Vendredi 24 août
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01:10
Je voyage souvent : train, avion.
Maître vous vous amusez à me
voir rougir lorsque je suis avec vous, alors bien sûr, vous aimez me concocter des petites bouchées de gourmandise perverse même lorsque vous êtes absent. J'espère que vous savourerez mes lignes
qui vous racontent mon obéissance.
- Tu voyageras sans dentelle — nous avons pris l'habitude de nommer dentelle : les petites culottes, string et
autres accessoires de lingerie qui couvre fesses et sexe — m'aviez vous dit.
C'est donc les fesses nues que je prenais le train, un petit voyage de 52 minutes... qui m'emmène vers Vous. La nudité de
mon postérieur, l'absence de string sur mon sexe me laissent toujours aussi humide et troublée qu'au premier jour, je dirais même que j'ai l'impression de couler encore plus... comme si mon sexe
avait pris l'habitude de dire son trouble. Je suis en route, je prends vite le métro perchée sur mes sandales en reptile chocolat pour me rendre à la gare.
Déjà, j'ai reçu vos messages et ressenti la grosse vague troublante dans le ventre.
Dans la file qui me mène au guichet où je vais
acheter mon billet, je suis derrière trois hommes, des commerciaux parisiens sans doute à en juger par leur costume, certes élégant mais sans plus. Il est vrai que mon train est à 10h38 un jour
de semaine, en pleine période de vacances, et déjà le soleil est étouffant, pas idéal pour voyager .
Je suis lointaine, distante déjà rêveuse à cet
orgasme commandé. Car c'est bien cela que vous désirez... Vous souhaitez que je me rende — après le départ du train — dans les toilettes du wagon et que je me fasse jouir pour vous... A y
repenser, mes tétons durcissent à nouveaux...
J'ai donc posé ma veste, ma bouteille d'eau et mon magazine féminin sur le siège près de la fenêtre
envahissant aussi le second siège — mes voyages en train sont mes seules escapades en glossy magazine land : des bulles de futilité, j'ai failli écrire des bulles de débilité... ce
jour, c'est Glamour magazine qui me fera sourire. Je suis donc prête à obéir dès que le train roulera, glissera, vrombira, vibrera.
Á l'heure, le train
s'ébroue et nous quittons Paris. Un voyage de 52 minutes, pour jouir pour mon Maître. Je lui offrirai mon plaisir...
C'est assez excitée que je rejoignais
les toilettes du train. Dans le TER Bourgogne, l'endroit est propre, assez spacieux... mais il est situé au milieu d'une voiture, cela semble moins isolé que dans les anciens trains où la petite
pièce était dans le couloir, un peu à l'écart.
Un coup d'oeil précis et discret aux voyageurs me fait croiser le regard d'un Monsieur plus très jeune mais
toujours très élégant qui me voit entrer.
- Oui, et alors ? Il n'est pas écrit sur mon front que mon Maître m'a demander de jouir pour lui dans le train...
La suite pourrait se résumer ainsi...
- Maintenant que je suis enfermée, loin du regard des voyageurs, il me suffit :
d'Obéir et de me faire jouir pour Lui, offrir à mon Maître, ce plaisir volé à la morale, ce plaisir offert sans honte à mon Maître.
Je
suis tremblante, frémissante, je deviens animale désirante, femelle assoiffée de désir, avide de plaisir... Mon Maître veut mon plaisir pourquoi l'en priver et plus il désire plus mon corps
bouillonne. Je me découvre chaque fois de plus en plus sensuelle, sexuelle... ma chair vibre, ma chair exulte. Je découvre que mon corps répond au postulat : Plus on sollicite le corps, plus il
est exigeant. Je perds la raison, mon corps envie, veut encore et encore... mais de là à accepter de jouir pour lui dans le train.
Il n'y a qu'un pas à faire. Obéir !
Me voici donc dos au mur, robe remontée sous les bras, je dois contrôler mes pulsions sexuelles et atteindre lentement, sans nervosité, joliment cet état d'extase
pour l'offrir à mon Maître.
Je mouille d'un peu de salive mes doigts et commence lentement à caresser mon clitoris. Il ne me faut pas longtemps pour que
je sente gonfler ma « petite clef ». Ainsi masturbée, je sens mon sexe se remplir de miel, je sens rouler sur mes cuisses ma cyprine...Je sais plus où je suis, combien je temps je frotte mes doigts sur ma chair boursoufflée, excitée..
-— Maître, pour vous je me baise, pour vous je me frotte, pour vous je rage de jouir, mes doigts nerveux, deviennent fous, la mission de remplacer votre
phallus les affolent. Mon corps souffle, tendu, humide, je suis si prêt de me perdre, je ne suis plus humaine, je suis à vous, rien que votre chose, votre animale. Je ne suis plus que sexe,
plaisir, douleur... j'explose, je coule....Maître pour vous je jouis. Ce n'est plus du plaisir, mais de la démence, mon con en fou, en feu, hurle de plaisir.
Je jette un regard sur ma montre, nous arriverons dans 20mm, je suis restée hors du temps suspendue par vous à mon plaisir, plus de 15mm. Je me rafraichis,
me recoiffe... il me faut rejoindre ma place et retrouver le calme après cette débauche effrénée qui mêla le corps et l'esprit. L'ordre de mon Maître et l'interdit moral se bousculant dans mon esprit autant que dans mon corps. Je regagne ma place, et si on lisait sur mon visage, et si on devinait dans mes yeux.
- Maître, j'ai joui pour vous, Merci Maître
-
Si, les voyageurs devinaient je suis votre femelle dont les barrières tombent chaque jour, que je suis votre chose sexuelle, que je suis lèvres
entrouvertes, cuisses offertes à mon Maître. Un sourire se colle sur mes lèvres, érotisme et perversité mêlées, je suis apaisée.
C'est si doux de vous appartenir et d'obéir.
Nul doute que le baiser que je vous offrirai vous dira le plaisir de jouir pour vous et l'émotion d'être la votre.
© Ces textes sont toujours offerts à mon LUI. Et puis je les partage avec vous et par couroisie et discrétion, il se peut que les lieux choisis ne soient pas les
lieux exactes...
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