La Découverte

Dimanche 28 mars 7 28 /03 /Mars 16:51

Loin de M.L. pour cette soirée, je ne pouvais ni lui appartenir, ni communiquer virtuellement... souhaitant cependant lui offrir ma soirée,  je décidais de lui offrir la Toupie de Chardin.

Chardin-latoupie.jpgLes musées nationaux ont la bonne idée de reproduire bijoux ou accessoires figurant dans des tableaux de Maître, c'est le cas d'une petite toupie de bois qui figure dans le tableau de Chardin... Cette petite toupie d'environ  5 cm est de très belle facture et son équilibre, la rend merveilleusement tournante mais ce soir, je lui ai trouvé une autre fonction...

Je me l'installais dans l'anus comme je l'aurais fait avec un plug. Mais cette petite toupie est beaucoup plus délicate et il me plait ce jeu artistico-érotique.

Il était donc 18h45, lorsque mon cul enlaçait le petit jouet. Je le porterais toute la soirée, devant me rendre à un diner chez des amis vanille sans M.L. Je sentais le petit objet me caresser le cul et mes sphincters se contractaient autour du manche de la dite toupie. oh, délicieux massages que je m'accordais.... et ce fut ainsi toute la soirée.

toupie
Maître, vous n'étiez donc jamais loin de mes pensées. Ce petit jouet taquinait mon bouton de rose comme vous aimez le faire si souvent. Je sentais la petite toupie dans mon cul et cela m'excitait. Je me sentais doucement m'humidifier. Aux prises avec le désir de sentir vos mains, votre langue, vos doigts... tout me rappelait à vous, de vous. Il me fut si doux de me taire et de voler vers vous. Vous étiez là, je faisais danser l'anneau d'O, fièrement autour de mon annulaire. Mes amis devaient être bien loin de savoir ce qui me faisait sourire, lorsque je me dandinais sur la chaise en bois dur — j'avais volontairement choisi le toupie2 siège le moins confortable, celui qui m'enfoncerait le petit objet le plus sévèrement dans mon fondement.

Il m'aurait suffit de bien peu, pour que je parvienne à hurler de plaisir... J'ai aimé vous offrir la toupie de Chardin, cher M.L. Il me fut doux de sentir la petite hampe dans mon tréfonds. Que j'aimais vous imaginer dans mon jardin secret à  jouer de ce petit instrument. Je devinais votre sourire... j'étais bien. Je vous imaginais près de moi, vous savez combien, je me sens plus grande lorsque je suis près de vous. Rien ne me semble impossible, rien ne me semble difficile.

 

Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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Samedi 20 mars 6 20 /03 /Mars 23:29
Il était maintenant 18h, je me détendais dans un bain lorsque M.L vient me dire que nous allions reprendre la séance… Cela voulait dire que je serais soumise à de nouvelles épreuves.
Mon Maître aime alterner dans ma journée de soumission : épreuve, détente, réflexion, moment de tendresse...

Je sortais du bain, me séchais et attendais à genou que M.L, revienne me chercher. Il me remit mon collier — mon Maître souhaite que je porte en permanence un collier lorsque je suis avec lui — J’en possède plusieurs que je peux assortir à ma garde robe. Je porte aussi un anneau d’O, le dernier cadeau que m'a fait M.L. [Je suis une soumise gatée].

A mon collier, il y crocheta ma laisse, une belle chaîne en acier français agrémentée d’une jolie poignée cuir naturel avec couture sellier.

