais jamais je ne désire que mon Maître assimile fessée et déplaisir. 

- Petite chose, je t'offre une fessée...

Son sourire pervers, son grand regard bleu, sa taille de géant, je fonds. Il sait que je suis déjà frémissante. Il me prend par le bras, tapote fermement ma joue, pose un baiser sur mes lévres et me bascule  sur ses genoux, toute habillée, juste la culotte baissée, la honte m'envahit.

- Petite chose, tu mérites cette fessée

- Oui, Maître, je la mérite et je la désire. 

Á cet instant, j'entend le souffle de mon Maître, il va frapper, claquer.
Sa main est tendre, douce, chaude, grande... elle va arriver ferme, sèche sur mon cul rebondi et tendu.

- 1
Il poursuit, je sens mes rondeurs chauffer, il alterne à droite, à gauche, il augmente l'intensité, il savoure. Je sais qu'il ne cessera pas avant que des larmes coulent... pas avant que mes fesses soient devenues rouge cerise.
je compterai au moins jusqu'à 50. 

- 16, 17, 18, 

Les claques pleuvent, incandescences délicieuses, elles mettent mon corps en flammes.

- Petite chose, ouvres un peu tes jambes, penches-toi bien en avant.

- oui, Maître. 19, 20, 21... 

Sous ma chemise fine, mes tétons durcissent, ils me font mal... tout mon corps s'excite. Dans mon ventre, chaque claque résonne en une vague folle. 

- 22, 23, 24, 24

Alors que je compte, entre deux fustigations, mon esprit s'évade, je m'entends murmurer

- encore, Maître encore. 

- 25 

- Que dis-tu Petite chose tu bafouilles ? Où en sommes-nous ? 

- 25, 26, 27, Maître...

Il caresse, il sait que maintenant je suis ailleurs, il frappera de plus en plus fort... il sait qu'à partir de maintenant je souffre, sa main m'est peine et douleur. Il le sait et il va savourer... Pervers amoureux, il sait que maintenant ce supplice m'est bonheur à lui offrir.
Chaque nouvelle volée brûle, coupe, scie, mes chairs. Ma croupe sera bientôt tendre chairs en charpie pendant quelques heures, quelques jours, je me souviendrai de cette fessée magistrale. Je le chérirai ce Maître capable de meurtrir l'être fière, hautaine, froide que je suis. Des jours où je serais docile, animale douce sans rébelion.

Mais pour l'heure, la fessée pure que mon maître aime m'offrir à mis le feu à mon corps femelle. 

Á LIRE AUTOUR DE LA FESSÉE :

LES CITATIONS 

- J'ai une fessée rentrée dans le creux de ma main. (Raymond Queneau)
- Vas-y c'est bon (Jean-Jacques Rousseau)
- En mai fesse qu'il te plaît (proverbe bas picard)
- Prenez un cercle, fessez-le, il deviendra vicieux. (Eugene Ionesco)
- C'est la dérouillée dit Charlot avec une sorte d'ivresse, c'est la décullottée, c'est la fessée (Jean-Paul Sartre)
- La fessée est un supplice pour les enfants et un délice pour les adultes.(Lao Tseu)

LES LIVRES 

 - Histoire de la Fessée - de la sévère à la voluptueuse par Jean Feixas  

- L'éloge de la Fessée par Jacque Serguine
Un des plus beau playdoyer pour la fessée entre adultes.Après cela tendre ses fesses pour recevoir la voluptueuse caresse des mains de son Maître devient le plus divin plaisir. Ce que vouus chairs désiraient depuis longtempsJacques le donne à comprendre à nos cerveau. 

- Osez la fessée
aux editions La Musardine par Italo Baccardi 
Italo Baccardi est masseur-kinésithérapeute et a par ailleurs signé plusieurs ouvrages à La Musardine sous divers pseudonymes.

* Il est entendu qu'on ne fesse pas les enfants, leur cul est si petit que votre main leur font mal. Je parle ici du délice que s'offrent deux adultes consentants.
** Celui qu'elle aime et qui l'aime. Bien sur, il est ami, amant, mari... aucune consédération sociale ou morale dans ce vocable. 

© Les textes appartiennent à Hamony et ne peuvent être utilisés sans son accord. 

Mon dos le réclame, le baiser brulant de son fouet.
Il hésite, il retarde mais il sait qu'il faudra...
Je le crains, il m'affole et pourtant je le désire. 
Immobilisée pieds et mains, enchainée, suspendue, aveuglée par la cagoule de cuir et rendue muette par le baillon, j'écoute ses pas. 
Il s'approche... sa main chaude caresse le dos qu'il chéri et qu'il marquera bientôt. 

Le cuir tendre et doux du fouet sur mon nombril me glace d'effroi et allume un feu en mon ventre. Je le désire. Il attend, il veut entendre, il désire que je le réclame.

- M fouettez-moi, s'il vous plait ! 
Déjà, je crois perdre connaissance, mon sang se refroidi, mon corps fourmille, ma vie m'abandonne. Je voudrais disparaître et pourtant je supplie.

- M, donnez moi le fouet, qu'il claque, je le souhaite. 

- Oui, mon Ange tu le mérites, tu le désires et tu l'auras... Compte !

Le silence est lourd, le silence est long... 1 seconde, 10 secondes, 1 minute , 1 heure combien de temps suis-je là offerte ? 

