harmonysoumise

Le Maitre-queue

Le Maitre aime tant

Battre, fouetter, baratter,

Lié, quel cuisinier.

Sa soumise fond

Se met à table, s'étale

Souple, Délice !

© harmonysoumise - merci de ne pas utiliser ces textes sans autorisation. 

© Le tableau : Bernaert de Rijckere (1535-1590), le Festin des dieux, Rennes Musée des Beaux-Arts

Maître Do qui m'a baptisée Gaman, aime presque autant que moi le thé... je ne me lasse de lui servir le précieux nectar. Je vous livre la méthode dont je lui sers le thé tibétain. 

- Savez-vous que l'eau a bouilli et bouilli  ? Je vous fait le thé ?

- Oui, sers-moi ce thé que j'aime tant.

- Mais pour ce thé vous devez aussi participer...

- Je m'asseois dans le fauteuil

- Je mets dans la théière l'eau et le lait sur les feuilles

- Un gros Chesterfield vert foncé ?

-  Bien confortable

-  Je vais servir dans les deux tasses

-  Vous ne buvez pas votre thé brulant, il faut qu'il refroidisse un peu.

-  Pendant ce temps.... viens contre mes jambes et pose ta tête que je sente la chaleur de ton corps

- Ma tête sur vos genoux sur vos genoux

- Oui, j'admire mon animale

 - J''aime être à genoux ainsi devant vous

- Je te trouve très animale ma Gaman

- Vous pouvez voir mes épaules, mon  dos ma croupe

- Mes mains dans tes cheveux

- Quelle douceur, quelle tendress; je pourrais rester là des jours...

- J'aime celle qui me sert si bien et qui m'attire autant mon animale.... ma chose

- Le thé refroidit...

- Va voir !

- Puis-je plonger mon téton gauche dans une tasse sans vous déranger ?

-  il n'y a pas d'autres méthodes Gaman. Mais  attention,  ni trop  chaud, ni trop froid

- Non, My Lord pour vous c'est la seule méthode... oh, c'était un peu chaud. My Lord ? 

-  oui Gaman

- suçoteriez-vous ce téton qui pour votre thé se brule ?

- Présente le moi, je vais voir si j'y prend plaisir

- J'ooffre à vos levres le teton encore dure et rouge de la brulure du thé

-Presse le contre mes lèvres, j'aime ce sein tendre et dur à la fois et cette odeur de doux parfum

- La 2e tasse est donc bien necessaire ?

-Le thé doit avoir son odeur prore Gaman !

- Et je n'ai pas besoin de tasse pour gouter ce sein ! je ressens tellement que ce corps m'apparteint, qu'il se plie à mes désirs

- Mais il vibre à l'idée d'^etre par vous posedé.

- N'oublie pas le th" Gaman

- Non My Lord. Je replonge le téton dans la tasse.  Voilà il est comme vous l'aimez...

- Je vous porte la tasse aux lèvres... et vous offre mon téton droit à tourmenter entre vos doigts ?

-Comme d'habitude, Gaman, tu sais que j'adore m'occuper les mains quand tu me portes le thé aux lèvres

et j'aime sentir ton coprs vivre et accepter la douleur que je lui procure

-  Je plonge mon regard dans le votre pour voir votre plaisir à cette douleur

-Et tu m'offre tes souffrances,  tu les acceptes,  tu les recherches pour moi

- Je croyais que j'aurais de moins en moins mal... mais je sens que vous pincez de plus en plus puisamment.

- Ton corps s'habitueras Gaman

- Plus je m'habitue plus vous pincez...