Il m’offrit de trinquer et de boire ainsi liée à lui comme un animal, un verre de Médoc 2005, M.L. est un gourmet, il aime associer plusieurs gourmandises.
Après avoir bu dans nos verres, autant que dans nos yeux… il me tira délicatement par la laisse.
Je le suivais à quatre pattes, guidée jusque dans notre chambre où une très douce lumière tamisée ne me privait pas de voir : pinces, tapette de cuir, bâillon, mors, cordes, cierges… et autres accessoires dont raffole M.L.
- Montez sur le lit, restez à quatre pattes, oui ainsi, montrez-moi votre cul.
Mon Maître sait que je dois me faire violence pour ne pas réagir lorsqu’il use de mots plus crus que son vocabulaire habituellement châtié.
- Léchez-moi les doigts, ma soumise…
J’aime lorsqu’il enfonce dans ma bouche ses doigts, il ramasse ma salive… qu’il emporte vers mes fesses, humidifie mon anus… et soudain m’enfonce fermement mon plug queue de jument.
Il fit le tour du lit et vient face à moi….
- Vous serez une très belle jument lorsque je vous aurais mis ceci me dit-il en souriant et en m’invitant à mordre dans le latex d’un mors.
- Vous êtes une très belle jument…. Montrez moi, votre croupe !
M.L. retourna derrière moi et me caressait le jarret…
fessee.jpg- Mais cambrez-vous que je puisse admirer votre croupe…
Je n’avais pas eu le temps d’obéir. Je sentais la brûlure de la première claque sur ma fesse. Sa main s’abat sur ma chair et est suivie de plusieurs grands coups qui claquent et chauffe mon cul. Je suis sûre que mes chairs sont incandescentes sous les coups portés à mon derrière.
Je gémis mais le mors ne m’autorise qu’à baver…
Je ne vois pas M.L mais je sais qu’il doit bander à voir mon cul rougir car chaque coup se fait plus fort, plus sec, plus précis… pendant quelques instant plus rien et soudain , je sens sa langue chaude sur mon fruit mur. Sa langue se promène sur mon abricot.
Tu es toute mouillée. Tu aimes cela ma jument ou serais-tu ma salope ?

Bien sûr, je bredouillais, bavais entravée par le mors….
Folle de désir, mon clitoris gonflé , dure mouillé….

M.L. partait quelques instants, puis revenait avec trois galets plats qu’il tenait sur une serviette de toilette, je les devinais chauds…

Il ouvrait le lit et déposait en une ligne les galets….
- Maintenant couches-toi sur le dos, la colonne vertébrale sur les galets
Il s’approchait de moi, m’otait le mors et dans un fougueux baiser, buvait ma salive chaud que le mors avait retenu sur ma langue….
- Tu dégoulines de partout , dit-il dans un éclatant sourire.
Bien sur, que je mouillait de tout mon corps… folle de désir, je n’avais plus qu’une idée jouir, jouir et jouir.
Je sentais qu’il mettait menottes aux poignets et aux chevilles et m’écartelait en X sur le lit. Mon cul me dévorait d’un feu palpitant et les galet réchauffaient mon dos ce qui me mit dans un étrange état de béatitude, dans une douce ivresse. Je lâchais prise, m’abandonnais…
Je sentais mes sphincters se dilater autour de ma queue-de-cheval. Les galets massaient mon dos, la fessée avait incendié mon cul…
Après qu’il m’est immobilisé… M.L. s’approchait de moi… il était nu, magnifique, son sexe bandé.

- Maintenant, je vais te donner ce que tu veux. C’est bien de jouir dont tu rêves, c’est bien du plaisir que tes yeux m’implorent que te donner… Et bien, je vais te satisfaire.

Je ne peux pas vous dire combien de temps M.L. lécha, caressa, fouilla, pénétra, embrassa, mordit, doigta, émoustilla, pinça, suça, pressa, poussa, entra, ressortit, massa.... je ne me souviens pas dans quel ordre; M.L. s'occupait de mes seins, de ma chatte, de mon cou, de mes lèvres, de mes bras, de mes pieds, de mes mains, de mes cheveux,  de mes yeux, de mon cul..

Immobilisée, j'hurlais de plaisir.... chaque nouveau geste de M.L. me faisait systématiquement crier de plaisir . Je n'en pouvais plus. Mon ventre en proie à un ouragan de plaisir, mes seins gonflés mon corps étaient prêts à exploser, je suppliais M.L....  je n'avais plus qu'une envie....

  Mourir pour cesser de jouir. 

 

 

 !!! © Tous les textes appartiennent à Soumise B, vous ne pouvez les utilisez sans autorisation. Merci.

 

Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : salope soumise
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Vendredi 19 mars 5 19 /03 /Mars 12:44

Un homme qui a sa place au paradis des Hommes et des Maitres...

Pensez-y ce poète mort à 79 ans avait l'âme chevillée au corps.

Souvenons-nous de :

L’amour est cerise (Jean Ferrat - 1980).

