La Découverte

Samedi 15 mai 6 15 /05 /Mai 22:35

Imaginez un petit organe qui n'est là que pour le plaisir... 

Je viens d'apprendre — et j'en suis encore toute "amazed" stupéfaite — que nombreuses sont les femmes qui ne "connaissent" pas ou peu leur clitoris.

Mais que de plaisirs interdits, combien de bonheurs annulés . 

J'avoue vouer à ma petite clef (du grec : ) une admiration et une vénération toute particulière. Ce petit organe est pour moi, le siège de mon plaisir.
Il n'y à pas un jour, sans qu'il ne me donne quelques plaisirs... je le chuchoutte, je le bichonne, je le carresse, je le secoue... je lui offre des accessoires et mon Maître en prend grain soin.

Ce petit organe n'est là que pour l'extase :  c'est l’organe le plus sensible qu’on puisse trouver avec ses 8 000 terminaisons nerveuses : comparons avec le pénis qui lui n'en possède que 6 000. 

Partout avec vous, il ne vous abandonne jamais... 

J'avoue qu'il est ma drogue, mon médicament à tout soigner... un surplus de stress, une incapacité à m'endormir, un petit coup de blues... 

C'est auprès de lui, que je trouve la solution... 

Je le caresse, je le branle, je le frotte, je le pince, je le décore de bijou, je le vibromasse et toujours merveilleux ami, il m'offre mille et une joie. 

Mon Maître le manie de "main de Maître" What's else ? 

Il n'est là que pour le plaisir... 

J'avoue que mon hymne serait plutôt qu' :

Aux Armes  ! Citoyens...

Aux Clitoris, Maître-amant... 


Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : Sexe Passion
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Vendredi 14 mai 5 14 /05 /Mai 13:07

cintrecravache-Dom

M.L. est un Maître raffiné mais il n'en est pas moins Maître. Lorsqu'il décide de d'avoir du plaisir, rien ne lui est interdit. Je suis SA soumise.
Vous savez que M.L. est éloigné et je lui suis soumise en acceptant qu'entre nos rencontres, la soumission soit virtuelle mais pas moins belle. Il ne supporte pas l'à peu près. Je lui en suis reconnaissante d'exiger que ma soumission soit forte, totale, librement consentie et toujours plus extravagante.

Je vous offre ici un échange entre Mon Maître et moi, soumise b, un échange qui m'a fait me rouler dans la luxure avec plaisir. Comme dit M.L., grâce à lui, je savoure le "pires plaisirs".

 - Bonjour ma soumise.

- Bonjour, M.L, comment allez-vous ? 

- De retour d'un charmant mais long repas.
 Avec des amis pas très raisonnable mais plaisant de boire un gorgée d'eau de vie — alcool de poires — quand les autres restaient à l'eau simple.

- Vous auriez besoin d'un bon massage... 

- Ou d'un peu de plaisir au moins .... 
Avez-vous terminé votre petit outil de torture ? Belle idée que votre bricolage. Que j'aime voir vos seins ainsi tirer vers le haut, vers le sublime. J'aime cette douleur que vous m'offrez.
Il y a aussi ces cintres avec deux pinces que l'on peut écarter à loisir et qui me font rêver aussi.

- Un cintre comme celui-ci ? 

Ma soumise, Ce cintre me semble parfait. Je peux décider d'écarter ou de rapprocher les tétons. Je peux attacher l'anneau central à votre collier ou vous le mettre en bouche pour relever vos seins et les tirer vers le haut. Je peux tirer dessus et vous guider ou bon me semble. Je peux faire de multiples choses de ce simple objet... 

 - M.L., une maison et son équipement vanille se transforme très rapidement en véritable donjon pour de délicate torture...

- Peu  importe l'endroit et les ustensiles  à ma disposition, je trouverais à rougir votre cul, à le dilater, à manier vos tétons et à vous apprendre à me donner du plaisir ma chère soumise. 