- Et tu rechercheras cette douleur pour me faire plaisir. Je pince et je fais rouler le bout de sein entre les doigts

- Une vague roule dans mon ventre

- Tu dois faire attention à ne rien renverser pendant ce temps, je suis exigent sur la qualité du service, Gaman

- J'ai bien failli renverser lorsque cette vague m'a envahit.  Oui, Maitre mes deux mains tiennent votre tasse. Mais mon sein s'emflamme

-Montre moi ton aptitude à me servir

-Je cambre mes reins croyant trouver ainsi une position moins douloureuse

Mais votre main déchire, votre regard est froid

- Je te fixe

- Vous ne voulez pas risquer de faiblir

- J'irai jusqu'au bout, ma soumise

-Entre vos doigts le teton coincé roule,  je porte à votre bouche une nouvelle fois la tasse croyant vous distraire

- Mais votre main redouble de fermeté

- Je t'attire à moi en t'étirant le sein

- Vous l'avez dit vous irez jusqu'au bout ...

- Tant que je bois, tu souffriras Gaman.J'aime tellement cette lueur dans tes yeux quand tu as mal.

- Je me balance cherchant à me bercer pour m'endormir,

- My lord la douleur a le gôut du sang sur ma langue...

- Parce que tu te mords les lèvres

- Je tiens la tasse, je sens qu'une larme perlera bientôt sur ma joue

- C'est que que j'attends depuis tout à l'heure et que tu me refuses jusqu'à présent

- Je n'ai pas remarqué que je me mordais si fort la levre

- Cette larme tombe brulante sur votre main tortionnaire

- Je porte pour la troisieme fois la tasse à votre bouche

- Je tente de percer votre regard mais embués par les larmes, je ne vois plus rien, je pars. Douleur que je vous offre, douleur que je cherche plus loin, plus dure, plus belle

- Elle est magnifique ce soir, ta douleur

- J'ai mal jusqu'en l'épaule,  je ne peux plus desserer les dents de ma levre,  j'hurlerais

- Mais je ne permets pas que tu te plaignes ou émette un son

- je sais que je ne dois pas vous gâcher cette larme par un cri ridicule

 - My Lord mes mains tremblent mais porte une quatriéme fois la tasse porteuse de douleur ce thé à vos lèvres.  Votre main serre sans relacher un soupçon, le mamelon malmené.  Cambrée, je  tends ma poitrine croyant ainsi résister un peu. Je ne parviens plus à avaler ma salive... mes larmes redoublent... mon dos se tend.  Maintenant la derniere goutte de thé sera portée à votre gorge mais je la redoute encore plus...
Ultime instant pendant lequel votre doigt pince, écrase, tenaille, tire, torture, tourmente la mamaelle gonflée....
votre sourire en dit long. Vous persécutez sans relache... mes larmes coulent,  je voudrais de ma main les essyuyer vous m'en empechez, passez sur ma joue votre langue et me fixant vous me dites

- Gaman ces larment sont à moi, tu me les dois. Ces larmes ne t'appartiennent pas. Tu ne peux les effacer ainsi. Elles sont nées pour moi, par moi et je les boierais jusqu'à la dernière... Tu entends. 

-Là je crois que je vais perdre connaissance, vous avez dans une ultime torture, tirer, pincez le téton bleuit. Puis vous l'avez laché....et  je suis tombé à genou ne pouvant retenir un cri. My Lord j'ai mal,  j'ai mal pour vous par vous pour vous... dans un sanglot hystérique.   Mon corps tresaille, tremble.  My Lord j'ai froid,  je vais tomber...

- Repose la tasse, que je t'agrippe pour te faire monter sur mes genoux

- Que je me noie dans ton regard embué de larmes

- Dans vos bras,  je tremble du bonheur de cette douleur, ce n'est pas le premier thé que je vous offre, la douleur me déchire toujours mais je n'ai pas de rancoeur

- La douleur est à la hauteur de l'offrande que tu me fais. Tu m'as honorer ce soir Gaman

-Endurer, éprouver, souffrir, patienter, supporter, accepter autant de synonimes à Aimer

-Et quand on s'apelle Gaman......... c'est encore plus vrai

- My Lord... je vous aime. Ce thé, je vous le servirais encore et encore...