 



Rebelle et soumise
Paupières baissées
Quitte ta chemise
Belle fiancée
L'amour est cerise
Et le temps pressé
C'est partie remise
Pour aller danser

Autant qu'il nous semble
Raisonnable et fou
Nous irons ensemble
Au-delà de tout
Prête-moi ta bouche
Pour t'aimer un peu
Ouvre-moi ta couche
Pour l'amour de Dieu

Laisse-moi sans crainte
Venir à genoux
Goûter ton absinthe
Boire ton vin doux
Ô rires et plaintes
Ô mots insensés
La folle complainte
S'est vite élancée

Défions le monde
Et ses interdits
Ton plaisir inonde
Ma bouche ravie
Vertu ou licence
Par Dieu je m'en fous
Je perds ma semence
Dans ton sexe roux

Ô Pierrot de lune
Ô monts et merveilles
Voilà que ma plume
Tombe de sommeil
Et comme une louve
Aux enfants frileux
La nuit nous recouvre
De son manteau bleu

Ô Pierrot de lune
Ô monts et merveilles
Voilà que ma plume
Tombe de sommeil
Et comme une louve
Aux enfants frileux
La nuit nous recouvre
De son manteau bleu…

 

Rebelle et soumise
Paupières lassées
Remets ta chemise
Belle fiancée
L'amour est cerise
Et le temps passé
C'est partie remise
Pour aller danser

Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : Reflets de Femmes
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Dimanche 7 mars 7 07 /03 /Mars 17:28

  Vous avez sans doute compris que j’étais beaucoup moins prolixe que soumise B, le silence m’étant plus confortable. Pourtant je voulais dire publiquement combien cette rencontre a été belle. N’ayant pas son talent, je me contenterai de donner quelques images que j’ai aimées. Conservant beaucoup d’autres souvenirs dans le secret de nos mémoires partagées.
Quand le regard de soumise B, timide et impressionné, croisa le mien, je devinais une femme que je connaissais déjà si bien. Arborant fièrement son collier, je compris immédiatement qu’elle serait ma soumise. Qu’il ne pouvait en être autrement.
 Quelle prétention de Maître me direz vous. Soumise B aurait pu fuir, n’être pas attirée. Mais sans doute notre complicité préalable et son sourire me donnaient cette assurance.
ML-1.jpeg Lorsqu’elle blottit son visage dans mon cou, je n’eus qu’à poser ma main sur sa joue, délicatement, pour lui dire que je la voulais mienne. Les mots furent inutiles. Nous avions tout deux compris. Ce silence fut merveilleux. D’intensité et de promesses.

La suite fut si simple. La parole était naturelle et facile. Nous savions tout deux pourquoi nous étions ensemble ici et maintenant.

Plus tard, le premier bouton de son chemisier que j’ai ouvert provoqua un délicieux trouble de soumise B. Les autres boutons furent ouverts lentement. Je dégustais son émotion que trahissaient ses tétons fiers eux aussi de si bien désirer.

La remise de son cadeau fût un superbe ballet. Soumise B m’avait promis sa virginité anale. Je me devais d’honorer cette offrande par un cadeau à la mesure de cette promesse. Lorsqu’elle fut nue et me présenta sa croupe, je fis glisser le crin de sa future queue le long de son dos. Je devinais ses interrogations. Je me jouais d’elle en tardant de m’approcher d’entre ses jambes.
Quand le plug lourd d’acier froid entra en contact avec son abricot coulant de désir je crois qu’elle a commencé à soupçonner ce qui allait lui arriver. Maintenant il était temps. Il ne fallait plus tarder pour présenter l’olisbos de fer à son anus.
J’ai senti soumise B tressaillir. Toute à ses sensations, ma soumise venait de comprendre. Son corps avait des difficultés à s’ouvrir à cet objet un peu gros et puis insensiblement j’ai vu soumise B se cambrer, reculer pour forcer son cul. S’ouvrir.
Le moment ou la queue de ma jument fut en place restera inoubliable. L'émotion de soumise B était si forte, si belle que les mots manquent pour transmettre le plaisir qu’elle m’a ainsi donné.
Je terminerai en disant l’immense honneur que soumise B m’a fait en se donnant ainsi entièrement à moi. Sa confiance m’engage à la guider fermement mais aussi tendrement sur le chemin de la soumission.
Sa volonté de progresser comme sa propre exigence lui permettront de grandir et de s’affranchir des murs qu’elle croit insurmontable. Soumise B a toute les qualités pour devenir une grande et belle soumise.
Notre voyage n’a fait que débuter d’une bien belle manière lors de cette première fois. Il s’annonce riche et sensuel.

