harmonysoumise

Est-il possible de vivre amour et soumission ?

Comment vivre une relation de domination heureuse ?

Alors qu'une campagne nationale contre la violence faite aux femmes * démarre en France, comment vivre une relation de domination heureuse.

  * En France, une femme meurt tous les deux jours des suites de violence infligées par son mari ou son compagnon. Cela est inacceptable. !

LE CRUCIFIX DE LA SOUMISSION.

Depuis quelques temps, ma volonté de vivre et de comprendre mon désir de soumission se fait chaque jour plus grande. 

Mon Maître est un délicat guide, m'obligeant à regarder en face mes contradictions, refusant de prendre les décisions qui m'incombent...

J'avoue que je me pose beaucoup de questions. Pourquoi se soumettre ? 

Aujourd'hui, une autre question me préoccupe. Celle de la chrétienté et de la soumission. 

Soumise et punie au nom de notre seigneur Jésus-Christ. Qu'en pensez-vous ?

Pourquoi ne pas utiliser les objet de la crucifixion pour se soumettre ?

Recevoir les châtiments attachées sur une croix,  

Pratiquer les positions de soumission avec un crucifix en offrande...

  Être punie par son directeur de conscience.  

  Avez-vous des idées, des expériences...  à me faire partager ?  

Je me souviens d'avoir vu Exorcisme, un film qui me bouleversa mais avez- vous vécu d'autres expériences de soumission et de religion ?

Avez-vous déjà abordé votre soumission avec votre confesseur ? 

C'est au pied de la croix, que je dépose ma vanité et que je revêt la robe de soumise. Celle qui me fait oublier mes fiertés, celle qui me permet de m'abandonner totalement à mon Maître. 

Jouir sur commande. On pourrait presque résumer ainsi

Attendre son accord pour jouir. Le supplier de me donner le droit de jouir.

Comment résumer son emprise ?

Maitre M , est un admirable cérébral, un calme. Mais ne vous trompez pas pas un mot prononcé ne lui échappe.

Pas de surveillance, pas de doute, mais un jeu merveilleux de vérification de compréhension. 

Maître M est là à chaque instant. Chaque doute de sa soumise le concerne, l'interroge, et provoque discussion, challenge.

Mais surtout provoque trouble, frisson, émotion chez sa soumise.

Maitre M parvient délicatement a emmener sa soumise à s'oublier, à abandonner la femme "moderne"," l'executive", l'intellectuelle, la penseuse, pour la conduire à réveiller volontairement la sensuelle, la troublée, l'animal...

Quelle délicieuse manipulation, quelle douce complicité il engendre...

- Ôte ta culotte, allez plus vite ! 

- Mais Maitre... 

- Ote là vite , 

- A qui appartiens-tu ? 

- Á vous, Maître .

- Alors... oui, elle est jolie cette dentelle, j'aime cette délicate lingerie. Donne-moi ta culotte .

- Maître, laissez-moi... 

- Enlever la preuve de ton excitation, cette petite protection témoin de la montée de ton désir... Écarte les jambes... 

plus , encore, oui, ouvre tes cuisses. 

- Maître, je me sens 

- Oui, complétement trempée, la rosée coule sur notre jardin. Ton bouton, ta fleur sont largement irrigués.

Caresse-toi, oui allez, encore, encore... oui. 

- Maître, puis-je jouir... 

- Non, pas déjà, caresse toi encore,  ton clitoris est dur, oui encore caresse-toi , encore plus vite, 

- Maître, je 

- Non, pas maintenant, non, tu ne peux pas ! Caresse-toi... oui, plus vite, plus vite encore, encore. 

- Maitre, Maître...

- Non, ma chère soumise, à qui es-tu ? 

- oh, oh, à vous Maître... je suis votre soumise. 

- Alors caresse-toi encore, encore, oui, ouvre tes jambes, ouvre tes cuisses, pénètre-toi avec un doigt, oui... enfonce-le ce doigt plus loin, plus profondément. Explore-toi. 

- oui, Maître, oui... 

- Encore, un second, oui, allez loin, plus loin, plus vite, plus fort.

- Maître .... je 

- Non, Mademoiselle, pas encore, 

- Mais je 

- Que veux-tu ? 

- je veux jouir... 

- Pas encore, laisse-moi voir, oui ma main sent ton corps mouillé, ton clitoris dur... oui, caresse le encore, 

ah, tes tétons sont tendus, dressés... oui, tu veux jouir. 

- Oui, Maître

- Demande-le Mademoiselle .

- Maitre, puis-je jouir... 

- Pas encore, pas tout de suite, écoute ton corps, sens ton désir... oui, tu le sens.

- Maitre, maître

- Oui, tu peux aller, plus vite, maintenant... oui, allez. Tu peux jouir, oui, tu le veux, tu le veux et tu peux, je te l'autorise... 

