Mardi 24 janvier
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								18:05
					
    		 
	
				
    Je pourrais simplement vous offrir ce lupanar... 
LUPANAR
Good God, what a night that was,
The bed was so soft, and how we clung,
Burning together, lying this way and that,
Our uncontrollable passions
Flowing through our mouths.
If I could only die that way,
I'd say goodbye to the business of living. 
 Mais j'avoue avoir
    eu envie de Lui dire publiquement, l'impudique qu'il inspire. 
 Depuis plusieurs jours, nuits agitées. Je vis envoutée.
    
 Je suis éveillée, par le frais sur mes fesses nues puisque c'est ainsi que je dors.  La couette est soulevée sur mon
    cul sans dentelle et rosebudé.
Je suis éveillée, par le frais sur mes fesses nues puisque c'est ainsi que je dors.  La couette est soulevée sur mon
    cul sans dentelle et rosebudé.
C'est Lui, c'est vous, je
    vous sens là près de mon lit … C'est mon Maître… il murmure :
-
    HarmOny, ouvre la bouche , écarte tes jambes !
Je gémis, à demie
    éveillée mais j'obéis et me rendors ouverte et offerte… 
Plusieurs fois éveillée ainsi dans la nuit, ces nuits sont douces et me mouillent de
    miel chaud.
Cette nuit, cela se répéta…
Le frais sur mon con en l'air, puis votre murmure :
- Mon HarmOny, mon O vive, ouvre la bouche , écarte tes jambes !
Mais cette nuit, ce fut plus doux… votre main s'est posée sur
    moi. Sur mon cou, vous avez serré l'anneau, j'étais liée, enchaînée.
- O, ouvre la bouche , écarte tes jambes ! Tu ne vas plus pouvoir désobéir, je ne
    serai plus obligé de venir te réveiller si souvent, je pourrai me consacrer à te torturer pendant tes nuits.
 Vous avez
    posé sur mes lèvres, ce bâillon ouvre-bouche…
Vous avez
    posé sur mes lèvres, ce bâillon ouvre-bouche… 
Il m'était alors
    impossible de refermer mes lèvres… j'étais O-bligée, O-fferte, O-uverte, j'allais baver, incapable de contrôler le flux de ma salive. Oui, baver comme l'animale désirante, gourmande, votre O
    bavante.
Puis vous avez pris mes poignets et vous avez posé de
    larges bracelets de cuir, munis de mousquetons, vous m'avez écartelée par deux chaines tendues aux coins du lit… Ma poitrine relevée gonflait, mes tétons
    durcissaient… 
- Oui, O je vois tes tétons bandés… je m'en
    occuperai plus tard. Pour l'heure, écarte bien tes jambes, encore plus ma belle O ouvre toi, laisse-moi voir ce fruit qui est le mien, ce sexe épilé, lisse et doux et mûr dégoulinant de
    sève.
- Mais tu mouilles ma Catin ?  
Vous avez recueilli ce lait du désir et me l'avez posé sur les lèvres, baîllonée, je
    ne pouvais le boire, ni l'enlever, j'en sentais la luxure...
- Goute
    ton désir, ma Salope… je vois ton sexe se contracter, tu es folle de désir… 
Puis vous avez posé sur mes chevilles les bracelets de cuir que vous avez liés à une barre d'écartement… je ne pouvais plus refermer mes jambes.
    Retenue accessible, accostable, mon sexe béant allait couler de plus en plus… je sentais dans la vallée de mon cul, le jus tiède couler… 
- Voilà ma douce O, tu es maintenant O-béissante, tu as la bouche ouverte et les
    jambes écartées. Oui, tes seins arrogants se sont dressés, je les vois fiers… ils doivent apprendre l'humilité !
Vous avez posé sur chaque mûre érigée une pince… la morsure brulait rapidement, la
    douleur envahissait mes épaules… je savais que des larmes couleraient avant que je n'ai apprivoisé la douleur traîtresse. 
Car lorsqu'elle disparaîtra, elle promettra son retour flamboyant lorsque vous
    retirerez les mordantes pinces.
Vous veniez de vous asseoir près de moi. Je vous entendais souffler… je voyais votre sourire froid et tendre, votre regard amoureux et
    pervers. 
- Tu es belle O ainsi rosebudée, pincée, entravée, ouverte, offerte, brûlante animale offrant à ton Maître, ton délicieux martyr. Chaque nuit,
    tu seras ainsi malmenée, je veux que tes larmes inondent tes vertes prairies… tes grands yeux verts ne seront qu'eaux. Mon esclave entravée, mon esclave domptée… Je bouleverserai ton
    esprit, enflammerai ton corps, déchiquetterai tes chairs.
Le matin,
    je te retrouverai et te consolerai. Tes jours seront lumières et amour, tu seras ma princesse, ma vestale, mon astre, ma vie, mon air. Tes nuits seront enfer et ténèbres, je serai le
    bourreau de ton âme, je serais le tourmenter de ton corps, l'inquisiteur de tes désirs sombres, le tortionnaire de ton amour. Tu prieras pour mourir chaque soir et supplieras de renaître
    chaque matin. Tu seras toi : folie et paradoxe, belle et animale, heureuse et tourmentée. Tu es mon O, l'O d'HarmOny, ma catin, mon animale. 
Le réveil sonnait.
      Entravée, malmenée,  je vous vis, nu, beau, grand, magistral, une tasse de thé chaud à la main, votre sourire merveilleux aux lèvres.
- J'ai eu si mal, ma
    nuit fut abîme, géhenne, mon jour sera Nirvana. Merci Maître, mon LUI, mon Mâle adulé." 
  
  
     
  
  
    © Les textes appartiennent à HarmOny
© Illustration : John Martin - Le
    Pandémonium (1823 - 1827) Musée du Louvre
  
		
	 
		
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