M.L.
Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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Vendredi 5 mars 5 05 /03 /Mars 23:41

Je vous l'ai déjà avoué, j'aime laver les pieds de mon Maître. En effet, les laver, les caresser, les lécher. mon Maître est un être raffiné, délicat... Sa journée commence tôt par un petit déjeuner que j'aime lui voir prendre lentement.... La table du petit déjeuner comporte salade de fruits frais, muesli sec, jus d'orange, café, yaourt ...

Alors qu'il s'installe sur un fauteuil face à son repas du matin, j'aime être nue à genoux à ses côtés. Mon collier est relié à une longe qu'il  tend. Alors qu'il se sert un café, sa main libre caresse mes cheveux...

- Bonjour, petite Chose, pour l'instant , savourez la feuille de rose que je viens de laisser tomber sur le sol.

Cette feuille qui glissa au sol s'est posée près de son pied. Gourmande, j'ai d'abord attrapé la feuille, il fut difficile d'attraper de mes lèvres cette verdure qui collait à la moquette. Votre soumise n'est pas encore très habile sans fourchette... 
pied-1A peine, eu-je mâchouiller la réserve de chlorophylle, que je retourna sur votre pied.... Voir votre pied :  immanquablement cela déclenche le besoin de lécher vos pieds, sentir ma langue sur votre peau douce, un à un, lentement, méthodiquement,  je caresse, suce, vos doigts de pieds... vos pieds sont doux, tendres, délicieux. L'effet sans doute des bains de pieds que j'aime vous proposer, des massages à l'huile parfumée contribuent à rendre vos pieds de plus en plus désirables. Oh, oui je lèche et lèche et tétouille et m'enivre de ce pied que je chérie. Ma langue cherche à nouveau votre cheville, je lèche votre mollet...

Je sens l'autre pied se poser sur mon visage. Délicatement. Tout en tendant la longe. Vous me sentez ainsi immobilisée. Vous souriez de voir ma langue qui tente de poursuivre son travail de léchage. Votre  main tourne sur mes fesses. S'insinue entre elles. L'autre main effleure mon abricot.
Je sens votre pied , 
mon Maître s'immobiliser dans ma bouche, l'autre vient se poser sur mon sexe découvre sans étonnement que je coule, que mon désir est déjà là... alors vous jouez avec votre pied sur ma chatte, caresse, taquine mon clitoris. Je gémis mais votre pied me faire taire, plus insistant sur ma bouche.

Vous me souriez, ma soumission vous plait. Vous avez l'art de posséder votrepetite chose. Sans y prendre garde, l'animale confiante, vous sait un Maître différent, raffiné mais pourtant vous parvenez si vite, si bien sans la bousculer à posséder tous mes orifices. Ma bouche pleine de votre pied, ma chatte de votre doigt emplie, et mon cul par un autre fouillée... 
Je gémie non que je souffre mais c'est un râle de jouissance, un soupir de bonheur... un cri de plaisir de vous appartenir qui s'échappe de mon corps d'animale.

Souriant, tendre, vous caressez, vous flattez votre animale, dans votre main, ultime récompense du matin, j'ai le droit de venir déguster des cubes de fruits frais.

Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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Mercredi 3 mars 3 03 /03 /Mars 16:12

La promenade au parc fut agréable bien que courte.

diamant3.jpg- Remontons dans notre chambre, j'aimerai vous faire un cadeau.

Je me souviens de votre sourire de Maître, j'avais l'impression que vous alliez me passer au cou une rivière de diamants, mais je ne pouvais être sans inquiétude car j'avais vu dans votre sourire quelque chose de diabolique, merveilleusement méphistophélique. J'étais surprise mais cela avait déclenché une certaine excitation, ce sourire machiavélique avait provoqué une réaction physique. J'avais ressenti un grand frisson, mon ventre était bouillonnant. J'allais recevoir un cadeau, mon premier cadeau de soumise.

Mon imagination allait bon train, serait-ce une longe pour me promener, serait-ce une cravache pour me corriger, des cordes pour me bonder...

- Plus vite, vous remonterez, plus vite vous le recevrez .

Cher M.L. vous deviniez que mon esprit galopait à mille à l'heure.