- Vous aimez parler de mon cul à dilater, à entrainer ? 
Ne vous en priver pas M. L., et si je devais en rougir, savourez ce rose à mes joues. 
Si vos joues ne rougissaient pas à l'évocation de votre cul, alors il me faudrait pour vous punir de votre audace, rougir les joues de votre cul de quelques coups de badines...
- Mes joues rougissent encore  lorsque vous évoquez mon cul mais mon corps en ressent une belle excitation maintenant. Mais ne vous privez de rougir les joues de mon cul de cette badine... vous savez combien mes joues, mon cul avait apprécié les claques que vous lui octroyez.Vous avez éveillé le corps de votre esclave. Mes seins pointent durs et mon abricot coule.. 
Je désire tant me lover dans la luxure, que vous puissiez me lier et me faire saliver... 
Et-il bienséant de demander ainsi à vous vautrer dans la luxure? J'aimerai que vous soyez ici à mes cotés et me le demandiez en vous agenouillant près de moi.
- En effet, il ne doit pas l'être mais j'ai tant de désir... 
Comme j'aimerais me trainer à vos pieds, bavante, désirante, coulante, supliant M.L. de me laisser avoir du plaisir. 
Ajourd'hui, je suis folle de désir, je me verrais bien suspendue, cruxifiée, flagellée... M.L., me priver de vous ainsi me rendra-t-il insaine ? 
Votre soumise rampante... suppliante.
- J'aime à vous imaginer couchée à mes pieds. Vous êtes si implorante que je peux prendre mon temps et poser mes pieds sur vous. Passer de votre bouche à votre abricot pour voir mes pieds dégouliner de vous. Suppliez encore alors que je force votre bouche de mon pied
- Oui, il me plait de vous implorer... caressant, léchant vos pieds, votre main, me frottant ronronnante à vos jambes. Mon corps désirant est liane, pliée, douloureux de désir... 
- Je vous imagine couchée sur le sol. rampante et implorante. Restez couchée sur le sol. Votre visage sous moi, vos jambes écartées. grandement.
Je pose mes pieds sur vos bras pour les immobiliser. Regardez ma queue grandir.
 Votre animal ainsi immobilisée n'aura que plaisir et loisir de voir votre sexe, votre belle queue grandir, gonfler, se tendre... sentez vous sous votre pieds mon corps frémir, trembler... quel trouble, vous faites naître chez votre soumise. Suis-je femme ou jument

- Ce soir, j'ai envie de me servir d'une fine et longue badine ou un fouet dont seule l'extrémité est souple. J'ai envie de m'amuser à caresser votre corps et à le frapper de petits coups de ce fouet.
- Mon Maître, M.L., chaque jour, vous m'enchantez de vos désirs... 
Serais-ce celui que nous appelons chambrière en équitation ? J'aime cette idée d'être délicatement fouettée. Oui, je crois que c'est celui ci dont on dit : 
Il faut donc amener le cheval à ne plus avoir peur de la chambrière. Qu'il la comprenne, mais qu'il ne la craigne pas ! Quel cavalier merveilleux, vous feriez, votre cheval n'aurait d'autre alternative que d'être votre, à vos ordres et heureuses de vous obéir.

 - Mon esclave, plutôt le fouet de dressage ? l'extrémité me semble moins longue, donc plus facile à maitriser.

Oui, j'ouvre mes jambes espérant que votre chambrière caressera mon sexe, sentir mes petites lévres se durcir sous la brulure du cuir...  Je pleure rageant de ne pouvoir me caresser... Jouez, riez, amusez vous cruel de me voir vous désirer, de me voir vous supplier de jouir... 
Mon sexe, comme un abricot trop mûr, coule ... mes fesses me soulèvent, cherchant votre fouet...  plutôt souffrir que de supporter ce corps désirant

- Je voudrai ce soir taquiner votre entre-cuisse d'une fine lanière.
comme vos seins. Ma soumise, J'aime vous voir autant désirer le plaisir. Prête à la souffrance pour dompter ce plaisir. Le cuir caresse votre chatte puis la cingle. J'observe votre visage après ce coup. Mon sexe coule de désir. Coule sur votre visage.

- Quelle douce souffrance de voir votre sexe tendu, perler de désir... ma joue, mes lèvres, ma langue accueillent ce désir... 
Mon sexe cinglé (joli ce double sens) coule, déborde, d'une mousse, gélatineuse, sucre de désir... 
Cette souffrance, je vous l'offre, elle est mienne dans ma chair et votre... elle vous appartient, elle est sous vos ordres, il ne tient qu'à vous qu'elle augmente, qu'elle dure... 
Vos désirs sont mon plaisir dus-je en pleurer, me mordre les lèvres jusqu'au sang pour ne pas gémir... 
Je sais que vous ne supporteriez pas ces cris, ces plaintes ridicules... 

- Ma soumise, je crois que vous vous contiendrez et ne laisserez s'exprimer que de douces plaintes. Je crois que j'aimerai entendre vos petits cris contenus de douleur. Méfiez vous. Je risque de beaucoup aimer cela et de poursuivre votre flagellation...