- 1 

Le fouet a traversé la pièce guidé par sa main sure, cruelle, aimante et déchirante. Mon dos est traversé d'une secousse infernale, inexprimable..
Je souffre, je sais qu'il y en aura d'autre M n'aime pas l'unité, ni les chiffres pairs.  Je souffle, je rage, je désire. 

- 2 3

En donnant ces deux coups secs et rapprochés M, sait qu'il me noie que je perds pieds, que je m'envole, que je divague 

- 4 5 6

Je sens la lanière pénétrer doucement ma chair.

- 7 8 9  

© Le Texte  appartient Harmony - L'illustration est de l'artiste  Lory :galerie-com.com/artiste/lory-design/3741/"

Le silence d'un Maître est-il une leçon de patience, est-il possible que cela soit une réponse, un pas nécessaire ou une lâcheté, un défaut de maturité d'un Maître à bout d'argument  ? 

Que cache ce silence imposé par un Maître ? Est-il possible que la souffrance que le vide procuré soit nécessaire ou s'agit-il d'une cruauté imposée à sa Chose ? 
Que signifie ce mutisme ? Une erreur commise par la Chose, par cette fragilité émotive et non maîtrisée peut-elle être sanctionnée par ce moyen. Le Silence peut-il devenir une méthode d'apprentissage ou n'est-il qu'une lâcheté qui empoisonne, qui bouleverse, qui enflamme ?  

Le dialogue ne doit-il pas toujours prévaloir ? Est-il possible que la folie, la rage, que provoque l'absence du Maître fasse avancer, ou cette absence finira-t-elle par briser l'essentiel ? 

Ce silence terrifiant pourrait-il s'inscrire comme une épreuve, comme une torture indispensable pour se dépasser. Comment comprendre, comment apprendre à se contrôler, moment ne pas se sentir inhumainement traitée, comment ne pas perdre confiance, comment ne pas exploser, comment ne pas provoquer l'irréparable, comment ne pas en perdre l'estime ni de soi ni de son Maître ? 

Comment s'accrocher à cette confiance, à l'Amour, y puiser la force, devenir encore plus grande, encore plus belle. Comment serrer les poings, les dents pour ne pas douter, ne pas se laisser envahir par la peur…Comment sentir ses chairs irradiées et ne pas accepter d'imaginer son Maître trahir, ne pas écouter ces voix qui le dénigrent…

Peut-on se laisser envahir par le lierre comme une Muse sculptée et ne pas flancher pour s'enivrer d'une litanie illuminante :

Si Mon Maître est le Grand auquel j'appartiens, il mérite cette souffrance et je dois être forte… il saura ne pas abuser de la torture, il saura mesurer l'impact.
Si, il n'était pas celui là, il aura touché une Reine, et il aura appris dans sa chair combien il est loin de ce royaume, combien il n'est que discours, banalité, petitesse. Non, il n'aura pas humilié une Divine Chose, il aura fait la preuve de sa platitude, de son insignifiance, de sa médiocrité. L'épreuve aura le mérite de mettre fin à une manipulation. 

Le silence est une torture, une leçon qui fait souffrir mais qui grandit, une Chose doit pour son Maître monter cette marche douloureuse mais oh combien indispensable pour aller plus loin !!!

Peinture © Andromeda - Rembrand  - Texte © Harmonydominée

Je vais vous offrir un petit morceau de mon jardin secret... 

Quelques lignes de mon dernier échange avec M.L. 

Ces lignes m'ont littérallement envoûtée.

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

Je ne mets ici que quelques lignes de l'échange... 

- Bonsoir ma soumise

- Bonsoir M.L.

[....... ]

- J'ai aimé vos photos d'orties ce matin... 

- Oui, de jeunes orties en fleurs, perlantes de rosée, j'aime les voir lorsque je fais mon jogging. 

[....... ]

- Si vous disposiez d'orties maintenant, je vous demanderais d'effleurer vos seins avec les feuilles de feu. Puis comme vous êtes lasse, à chaque baillement, vous pourriez passer de nouvelles feuilles sur vos fesses, ou sur l'intérieur de vos cuisses.

[....... ]

- Je vais vous quitter, je vais aller dormir. Approchez à genoux, laissez mes doigts emprisonner vos tétons. Regardez-moi, ouvrez votre bouche !
Je pince plus fort, trés fort au moment où je vous crache dans la bouche.  

- Ma soumise, je savoure votre larme, silencieuse...  puis tirant encore sur vos tétons, je vous fait vous redresser, vous relever jusqu'à ma bouche. Je vous embrasse. 

- Comme vous êtes habile, vous soufflez le froid et le chaud. Votre crachat sur ma langue pouvait être horrible mais par votre habile dosage, par votre tendresse, par ce baiser. Voici que lorsque vous me crachez dans la bouche cela est mon enchantement... M.L. vous êtes délicieusement diabolique.

- Ma soumise, vous êtes si délicieusement soumise... à accepter ce crachat, que je sais si violent symboliquement, je ne peux que vous retourner un tendre baiser. Conservez souvenir de ce baiser lorsque vous vous languirez. 

[....... ] du texte a été enlevé mais il est ce que je considère mien, ce qui me lie à M.L. et n'appartient qu'à nous. Je me livre impudiquement à vous mais ne peux pas tout vous offrir. 

© Copyright - Les textes appartiennent à Soumise B, vous ne pouvez pas les copier sans son autorisation.