Nous remontions sans précipitation, il y a dans votre allure, un je ne sais quoi de princier, le refus de subir la précipitation, votre démarche à la mesure altière impressionne la soumise que je suis pourtant habituée au protocole.

Arrivés dans la chambre, vous me demandiez de me dévêtir, pendant que vous vous rafraichissiez à la salle de bain, quel délicieux préliminaire...

Puis vous me tendiez une jolie boite...

- C'est à vous !

J'empruntais votre assurance et doucement sans précipitation — je ne l'aurais pas supportée — j'ouvrais la boite pour découvrir... J'en ai encore les larmes dans les yeux, le point dans l'estomac, la vague de chaleur dans tout le corps... je sentais mon sexe s'humidifier, s'inonder, ce fruit délicat que rapidement vous nommiez abricot dégoulinant. Mais vous ne me laissiez pas voir l'objet, ce bijou que j'avais tant désiré, vous aviez choisi de m'offrir pour notre première séance l'objet tant convoité, je ne le sus pas.

- Mettez-vous à quatre pattes sur le lit . Puis vous me caressiez doucement le dos , le bas des reins, la croupe avec.  Je ne parvenais pas à comprendre ce que c'était, un fouet raide mais assez doux, une mèches de cheveux trop raides...

Vous veniez cueillir sur votre doigt le miel que mon con vous offrait, excitée que j'étais. Vous promeniez votre doigt ainsi lubrifié sur mes fesses et vous veniez rapidement le faire danser et tournoyer sur mon anus...

Vous me pénétriez le cul de votre doigt doucement prenant soin de ma virginité annale — comme je vous l'avais confiée — vous preniez soin de ne pas blesser , de ne pas affoler mon cul. Votre doigt se dégageait de mon anus pour laisser place à un objet froid et assez conséquent.

horsebud.jpgJ'émettais quelques gémissements ce qui provoquait un ralentissement de l'introduction mais pas d'interrogation de votre part. Vous deviez poursuivre, et savamment sans trouble vous insistiez. Perforant fermement mais précieusement mon anus... ce qui m'arrachait un cri, je savais ce qui me décorait le cul, maintenant. Vous veniez de me métamorphoser.. J'étais votre jument. J'avais une queue, un rosebud queue de cheval  florissait mon fondement.

- Maintenant, remettez juste votre manteau et allons finir l'exploration du parc.

- Mais...

- Pardon, vous préféreriez sortir sans manteau.

Nue et pluguée chevalinement , j'enfilais lentement et honteusement mon manteau, je ne m'imaginais pas marcher avec ce bijou merveilleux en place.

- Sentez-vous l'iode marin, chère soumise ?

- Je sentais, en effet mon corps fou, pas l'air marin mais mon corps galoper, mes seins étaient gonflés, mes tétons durs... et je sentais mes sphincters se comprimer  autour du rosebud en crin véritable. Mon corps oubliait qu'il était 16h que j'étais nue, portant queue de cheval dans le cul. Je m'accrochais à votre bras, je sentais naître sur mes lèvres l'écho de votre sourire. Ce sourire était notre, un sourire malicieusement luciférien...

- Vous êtes belle ma jument !

J'étais aux anges, déesse des chevaux. merci M.L.

Merci M.L. Je suis votre soumise.

 

© Chaque page du blog est copyright de Soumise B, toute copie doit faire l'objet d'une demande d'autorisation. 

 

 

Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : PLAISIRS BDSM
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Mardi 2 mars 2 02 /03 /Mars 00:22

Lorsque le désir de soumission ne se double pas de masochisme comment accepter de souffrir ?

galerie-membre,nature-morte,la-goutte-de-sangVoilà un dilemme qui doit être abordé car si dans BDSM, les lettres SM signifient sado-masochisme — Il est coutume de traduire BDSM par  Bondage et Discipline, Domination et Soumission et Sado-Masochisme mais est-il bien nécessaire d'être un adepte de toutes ces disciplines pour se laisser séduire ? Il est bien sûr évident que cela est avant tout un jeu d'adultes et entre adultes consentants, devrait-on avoir besoin de le dire ? A lire certain site et blog, peut-être.