- Mon Maître, oui, mordant mes lèvres, et implorant la dignité, je me contiendrais mais vous êtes si habile et cruel manipulateur de stick, que quelques gémissements et un souffle fort échapperaient de votre jument.
Poursuivez cette flagellation, si vous y prenez gôut, si votre sexe durcit, gonfle... si frapper ainsi avec art votre jument vous donne du plaisir ne vous en privez pas... 

- Mon esclave, mon animal, ma chose. Vous me faites très plaisir en vous offrant ainsi. Au delà de vos limites. Merci de me demander ce fouet. Votre demande me semble si forte et sincère que je prends un plaisir sans limite à vous fouetter.
Et je prends autant de plaisir à cesser de vous torturer pour vous regarder jouir.
- Mon esclave, ce soir je prendrais alors le stick. Je vous réserverai la chambrière lorsque vous serez attachée, les bras levés, Une autre fois.
Ce soir, je veux claquer de rapides coups sur l'intérieur de vos cuisses, vos seins de ces quelques centimètres de cuir au bout de la cravache.

- N'omettez pas la chambrière. Revenez-y un autre soir... c'est un instrument merveilleux. Regardez ce qu'en disent les cavaliers
La chambrière correspond aux jambes du cavalier. Elle peut simplement toucher, elle peut vibrer, créer l'impulsion, décontracter. Mais aussi parfois châtier ou caresser...La chambrière touche seulement quand c'est nécessaire. 
Attachées, les bras en l'air et chambières pour me taquiner, quelle belle promesse.
Mon Maître, mon corps bouillonnant sous le stick, verra avec plaisir que vous cessiez le fouet pour m'offrir fleur au jardin. 
Doucement feuille de rose douce et délicate ma langue vous caressera l'anus... 
pendant ce temps ma main ira chahuter mon clitoris que le stick aura endolorie.
Mais ce soir, le stick dans votre main, mes seins, mes cuisses, mon entrecuisse, M.L. regardez le regard de votre animale, emflammée de désir. Y voyez-vous l'incendie, qui dévore mon corps... 

- Après avoir rougi vos cuisses et vos seins, Je vais libérer vos mains.
Ce soir vous n'aurez pas mon sexe en bouche. Je vais m'assoir sur votre bouche. souvenez vous comme vous m'aviez si bien éveillé de votre bouche qui s'insinuait...
Vous allez vous caresser. Me montrer comment vous prenez votre plaisir.
Et je vais me laisser faire feuille de rose.
Pendant que je vous regarderai et que je pincerai vos seins.


- Mon Maitre, Mes seins pincés, votre regards curieux et souriant, 
ma main caressante, ma langue chaude... 
Quelle folle récompense. Que ne reçois-je chaque jour, stick et chambrière si c'est ainsi que cela se poursuit.... 
Votre animale est folle, son corps s'emballe, vous la sentez transpirer, s'essoufler, lecher, douce feuille de rose.... 
Mais me permettez vous d'oser pétale de rose, insinuant, chercher plus loin, votre plaisir, dans votre cul, ma langue s'enfonce comme mes doigts dans mon sexe mouillé... ma poitrine tirée soulève mon corps... 

- Ma soumise, votre langue me fouille et me donne envie de tirer plus fortement sur vos tétons. pénétrez et sentez comme vos tétons sont tirés.
comme ma queue est branlée. Embrassez, lèchez, pénétrez et carressez vous. Jouissez ma catin.

- Mon Maître, je vais et viens ma langue adopte le rythme de ma main... 
le plaisir dans votre cul arrivera-t-il comme celui qui monte sur mon clitoris... 
Ressentez vous la vague dui ondule dans mon ventre, la sentez-vous vous plier les reins ? 
Pincez pincez... je sens, je souffre votre désir montant transmis dans vos doigts... Chaque fois que ma langue s'enfonce, vous soupirez et vous pincez plus fort accelerant du même coup ma main sur mon clitoris... 
Vous maitrisez votre animale, votre soumise, son plaisir au rythme du votre... 

- Ma chose, frottez votre clitoris aussi fortement que vos seins sont étirés. 
j'aime les voir s'allonger sous mes doigts.
Léchez et jouissez
Que j'aime votre langue insolente.
vos seins étirés
vos jambes indescentes
votre sexe dégoulinant.
Jouissez. Pissez.
Jouissez mon esclave.
Obéissez.

- Mon Maître, Mes tétons longs durs, pincés  ! Que vous savez magnier, affoler, torturer ces tétons qui sont votres... 
Lèchant votre rose, cueillant votre rose, je reçois votre elixir... 
Oui, my Lord aspergez-moi de votre plaisir... 