Mon large bracelet métallique émet un cliquetis de chaine... un son de soumission...

- Maître, je vais

- Oui, Ma soumise, détend-toi, lâche-toi, frotte-toi...

- Maître, Maitre,

- Oui, chère Soumise, laisse-toi aller  ...

Dans un gémissement mi-humain, mi -animal, un spasme envahi mon corps. Un tremblement  secoue mon ventre, mes reins ondulent... j'explose... mon désir devient jaillissement de plaisir.  Hurlement de sensation.

- Respire, oui, savoure ce moment, à nous, à moi, à toi. 

- Merci Maître.

Je me plie incapable de soutenir la secousse. Puis viens me blottir sur mon Maître. Sa main dans mes cheveux, ses caresses sur mon dos m'apaisent , me permettent de savourer ces ultimes tressaillements. 

- Á qui es-tu ? 

- Á vous, Maître

-

Tu dois partir, c'est fini, tu vas être en retard...

- Non, Maître.

- Tu le dois.

Maitre M  — comme Maitre A (l'être imaginaire)  l'avait déjà fait — parvient à faire jouir sa soumise sous influence.

Non, je n'ai pas renoncé, je n'ai pas disparu. Hésitante, en recherche. 
J'ai réservé mes écrits à un guide, à un individu.  J'ai tenté de me comprendre, d'identifier mes désirs, ma capacité à me soumettre. Mon désir de m'offrir, de n'être qu'un objet.. 
Depuis une semaine, j'attends ces instants, où je retrouve le message et les défis de ce guide... 
Quel échange merveilleux que celui qui permet à deux êtres de se découvrir sans pudeur, sans vulgarité.
Je vais revenir... 

Cette plume que je nomme M. a initié un échange merveilleux....
Un Abécédaire : chaque jour une lettre et les mots que cette lettre inspire...  puis pour corser le tout.. il choisit quelques mots, me demandant ma définition personnelle de l'un d'entre eux. 
Certains trouveront ce jeu trop simple, peu charnel, bien loin de la soumission. 
A ceux là je réponds, de combien de bonheur vous privez-vous ?
Aux autres, ceux qui imaginent déjà quelle jouissance, trouble cérébral cela peut procurer, je leur promets de venir leur faire partager notre Abécédaire. 

Je me réjouissais , je venais de retrouver sur mon écran Maître A. Il m'avait abandonnée depuis 5 jours. 5 jours pendant lesquels, je ne pouvais plus lui parler, plus recevoir ses consignes, plus me ressaisir à ses ordres. 
- Bonjour, Maître A, comme cela me fait plaisir de vous retrouver.
- Moi aussi Soumise B, comment vas-tu ?
- Maitre A, je suis un peu faible, j'ai mal mangé, peu dormi pendant votre absence...
- Mais pourquoi ?
- Mon corps me torture lorsque vous n'êtes pas là ... lorsqu'il ne vous touche pas..
- Mais encore ?
- Mes sens sont perturbés, ma raison défaillante... je perds le goût de vivre.
- Je suis là...
- Je suis heureuse de nouveau.
- Nous pourrons nous voir dans 4 jours, je viendrais te chercher pour aller à la campagne, retrouver ton amie Velika . D'ici là soit heureuse, retrouve le calme, ton appétit, ta beauté, le sommeil...
- Maitre ...
- Ah, oui, une consigne, tu as besoin d'une consigne... d'ici là fais-moi le plaisir
- Oui, Maître.
- J'aimerai que pendant ces quatre jours, tu prennes soin de toi... fais toi encore plus belle, fais-toi la peau douce... n'oublies pas de faire tes exercices, chaque matin démarres avec le rituel.  
Oh, oui Maître...
- Une dernière chose, je souhaite que pendant ces quatre jours, tu ne te fasses pas jouir... tu te masses pour ta peau, tu t'offres pour le rituel, tu t'entraîne aux positions de soumissions mais je ne veux pas que tu jouisses.
- Merci Soumise B, au revoir, je dois te quitter. A vendredi. 
La consigne la plus cruelle venait de tomber. je devais me faire belle, prendre soin de moi afin de retrouver Maitre A mais je ne pouvais pas jouir , je ne pouvais pas avoir de plaisir en pensant à celui pour qui je vivrais ces 4 jours.
Celui pour qui, j'étais capable d'être nue, humide, celui pour qui je m'oubliais, m'offrais , m'abandonnais...
Celui pour qui tous mes trous et à chaque instant étaient disponibles, accessibles, celui pour qui j'avais pris l'habitude de ne plus porter de sous-vetement, celui pour lequel j'étais devenue une chienne docile et fidèle m'interdisais le plaisir.