  Je ne cesserai de la répéter , de le dire, de l'écrire, je suis une femme moderne, libre et féministe. Donc je rappelle aussi que le BDSM dont je parlerais ici ,  qui me tente et me séduit n'est bien sûr, pas la perversion nauséabonde, malsaine de quelques bourreaux qui exercent des abus de pouvoir en prétextant être des adeptes BDSM. Cela a un autre nom : agressions sexuelles, maltraitances, violences conjugales et  je n'hésite pas à dire qu'il faut lutter et sévèrement contre ces barbaries inacceptables.

Maintenant entre libertins avertis et consentants, je poursuis.

La soumission pourquoi, comment lorsque l'on est "pas trop bête", que l'on n'a pas spécialement de souci avec sa vie, son corps etc...

Pourquoi, comment accepter d'offrir son corps, d'être punie, corriger et pour ma part accepter de souffrir pour le plaisir de mon Maître.

Oui, souffrir pour son bon plaisir... Pourquoi ? Tout simplement parce que je suis sienne et là pour lui offrir du plaisir, de la sérénité, la paix. Mais je ne voulais pas qu'il invente, qu'il imagine des fautes, pour me soumettre à quelques défis. Car psychologiquement, je ne trouve rien de plus cruelle que la punition. Elle est la preuve de la mauvaise conduite, du déplaisir imposé au Maître par la soumise et cela m'est terriblement douloureux.

Donc le moins de punition possible et des jeux , des jeux de souffrance si cela est pour son plaisir.

 

© Chaque page du blog est copyright de Soumise B , toute copie doit faire l'objet d'une demande d'autorisation. Les Illustrations, les photos sont parfois des emprunts sur la toile. En général, je fais le lien avec le site où je l'ai vu mais n'en connais pas toujours la provenance. Si l'utilisation gênait des auteurs, sur simple demande de leur part je l'ôterais... 

 

Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : salope soumise
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Lundi 1 mars 1 01 /03 /Mars 00:13

  Je ne vous détaillerais pas le menu de notre déjeuner... si des gourmets le réclament, promis je vous raconterais... J'ai encore les saveurs des coquilles Saint -Jacques en mémoire...

Notre table présidait au milieu de la salle, les tables autour de nous semblaient plutôt accueillir des hommes d'affaires, des commerciaux, plutôt que des amoureux en goguette.

J'ai croisé furtivement le regard d'un de nos voisins et il aurait fini par me faire rougir tant il semblait intrigué et curieux...

CONFIANCE.jpgM.L. me fit remarqué plus tard pendant le repas que notre conversation, intéressait beaucoup notre voisin. Mais de quoi avons-nous parlé ?

De notre premier mois de conversation sur le net... de notre désir commun ne pas pas se mettre de limite, de découvrir petit à petit ce que pourrait être l'impossible. Comme nous avions tous les deux l'assurance de jouir du plus grand respect de l'autre, il nous semble possible de tout dire sans peur d'être jugé ou incompris. Tout est possible à priori et si il y a des murs infranchissables, nous pourrons en discuter ensemble. Mais nous sommes d'accord de ne pas nous enfermer dans un carcan trop rigide...

Nous savions que nos imaginations fertiles avaient besoin de cette liberté pour avancer.

M.L. m'avoua qu'il cherchait depuis assez longtemps une soumise... j'avouais y avoir souvent pensé mais n'avoir vraiment imaginé la chose que depuis septembre 2009, date à laquelle j'ouvrais ce blog. Il sourit sans doute se réjouissait-il de sa longueur d'avance.

Sa longue quête, lui laissait le loisir d'imaginer que son imagination avait quelques scénarios d'avance, je crois que cela lui plu.

Nos langues se déliaient, la bouteille de Pouilly-Fruissé pouvait y être pour un peu mais il y avait de la magie aussi qui se produisait. Nous étions des inconnus, quelques heures de conversations virtuelles pendant ce mois et puis cette première rencontre.

Je dois dire qu'aujourd'hui encore, je ne comprends toujours pas comment il est possible de se sentir si vite à l'aise...comment l'alchimie fonctionna pour que puisse être rendue possible notre complicité, car c'était bien de cela dont il s'agissait. Une très grande complicité s'installait entre nous. Nous tombions d'accord sur l'obligation de réciprocité. Si la soumise à des obligations envers son Maitre, celui-ci en a également.  Le Maître se devant d'être à l'écoute des désirs, des fantaisies, des craintes de sa soumise afin de lui offrir  ce qu'elle recherche allant jusqu'à anticiper ses désirs. Cela ne pouvant fonctionner qu'avec une profonde et intime complicité ainsi qu'une infaillible confiance.