- Ma soumise, jouissez pendant que je vous étouffe
jouissez pendant que je tire sur vos tétons
jouissez pendant que je me caresse au dessus de vous.
Jouissez mon esclave

 - M.L., Entendez ce râle qui va dire mon plaisir, écoutez moi gémir alors que vous tirez, entendez hurler votre esclave... encore, encore, encore
Caressez votre queue pendant que je m'enfonce la langue dans votre cul... 
Suçons, pinçons, pendant que je lèche, branlons.... 
Jouissons M.L.
Jouissons et explosons Mon Maître

- Mon esclave, Je vais jouir sur vous. Mon cul enchanté de votre langue,
Mes yeux repus de votre impudeur, mes doigts excité de vous pincer;
Mon plaisir explose sur vous. Gicle sur vos seins et votre ventre.
Ma souillée, vous voilà couverte de mon plaisir, je vous donne la dernière goutte à avaler. Venez aider ma queue à se calmer. Nettoyez la. Recueillez chaque goutte de plaisir.

- Jamais vous ne serez mieux lécher, mieux vidé, mieux rafraichi... 
J'enferme votre gland au chaud pour recueillir sa dernière goutte et ses derniers tressaillements.
Quel fol plaisir... 
Maître, Quelle fulgurance, quelle harmonie... 
Ma main recueille votre liqueur pour me masser tout le corps de votre suc... 
quel plaisir vous offrez à vous esclave... 
Oserais-je vous demander impudiquement, de m'endormir baignant ainsi dans ces jus de plaisir... ? Oui, mon Maître
Votre esclave, votre jument, votre catin voudrait s'endormir puante de plaisir.

- Ma soumise, gardez le goût de votre maître dans votre bouche et sur votre corps et dormez-ainsi nue et odorante du plaisir offert.

- Mon Maître, quel plaisir de vous appartenir, votre soumise heureuse.

- Ma soumise, je vous adresse un sourire, quel plaisir d'avoir une esclave comme vous. Dormez sereine.

- Merci mon Maître, je m'endormirais dans ma luxure... mon collier sur le cou, sur la couche, (tapis de lit à votre côté).

Il y eu quelques mots supplémentaires mais ils sont ceux que je considère miens, ceux qui me lient à M.L. et n'appartiennent qu'à nous. Mais avouez qu'aujourd'hui, je fusse plus impudente de vous offrir comme — ou presque — je l'ai offerte à M.L. Ma soumission, ma douleur, mon plaisir. 
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Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : salope soumise
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Mardi 27 avril 2 27 /04 /Avr 23:57

La soumission est un état merveilleux mais il n'est pas sans souffrance. La soumission n'est pas simplement obéissance, c'est avant tout * le don de soi. C'est un corps et une âme offerts à un Maître*. C'est un esprit qui accepte de s'oublier pour suivre et grandir avec la main, la voix de son Maître pour guide. 

Si cette offrande est un cadeau consenti, il est une plénitude à vivre... s'offrir à un Maître, se donner, s'abandonner, le servir est une joie qui ne peut se dire.
Il y a pourtant, revers à cette médaille dorée : l'absence, l'éloignement. 

Qui peut imaginer le déchirement, la violence, la solitude lorsque la vie, les circonstances mettent une distance qui contraint la soumise à vivre loin de son Maître et vice versa — il me semble que la soumise n'est pas seule à souffrir.

Rien, aucun fouet, aucune humiliation, n'est pire torture que l'absence... Aucune chaine ne laisse plus profonde blessure. Soudain, je vis dans ma chair, ces merveilleux vers de Lamartine.

biblis-l

Un seul être vous manque et tout est dépeuplé... 
En vain le jour succède au jour 

En effet, loin de mon Maître, je souffre, le vide m'envahit, parfois je me sens incapable de remplir de mes souvenirs de lui, l'abîme qu'est son absence. 

Mais il serait souffrance bien pire que son absence. Que deviendrais-je soumise errante sans Maître à servir ? 

M.L. je sais que croyant n'avoir le droit de me faire subir cette souffrance, vous imaginez parfois renoncer à ma soumission. 
Je vous le dit, simplement, M.L. imaginer cela est pire cruauté que de me transpercer le cœur. 
Sachez que je souffrirais encore cette distance pour avoir la joie, l'extase de vous retrouver et de vivre ces moments auprès de vous. Sachez que rien ne peut me faire plus de peine que de devoir penser à vous sans que vous soyez Maître. 
Oubliez cet éloignement, et vivons le comme une séance de plus. 