- Oui Gaman, tu me le serviras pendant toutes ces années qu'il nous reste.

- Oui, renaitre dans vos bras, il me semble que c'est cela... je evis l'expulsion, la naissance. Après la douleur je sens de nouveau mon coeur battre plus calment... mon souffle s'appiser...

 - Sois heireuse Gaman, dans cette condition retrouvée de soumise, dans cette vie qui est maintenant la tienne

Je ne sais si je peux vous offrir ce que je voudrais.... si je pourrais supporter ces douleur sna cesse plus machante, mordante. Mais si je puis supporter une douleur à la hauteur de mon désir de vous servir...

-Aie confiance Gaman - je connais ton corps et ton corps sait qu'il doit obéir,  ton corps va rechercher cette douleur de lui-même et tu me l'offriras avec toujours plus d'entrain, de bonheur.  Gaman, tu es ma soumise et je t'aime par dessus tout. J'aime cette vie que tu as maintenant. J'aime mon esclave

- My Lord, je suis aveugle, je ne sais ce que seras ma réaction , mais j'ai confiance en vous

 - Je ne me fais aucun souci, tu obéiras et tu en seras heureuse, tu verras ce plaisir dans mes yeux et ce sera ton moteur

- Votre bonheur en effet pourrait me ferait faire folies

- Alors ne t'inquiète pas de ce que tu seras ou pas capable, ce n'est pas une compéttion, je m'occupe de tout, ce corps est à moi. Retrouves moi dans le li, viens contre moi que je finisse de te caliner

-  Oui, My lord

- Effacer ces douleurs que tu m'as offertes et lécher tes yeux pour sêcher tes larmes.

- Mon sein encore palpitant de douleur se posera dans votre main et je dormirais dans votre bras...

- Oui, ma Gaman

- Bonne nuit My Lord

- La douleur t'a fatiguée, tu dormiras bien, au calme dans mes bras. Viens vite !

Mourir pour des idées en effet pourquoi pas, il suffit d'y croire. 
Mais voilà, en ce moment, j'avoue que je préfèrerais Vivre pour des idées. Et cela, je le dois à mon nouveau Maître, My Lord, Maître DO.

D'abord quelle douce euphorie : Amour, musique, latin, littérature et perversité... c'est un avant goût du menu de nos conversations quotidiennes, longues, multiples... 

Puis nous voyageons Japon, Asie... Nous sommes gourmets et détaillons le goût, la saveur d'un mets, d'un vin... 

L'attention que me porte Maitre Do est merveilleuse à vivre. Pas un instant où je ne puisse me sentir seule ou oubliée. Il est là. Il s'est entouré de tous les instruments de communication qui nous permettent d'être reliés. 
Pourtant je ne sens pas cette présence pesante, bien au contraire, je peux me laisser aller, ne rien craindre... Il est là, prêt à se charger de tout.
Ma seule préoccupation : son plaisir.

Comme je suis libre et comme il le dit cette liberté est le ciment de notre relation, chaque matin, je renouvelle mon voeu de lui appartenir. Chaque jour, j'affirme ma libre soumission. Mon Maître n'interdit rien, il explique, il tente de comprendre... je peux tout lui dire. 

J'ai un peu délaissé le Salon, j'espère que mes amis me pardonneront  — beaucoup se prélassent encore au bord de la piscine ou à la plage… car je fais le thé sous un chêne dans un Palais merveilleux où soumises et Maitres s'apprécient sous l'autorité douce mais vigilante du Sultan. Cela peut vous faire sourire, mais je peux vous dire que ce palais est à faire palir d'envie. 
De vrais Maîtres sûrs de leurs convictions, des soumises vives, libres, heureuses ... vous vous souvenez de ma belle soumission, de la soumission heureuse... 

Alors j'avoue avoir délaissé un peu le bon marquis et ses amis. 