Nous ne nous promettions rien d'autre que de ne pas trahir cette confiance. Soumise, je promettais à M.L. de toujours choisir de prendre le risque de lui déplaire plutôt que de lui mentir. Le mensonge, la jalousie devaient être bannis de notre relation.

Nous étions émus, excités, amusés, à l'aise. En fallait-il plus pour commencer heureusement notre relation Maître-soumise ? Pour avancer ma main dans celle de M.L.

Nous arrivions au café.

- Allons faire un tour du parc, voulez-vous ?

Je n'avais qu'une seule envie être plus prés de M.L., être seule avec lui.

 

 

© Chaque page du blog est copyright de Soumise B , toute copie doit faire l'objet d'une demande d'autorisation. 

Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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Dimanche 28 février 7 28 /02 /Fév 15:05

Je suis à M.L., soumise librement. Encore certes, malhabile, débutante, doutante mais à lui.

links-recruitment-software.jpgAprès quelques jours de notre première rencontre, je dois écrire mes sensations. Elles seront sans doute, inexactes car comme je l'ai dit (II -III) , je ne parviens à trouver des mots justes pour décrire la puissance de cette naissance, car c'est bien de cela dont il s'agit.

De femme désirant se soumettre, je suis devenue soumise à M.L., il y avait eu quelques tentatives, quelques initiations mais il n'y avait jamais eu de véritable acceptation : aujourd'hui, je dis et écris Je suis la soumise de M.L.

Comment cela est-il arrivé, comment s'est passé la première rencontre... pourquoi suis-je si sure que M.L. est mon Maître ?

- Merci soumise B, j'aime votre obéissance. Allons déjeuner et nous installer.

Nous arrivâmes rapidement  au relais-château qu'avait choisi M.L. pour notre séjour. Nous laissions la voiture sur le parking, j'avais l'impression, que nous ne ressortirons pas de là avant au moins 24h... 24h pendant lesquelles nous serions dans notre bulle.

À l'accueil, une étonnante sensation m'envahit, ma main dans celle de M.L., c'est lui qui me tenait fermement, me disait que nous rayonnions... une étonnante lumière, nous entourait... La jeune femme qui nous recevait nous souriait d'un éclat de bouche magiquement chaleureux.

- Madame, Monsieur avez-fait bon voyage... ?

- Excellent, mais nous sommes ravis d'être arrivés et nous sommes affamés ! s'empressait de répondre M.L., sans me laisser le temps d'être troublée ou ravie du Madame, Monsieur.

- Si vous le souhaitez, je fais préparer votre table, le temps que vous vous installiez et dans 30 minutes, le chef vous attend ?

- Parfait !

- Votre chambre donne sur le parc et vous serez les seuls à cet étage... Paul va monter vos valises rapidement .

  Nous empruntions le grand escalier pour rejoindre notre suite. M.L. me suivait dans l'escalier, je sentais son regard... dans le couloir, il  me précédait pour  entrer dans notre univers. Un rapide tour des lieux, de beaux sourires s'affichaient gourmands sur nos visages : nous aimions lui et moi, l'endroit...

- Je vous laisse vous rafraîchir

- Merci

Je filais dans la salle de bain... pétales de roses, douche, jacuzzi, éponges , serviettes moelleuses... je trouvais le nécessaire et le superflu. J'entendais Paul déposer nos valises mais je n'avais pas entendu qu'il laissait aussi Champagne, flutes et fraises...

- Allez-vous me faire attendre longtemps...  ? lançait M.L.

  Je sortais et vins à sa rencontre.  M.L.,  assis dans le canapé, s'apprêtait à déboucher le champagne. Il n'hésita pas un instant, sans bruit , le bouchon cédait,  M.L. faisait couler dans nos coupes, lascivement le liquide pétillant.

- À vous, soumise B

- À nous M.L.

Ces premières gouttes me firent l'effet d'une drogue euphorisante, mes yeux dans ceux de M.L., le champagne enflammait ma gorge.

- Approchez-vous de moi...

  M.L. déboutonnait le premier bouton de mon chemisier... puis le second, puis le troisième et les suivants.  Oui, étonnamment, inconsciemment , j'avais choisi un chemisier avec grand nombre de tout petits boutons...