Je suis vôtre, je suis votre esclave et je vous attendrais car je veux encore brûler du bonheur de voir votre sourire. Me laisser envahir par la béatitude qui naît de vous obéir et de chercher à satisfaire votre plaisir. 


* Cela est bien sûr mon avis et n'engage que moi - Dans mon cas, Un homme : Le Maître, une soumise : une femme (moi). Mais bien sû, il est entendu que toutes les combinaisons possibles sont acceptables. Par simplicité, dans tout ce blog, le Maître est un homme, la soumise une femme. 


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Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : salope soumise
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Lundi 26 avril 1 26 /04 /Avr 13:27

images-copie-2M.L. venait de m'envoyer un mail, nous nous retrouverons pour trois jours... Enfermés pour 72 heures au moins. Il voulait que j'arrive vers 13h à l'hôtel, un lieu merveilleux, très contemporain dans le désign... 
Il arriverait à 15h et souhaitait que je sois douce, belle, nue, jument pluguée, docile à genou dans la salle de bain. Je devais avoir mon collier, ma laisse, un bandeau sur les yeux et l'attendre silencieuse.
La chambre envahie de soleil... quelle ambiance merveilleuse : blanc pour les tissus, les murs et noirs pour le sol, un sol d'ardoise sec et froid, les accessoires sont noirs ou gris.

Je pris une douche, massant mon corps au lait doux et parfumé. Je ne pouvais m'empêcher de penser à ses doigts qui écarteraient mes jambes pour mieux me posséder, pour me communiquer son envie de me lêcher et de me dévorer. Je revais à M.L. venant chahuter mon clitoris tout humide, à ses doigts écartant mes lèvres et à sa langue se glissant sur mon sexe coulant comme un abricot trop mur. 
J'aime sa gourmandise, sa délicatesse, son envie qui augmente... il cueille le miel de mon sexe et enivre mes esprits.

Je ne dois pas me laisser aller... il me faut réprimer mon envie de jouir... mon envie d'abandon. Mon corps tout entier ne désire que plaisir mais je ne veux pas jouir seule. Je conservais mon corps palpitant pour M.L.
Il est 14h30, lorsque je passe à mon cou, le collier de cuir, la laisse de métal froid court sur mon dos... il me faut maintenant mettre ma queue de jument,
ce plug merveilleux. Je masse le plug d'acier médical avec de l'huile d'amandes douces puis je le glisse doucement dans mon anus, je pousse délicatement, oh que j'aime me sentir fouillée. Je mets sur mes yeux, le bandeau de soie noire et je m'enfonce dans la baignoir. A genoux, attentive, j'entends chaque bruit plus distinctement qu'auparavant... privée de mes yeux, mon corps se met au abois...

L'ascenseur vient de s'arrêter à l'étage, les pas d'un homme résonnent dans le couloir, mon coeur s'accélère, j'entends la carte glisser et ouvrir la porte.  
C'est lui, je sens son parfum envahir l'espace, il approche.

- Bonjour ma soumise...chut, ne dis pas un mot, pas encore, laisses-moi savourer cet instant, ces retrouvailles. 

Mon corps se raidit, mes seins durcissent , ma chatte est humise, chaude... Je suis offerte sans tabou. M.L. prend la laisse et tirant délicatement me fait faire un tour dans la baignoire... 

- J'ai bien fait de nous offrir cette chambre avec ce grand jacuzzi... Enlèves le bandeau... et sourie-moi ! 

En retirant la soie, la lumière posée sur son sourire m'émerveille mais ce qui fait naître le plus grand trouble c'est de le voir là grand devant moi, dans son costume gris raffiné, élégant... la braguette ouverte, le sexe dressé.

- Si tu savais, combien de thé j'ai savouré aujourd'hui, si tu savais combien je me suis retenu pour t'offrir maintenant ce champagne... regardes, ouvres ta bouche et savoures.... 

Par un jet merveilleux, je suis arrosée. Mon visage reçoit l'or liquide précieux... ma langue lappe tout ce qu'elle peut, mon corps cherche à être marqué par l'elixir. Lorsque qu'il s'assoit sur le bord de la baignoire repu... je ne sais rien faire de mieux de que me rouler dans ce jus de corps, m'éclaboussant le visage, les cheveux... tout mon corps est baptisé !
Je suis à lui de nouveau, pendant 72 heures, je serais son esclave.


