Je vous ai souvent
décrit ma passion pour la domination charismatisque cette aura particulière du
Dominant.
Alors que le Dominateur éveille le combat, la guerre, le Dominant me dépose sur un nuage qui m'éléve... Comme j'aime la puissance*, le respect, l'imposante
tendresse d'un véritable dominant.
Tout comme la bestialité, l'animalité peut s'exprimer esthétiquement, la brutalité, la primalité, la domination
n'empêchant jamais l'élégance. je crois qu'il y a beaucoup de confusion à éviter...
Elégance n'est pas carcan, chacun adoptant le style dans lequel il est lui... je sais combien il est envoutant de lire dans les yeux de son dominant sans qu'il n'est besoin de prononcer un mot
:
- I wont say it twice strip down and get on your knees right now
Quelle émotion, quel bouleversement lorsque le regard de ce Lui vous dit simplement...
- Tu es à moi, tu es mon animale, vis nue et à mes pieds... je te comprends je t'aime ainsi car c'est ta place.
Au sujet de puissance, j'aime la
comparaison avec l'océan, la mer
(* 1) J'aime les mots de © Beautflstanger qui dit : "have come to the conclusion that Dominant men are like ocean waves…powerful relentless cool and should you venture to swim with the ocean… you will respect the power it has over you and the
tenderness with which it deposits you back on shore.
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En éveillant la femme — j'aime
l'être, merci Vous — il n'assignait pas de rôle, il guidait, il éveillait, il allait chercher ce que je suis et doucement, il me faisait m'accepter... 
J'aime l'Homme dans son intégrité, dans ses ambiguités, dans ses contradictions... J'aime l'homme fort, l'homme
fragile, la bête, l'intelligence, le musicien, le fantaisiste pour ne pas dire le fou merveilleux. J'aime celui qui vit, qui palpite, qui cherche. J'aime l'homme
aquarelle. 
Sous mon arbre, au soleil, je m'assoupis au vapeurs trop chaude. Je rêve d'un bel orage... d'un orage, pendant lequel on se dit 'est le moment de
sortir, de courir sur la lande ou de partir en chasse. Courir les pieds dans la terre... Pour une chasse, comme celles du comte Zaroff par exemple..... Que
j'aime marcher pieds nus et fuir devant le chasseur ! Oui, bien sur, nue, pieds nus appréhender le monde avec son corps… le bois, l'herbe, les cailloux puis faire l'amour ainsi.... dans
l'herbe mouillée après un orage d'été, prendre la force d'un vieux chêne en l'enlaçant complètement et grimper dans ses bras… 
Il est étonnant de voir comment ces liens me sont indispensables... Ces liens sont-ils ceux qui unissent un Maître à sa chose ou ceux qui attache une
Maîtresse à son Animal ?
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