  Sans quitter le regard de M.L, je me sentais brûler de l'intérieur... sa main sur ma peau m'électrisait... ses doigts sur mes tétons me mâtaient. Je me sentais fondre entre ses doigts. Il affichait un regard franc et un sourire glorieux. Il savourait son pouvoir sur mon corps. Son regard me disait.

- Vous aimez cela, vous m'appartenez, je fais ce que je veux de vous...

Sa main caressait ma croupe, je me cambrais.... il repris sa coupe de champagne, se mouillait les lèvres...

- Je suis affamé, dans 3 minutes, nous sommes à table.

Je perdais pied quelques instants, me réajustait, reboutonnait mes boutons et  dans la salle de bain rafraichissait mon maquillage.

- Je suis prête !

- Vous n'avez rien oublié ?

Je rougis, non, je ne crois pas... je pense que je ne dois pas remettre

collier cuir lady paname CkTTgJ- Non, vous n'avez pas à remettre de dentelle mais vous devez porter votre collier. Vous le porterez maintenant en permanence lorsque vous serez avec moi. Vous devez être fière de votre collier... où l'avez-vous posé ?

- Oui, M.L. j'en serais fière, je vais le porter... Il est dans la salle de bain.

  Je retournais face au miroir, posait délicatement ce collier de cuir sur mon cou, fermais la boucle, faisais coulisser mon doigt l'anneau métallique qui accueillerait bientôt, une longe... j'en profitais pour dégrafer quelques boutons. Le collier méritait un joli décolleté. Puis je revenais fièrement.

- Maintenant, vous êtes prête !

Il me prit la main et nous descendions déjeuner.

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Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : salope soumise
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Samedi 27 février 6 27 /02 /Fév 23:03

belle-esclave.jpgLa soumission à son paroxysme conduit sans doute à ne plus avoir d'intimité. La soumise ayant abandonné tout à son Maître, ne risque-ton pas de voir naître un conflit dans l'âme de la soumise ? La soumission est-elle synonyme de perte de personnalité ?

Le désir de s'en remettre à son Maître, le souhait d'abandon total, l'acceptation de dépendance n'empêche pas la réflexion, les convictions, les aspirations,  le besoin de donner un but à sa vie.

La soumission ne devra donc pas signifier de renoncer a sa personnalité, de perdre son intimité ou de sacrifier sa créativité. La soumission implique partager avec votre Maître chaque partie de vous. Tout ce qui s'est construit, qui se construit , qui se construira. La soumission se doit d'être un don, une offrande librement consentie. La soumise est une femme (ou un homme bien sur) libre qui se donne, s'abandonne.

Cela, il me semble implique que le candidat à la soumission s' appartienne totalement, se connaisse, se maîtrise. La soumission ne peut être vécue comme un coup de tête. Pour moi, ce n'est pas un simple jeu érotique, c'est bien plus que cela car il y a bien plus que les sens et le corps qui participent. Je conçois aussi, une soumission que je qualifierais de "parcellaire" , de "temporelle" : des amants, un couple, s'accordent des récréations où chacun endosse un rôle, ces rôles pouvant s'inverser... Ce qui n'arrive pas dans le cas d'une relation intense de soumission.

La relation intense de soumission  d'un accord mutuel, désigne un Maître* et  et l'autre la soumise.   Mais il faut comprendre que deux êtres libres s'offrent l'un à l'autre et s'engagent à offrir leurs dons et leurs aptitudes, s'honorant, se respectant et s'aimant mutuellement. La véritable soumission ne peut exister si je nie ma véritable personnalité parce qu'alors, je n'offre plus rien de consistant ; je ne suis plus un être réelle, seulement une coquille vide, une poupée de chiffon dont aucun Maître véritable ne pourrait se satisfaire.

C'est sur ce chemin que je me suis engagée en posant ma main dans celle de M.L. en acceptant qu'il me mette un collier.

 

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* Il faut chaque fois comprendre que je parle de mon choix donc un Maitre au masculin, une femme soumise, et je conceptualise ainsi par simplification, mais je l'ai déjà dit, j'accepte tous les puzzles possibles... maitresse et soumise, maitre et soumis, maitresse et soumis ...

 

Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : REALISEZ ENFIN VOS FANTASMES!.
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