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Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : salope soumise
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Lundi 26 avril 1 26 /04 /Avr 00:44

art matisse loustal12Vous me connaissez avide de mot. Je viens encore de découvrir la puissance émotive de ces petites lexies. Et, je comprends dans ma soumission, chaque jour un peu plus, pourquoi et combien il est important que chaque mot soit choisi habilement, judicieusement. M.L. sait jouer avec ces subtils nuances. Il sait combien, je m'accroche à ses mots et il s'amuse élégamment. J'ai testé ...  

A- Mon Maître dit  : - Quelle joie que d'avoir une soumise
Ma réaction  :  Je frémis à peine
mais si 
Mon Maître dit  : - Quelle joie que d'avoir ma soumise
Ma réaction  :  Un délicieux frisson parcours mon corps

B - Mon Maître dit  : - Tu es une belle soumise
Ma réaction  :  Je frémis un peu mais cherche son regard avide de m'accrocher à plus
mais si 
Mon Maître dit  : -  Tu es ma belle soumise
Ma réaction  :  Mon corps ondule, se plie, se tord parcouru de désir, d'envie.

C - Mon Maître dit  : - Approches, soumise
Ma réaction  :  Je suis hésitante, attendant la suite, l'ordre... fragile, démunie.
mais si 
Mon Maître dit  : -  Approches ma soumise
Ma réaction  :  J'arrive fière esclave, si il est debout :  je viens me postrer à ses pieds, ou si il est assis, je pose ma joue sur ses genoux... cherchant sa main. Je lis dans ses yeux, ses désirs, ses envies... 

Avez-vous déjà ressenti dans votre chair, la puissance de ce petit mot : Ma ? Chaque jour, MA me remplit de joie, de fierté, de plaisir. Dans ces deux lettres, je puisse ma force, mon courage, ma détermination... 
Je suis littéralement suspendue à ses mots... émotionnellement pendue à son vocabulaire. Chaque lexies résonnant dans ma chair, différemment faisant naître mille frissons ou les tuant. 

Ce Ma est la source de mon elixir, entendre : Ma soumise fait couler immanquablement le miel de mon sexe. Mon dos se redresse, ma croupe s'arrondie, mes yeux s'illuminent... 

Je suis belle d'être SA soumise.

 

Tableau : Matisse

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Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : salope soumise
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Mardi 20 avril 2 20 /04 /Avr 16:35

La Patience vient à bout de tout.

Car c'est bien de cela dont il s'agit apprendre la patience. Attendre la venue de mon Maître, son retour, sa disponibilité, son envie, son besoin, son désir, son plaisir, attendre son réveil, attendre ses ordres, attendre puis devancer et servir. 

Mais plus encore que le mot patience, il me semble que c'est avec Gaman que soumission doit être accouplée. Ce mot japonais - かんにん (Gaman) — que l'on prononce Gamanne et dont le sens est un amalgame :  contrôle de soi, dévouement, patience, de persévérence et encore de tolérance... est pour moi, l'essence de la soumission.
J'aimerai un jour, mériter que mon Maître me rebaptise Gaman, car je trouve là une belle symbolique de la soumission.
J'essaie chaque jour de ne pas oublier le proverbe japonais...
Ne pas perdre patience, même si cela semble impossible, c'est déjà de la patience...

Qu'en pensez-vous ? 


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Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : Douceur et partage
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Lundi 19 avril 1 19 /04 /Avr 22:26

D'abord merci à tous ceux qui m'envoie leur message... c'est troublant de voir que certain s'inquiètent. Mais en y réfléchissant, est-ce si étonnant ? En me livrant petit bout par petit bout, certain d'entre vous on fini par se faire une assez bonne idée de la femme que je suis, de la soumise que je tente d'être. 

Il y a ceux qui ont disparu... certains me manquent, j'aimais leurs mots ils décrivaient et comprenaient mes maux. 

Il y a ceux que je devine tapis dans l'ombre de mes doutes... qui surgiraient si j'appelais au secour ? 

Il y a ceux qui lisent sans jamais m'écrire mais qui reviennent et reviennent... pourquoi ne pas tenter le dialogue ?
Et il y a M.L. qui intervient rarement... 
Sans vous, sans eux, sans Lui, je ne serais rien ici.

Merci de m'accompagner dans ma fantaisie, dans mes doutes, mes blessures, mes bonheurs.

 

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Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : Reflets de Femmes
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Mardi 6 avril 2 06 /04 /Avr 12:34

Je vous l'ai promis, je vous ai dit que je vous raconterais mes doutes, mes peines, mes avancées... 

