J'ai un Maître...
Pour lui, Harmonysoumise est Gaman... : Ce mot extraordinaire, qui en japonais, signifie patience, mais aussi persévérance
et endurance.
Quel beau symbole à la soumission ! J'aime le porter et l'entendre me nommer ainsi car cela contient en filigrane, notre conception de la
relation D/s.
Et avant toute chose, il a établit la règle N°1 :
L'amour est le ciment de la
relation D/s.
Je suis encore hésitante à écrire ce que je vis... car si la blessure de l'obligation d'abandonner mon Maître M.L. n'a pas disparue, j'avoue que
le bonheur de sentir à nouveau cette osmose, cette fusion avec un Maître est sublimant.
Celui que je nommais M.L. avait l'éclat pour me
tenter mais nous ne sommes pas parvenu à faire de ce chemin un chef-d'oeuvre. Tout simplement ressemblait-il à Mon Maître mais ne l'était-il pas. D'ailleurs, il avait refusé que j'écrive ce que
signifiait M.L. et avait banni l'amour entre nous.
Aujourd'hui, Mon Maître est mon Seigneur, My Lord et voulait être sûr que nous nous aimerions... Pour lui, impossible de guider, d'accompagner, sa soumise sans l'aimer. Pour lui, tout est possible si nous nous aimons et il a un don merveilleux pour se faire aimer.
Alors bien sûr, je vais y aller et le servir comme je veux le servir sans limite, avec confiance et amour. J'aime
l'entendre me rassurer lorsque j'hésite...
Je suis Gaman aimée, je suis sa chose, son bébé, sa D.S. (sourire).
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Et alors
là... avec quel bonheur, je laisserais ce nouveau Maître prendre soin de moi, sans rien accepter que je ne comprenne.
Qu'il est doux de sentir sa nature reprendre le dessous... petit à petit malgré la blessure sentir encore à nouveau, son
corps réagir à un mot, à une idée. Entendre un sourire et de nouveau frémir...
Je serais à quatre
pattes au pied du lit, vous êtes là, vous tournez autour de moi... votre cravache chahute mes fesses, ma raie et mon sexe. Un coup brutal me secoue, vous aimez me cravacher violement les fesses,
moi qui suis votre femme-jument. Tout s’arrête. Vous enfoncez dans ma bouche le mors que vous attachez serré. La cravache retombe sévèrement sur ma croupe. Vous n'entendrez pas mes cris, mes
dents mordent le caoutchouc. La douleur est insoutenable. Votre main lâche la cravache et je la sens me caressant la tête. Vous tirez ma queue de cheval — quelle autre coiffure adopterait une
femme-cheval — pour me faire lever la tête. Vous me fixez de vos yeux clairs, j'y vois l'amour derriere un regard vicieux, puis un sourire machiavélique apparaît à vos
lèvres.
M.L. loin, absent, Libertin se fait dorer... il sera encore trop beau !
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