Promis, je reviens vite au salon, sans doute pour une soirée Bergère...

A très bientôt.  

Mon exigence pour la vérité m'a elle-même enseigné la beauté du compromis.

Gandhi - Autobiographie. 

Ah si Thé !

Sachez que la cérémonie du thé au Japon veut durer de 1h à 5h…Que le thé est une boisson de Dieu, de roi donc de Maître.Que le thé vert est un puissant antioxydant. Que la consommation en grande quantité de thé parfume nos pluies dorées…

Ce sont d’abord les moines qui sacrifiaient à la cérémonie du thé. Au Japon, la cérémonie du thé atteint le paroxysme, mais nombreux les pays qui ayant adopté le Tchá (cantonnais)  ou Té (Mandarin)  ont créé autour de la pause thé, des règles et des rituels. 
Alors bien sûr, petite soumise “ trop maligne et pas assez battue ” (je vous raconterais, mais c’est une autre histoire) je me suis passionnée par l’Art de la cérémonie du thé chez les Geishas ou Geiko. Bien sûr, lucide je ne suis que novice mais passionnée.La cérémonie du thé peut durer de 45 mm à plusieurs heures, selon le type de cérémonie, simple thé, déjeuner léger, dîner etc. et le nombre d’invités.

Sur le modèle dans l’esprit, mais loin de l’orthodoxie japonaise, j’offre souvent le thé à mon Maître. Je ne l’ai encore jamais partagée.

Selon, l’heure et l’état d’âme de Maître DO ( Souvenir Coréen qu’il racontera sans doute un jour au Palais) je choisis le thé : vert, Olong, fermenté, tibétain, indien, à la menthe etc…

Puis le rituel est celui-ci :

Nue,  à ses pieds, il est alors souvent installé dans un confortable fauteuil club en cuir, j’apporte le petit réchaud sur le plateau… je fais chauffer l’eau doucement, il faut prendre son temps : – deux récipients d’eau : un pour le thé – un pour la cérémonie ( il faut ébouillanter la théière, les tasse , se laver souvent les mains, etc…)

Pendant que l’eau chauffe, je lave les pieds de Maître DO ou je le masse ou  …. Cela dépend toujours de l’heure, de ses envies, de son état…

Dés le premier bouillon, il ne faut pas dépasser la t° de 100° C, je dépose l’eau sur les feuilles de thé dans la théière préparée. Puis, je reviens embrasser les pieds de Maître DO.

Lorsque le thé est suffisamment infusé, je sers deux tasses de thé…

Et la petite particularité d’Harmonysoumise, que Maître Do nomme Gaman, pour être certaine de proposer à Maître Do son thé à la température qu’il aime, je plonge oui, je souffre parfois, mais ainsi je suis certaine que le thé sera sur sa langue douceur et sérénité.
Oui, pour contrôler, je plonge pour téton gauche dans la tasse de thé et de ce téton offert, je reconnais la température idéale.

Je peux donc lui offrir la seconde tasse de thé, je ne lui offre pas la première—je sais qu’il aimerait ce thé où mon téton durci à baigner mais mon sein pourrait porter les fragrances fleuries de mon parfum et cela dénaturerait le goût du thé…

 Voici la cérémonie du thé offert à Maître Do par sa soumise Gaman, (harmonysoumise).

Je vais m’entraîner encore à perfectionner la cérémonie sous le chêne à papo-théage, je suis certaine que certains au Palais auraient de judicieux conseils pour m’aider à perfectionner cette pause au Jardin du Palais…  Croyez vous que cette cérémonie pourrait être une pause con-vie-via-lit-thé au palais. Je ne voudrais pas risquer les cachots du Palais ?

© papo-théage un néologisme d'harmonysoumise au Palais

© Ces textes appartiennent à harmony soumise ne les utilisez pas sans sa permission, s'il vous plait. © Août 2010