Je vous livre ma Leçon numéro 1 - L'Amour interdit. 

img1442Il est clair que la première leçon, est cruelle mais si je ne parviens pas à l'assimiler, je vais dans le mur.
Je vous vois sourire : Chers M.L. Ange, Dom; mes fidèles lecteurs ; mes amis, chers inconnus visiteurs du blog... 
Je vous l'avoue, c'est en effet, ce vers quoi je vais tendre dans les prochains jours, semaines, mois... je vais m'interdire l'amour, l'amour passion, il ne faut pas, que je me laisse corrompre par mon naturel passionné.
Fini du bel adage :
passion ou rien.  Je vais mettre de l'eau dans mon vin — quelle horreur.  Je vais faire naître un genre nouveau dans mon cœur : l'amitié sexuelle. Celui qui unit des êtres qui ne sont pas obligés de se voir, de se toucher, mais qui savent qu'en cas d'urgence... un tour du monde est un saut de puce. 
La vie m'a appris l'amitié. Je devrais dire que je suis même plutôt plus douée pour l'amitié que pour l'amour. Mes ami(e)s sont capables de soulever des montagnes pour me protéger, me consoler, pour me voir sourire. 
By the way, mes quelques ami(e)s qui savent ma "
déviance" — sourire— me surveillent dans mon apprentissage de ma soumission, tellement certains que je vais me brûler les ailes et me prendre une claque magistrale. 
La vie m'a apprit l'amitié, je lui demande de m'apprendre l'
amitié sexuelle, cette amitié qui fait que deux êtres peuvent arrêter le temps, créer un espace sensualité sans mettre en péril leur vie quotidienne... être capable de savoir que l'autre est heureux ailleurs sans vous, sans en prendre ombrage au contraire.
Je vais devenir cette complice, cette partenaire, cette batisseuse d'instants privilègiés et interdits, cette sœur qu'on peut avoir envie de croquer physiquement, je ne serais plus amoureuse d'une
passion dévorante. Je vais tuer dans l'œuf, la passion si dévorante qu'elle ne peut se décrire.  Elle mange qui la comtemple (Aragon).

Comme il fait mal d'imaginer perdre son Maître adoré parce que je serais incapable d'asimiler cette leçon numéro 1 - Amour interdit. Je vous le promets, je vais devenir l'amie, la plus fidèle car la leçon numéro 1 de la soumission — lorsque l'on n'est pas célibataire et que votre mari n'est pas votre Maître — est Amour interdit. 

Oui, chaque jour, je vais prouver qu'il est possible d'être la meilleure amie d'un homme. Je serais l'amie de mon Maître... et je lui prouverais que respecter une femme, c'est pouvoir envisager l'amitié avec elle ; ce qui n'exclut pas le jeu de la séduction, et même, dans certains cas, le désir et l'amour. (Tahar Ben Jelloun)

   

Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : Reflets de Femmes
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Jeudi 1 avril 4 01 /04 /Avr 18:12

Mon Maître est incroyablement convainquant, merveilleusement troublant, enfin je suppose que chaque soumise dit cela de son Maître... c'est sans doute le secret de l'alchimie, le pouvoir de la magie d'une relation D/s heureuse.

georges-rochegrosse-esclave-lion.jpgChaque fois mon maître me propose de faire un pas de plus, un pas plus loin, il m'apparait comme une limite que je ne pourrais pas dépasser, je m'imagine que je ne pourrais pas franchir le "mur" et toujours avec la même volupté, je dépasse les obstacles et découvre un monde de plaisir où j'aime me laisser emporter.

Mon Maître l'explique ainsi : Je n'ai pas à vous contraindre, mais simplement - parce que c'est véritablement facile - vous prendre par la main ou les mots et vous menez où nos plaisirs seront plus grands, plus différents en route vers l'Extraordinaire.

Je le suis et obéis librement...  en femme libre je me couche  à ses pieds — au sens figuré et au sens propre — pour me laisser aller aux pires plaisirs. Son imagination est esthète : il créé pour nos rencontres — nous ne vivons pas ensemble — des ambiances où nous n'avons qu'à nous laisser porter. Toujours assez longue au moins 24 heures voir plus, car nous prenons notre temps, temps d'oublier la vie vanille, le bruit, les contingences... nous aimons dîner, déjeuner... ne sommes-nous pas ce que nous mangeons ?

  Nous passons de longs moments à discuter de tout : politique, philosophie, musique, art, nos goûts se croisent, s'harmonisent se complétent ou s'opposent mais dans un climat de tolérance maximale.  c'est ainsi que lentement, nous sombrons dans le délicat stupre. Je l'ai déjà dit, il n'y a pas de limite dite, pas de check-list... mon maître se fie à son feeling et à son sens de l'observation. J'avoue qu'il me bluffe souvent si pas toujours. Il remarque chaque sourcillement, petite grimace, chaque tension, chaque réaction, de ma part. Il écoute chaque mot, il connait mes expressions, mes hésitations... il s'amuse à me voir tergiverser discrètement l'air de rien. Rien ne lui échappe, il veille en Maître. Mais ne vous trompez pas, M.L n'est pas un tendre contemplatif seulement, il exige et fermement.

Que je le retrouve à la station la plus mouvementée, à l'heure de sortie des bureaux, entièrement nue sous mon manteau... j'ai obtenu le droit de porter des bas car je considère qu'une femme ne peut pas être jambes nue dehors. Il a accepté, mais je n'ai droit qu'aux bas et au manteau. Lorsqu'il a donné la consigne, j'ai cru que je devais refuser. Plus j'y réfléchissais, et plus je me disais :

- c'est impossible, non , je ne le pourrais pas.

Mais mon Maître  n'exige* jamais, il propose... alors je n'avais qu'à essayer.  Mon Maître ne me menace pas de punition, j'ai une horreur de l'idée de la punition... elle est pour moi la marque flagrante de mon échec à servir mon Maitre comme il le souhaite. La punition est un supplice. Je suis déjà punie si je mérite une punition. Mon Maître est juste et il ne recule jamais à me punir si il le doit.

Je crois que l'attitude de mon Maître est la plus adaptée à ma soumission, je souhaite lui plaire, le servir, lui donner du plaisir... pas besoin de chercher rma faute, si, il a envie de me lier, de me voir à ses pieds, il n'a qu'à évoquer son  bon plaisir... je suis là pour le servir. Mais comprenez bien M.L. n'est pas un enfant gâté capricieux... c'est un Maître respectueux et à l'écoute de sa soumise.  La soumise fait le Maître et vice et versa.

  Il était six heures à la Défense, lorsque M.L.  arriva. Il me vit enveloppée dans mon manteau, il me serra contre lui. Il suffisait qu'il me regarde et il su que j'étais totalement nue sous mon manteau.

nue-sous le manteau Je m'accrochais à son bras, il souriait  mesurant mon embarras et mon excitation... il marchait lentement, savourant mon plaisir : l'air qui se glissait sous mon manteau, la doublure de satin qui me caressait le corps,  la délicieuse sensation de l'interdit... j'avais un plaisir fabuleux à être nue  au bras de mon Maître, sur cette esplanade grouillante d'hommes d'affaires en costume — ils ressemblaient beaucoup à M.L. mais eux n'avaient pas une femme nue à leur bras. Nous arrivâmes doucement à l'appartement, il nous fallait prendre l'ascenseur et aller jusqu'au 10e étage. Dans la cabine,  M.L. ne dit rien mais ouvra les boutons du manteau pour me découvrir totalement nue. Il glissa sa main sur mon téton qu'il pinça très fort...

- Vous êtes ma merveilleuse soumise B.

Ce qui arriva après.... je vous le laisse imaginer ou peut-être viendrais-je vous le dire une autre fois, si vous me le demandez gentiment ?

  * Je le sais capable d'exiger mais je pense qu'il adopte et adapte son attitude face à la soumise que je suis.

© Les textes de ce blog appartiennent à soumise B et à M.L. - Soyez aimable de ne pas vous les approprier sans autorisation.

Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : REALISEZ ENFIN VOS FANTASMES!.
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Mercredi 31 mars 3 31 /03 /Mars 00:13

ange-noir.jpgCe soir, j'aimerai poser la question de l'absence, de la distance. Conceptuellement j'ai les réponses, mais concrètement comment fait-on ?

Lorsque Maître et soumise ne vivent pas ensemble, pire ne vivent pas dans la même ville... comment vivre au quotidien l'absence, la distance ? Lorsque deux êtres humains qui aspirent à l'harmonie, deux êtres pour qui il est si simple d'être ensemble Maître et soumise, pour qui il est normal pour l'une de servir pour l'autre de protéger, d'accompagner, de faire grandir ... comment ces deux êtres vont-ils vivre, accepter cette distance, cette absence ?

Sans doute, leurs jours se rempliront de leurs multiples occupations,  mais en proie à quel tourment leurs esprits seront-ils ?

Par Soumise B. - Publié dans : La Découverte - Communauté : Elixir d'envies
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