La Découverte

Samedi 27 novembre 6 27 /11 /Nov 22:06

Le défi était vous raconter une rencontre avec un Maître et utiliser au moins les 20 mots suggérés par quelques un d'entre vous.
Les 20 mots imposés : salope, chienne, enculée, branle-moi, avale,  (Mots de Maitre X)  — ramper, défoncée, humiliée, couilles, putain (Mots de la Douce) — braise, volcan, allumette, flamme, radiateur (Mots de Clochette)— moule, pompe moi, pine, baiser, suce bite (Mot d'Ambre) .... 

Et bien à mon tour, de les écrire ces 20 mots offerts. 

 

Avec mon Maître, grâce à vos mots chauds ou crus.

 

moule1.jpgCeux qui me connaissent un peu savent que sous la discrète, le glaçon froid et réfléchi un actif volcan sommeille. Mon Maître n'aurait certes jamais besoin d'allumette pour éveiller mon corps et me faire plier. 
Maître connait le dilemme, soumise librement, métamorphosée aisément en fière jument, il sait que je ne suis pas facile à dompter même si ma soumission est évidente, réfléchie, et consentie. Il sait qu'avant que j'accepte d'être sa chienne fidèle, sa putain... il devra faire preuve de patience et de fermeté et ne pas être avare de baisers.
Depuis quelques temps, il me savoure sous influence et sait combien je suis humiliée de voir mon esprit commander mon corps. En effet, la chair de la salope dicte sa loi, il faut parfois me torturer pour faire taire le désir.  
Les rencontres avec mon Maître sont un savant mélange de fermeté, de perversité et de tendresse. Maître n'accepte pas la désobéissance mais il n'ordonne rien qu'il ne me sente capable de faire mais il veut que je le vive intensément... Il déchiffre mes fantasmes, il imagine mes fantaisies et m'emporte à vivre mes désirs.

La dernière fois que j'ai rencontré mon Maître, en arrivant dans la chambre, il a exigé que je sois nue, que je porte un collier et une laisse, pour me faire toucher du doigt ma luxure et me fait comprendre que je deviendrais celle qui le comblera. Je suis immobilisée à quatre pattes attachée au radiateur... devant Maître me sourit et caresse ma tête... Je suis animale à ses pieds et j'apprends à apprécier ma place. 

Maître aime caressé ma croupe chaude, il aime m'entendre lui demander doucement encore hésitante en cul l'émoi mais je ne suis pas encore prête à le supplier de me défoncer — le serais-je jamais ?
Ses caresses éveillent l'animale, et je sens mon sexe pétiller, mouiller, frémir... Je désire, Maître le sent, le sait et va s'assoir impassible. Il sait que mon désir monte, il lit dans mes yeux ma faim de sensations. Il veut me rendre folle, je serais tremblante, démente. Je deviens lascive, femelle lubrique.J'ondule, je vais ramper, baver, m'enrouler, supplier...  

Maître affiche un large sourire pervers. 

- Tu es belle, Harmony lorsque tu désires... que veux-tu ? Approches et sers-moi comme j'aime... 

Je pose ma tête sur ses genoux et je sens sous ma joue sa pine gonfler. Je caresse mon Maître... je lui ôte son pantalon et son caleçon — j'aime son raffinement son caleçon assorti à sa chemise... ses chaussettes hautes. Ses mocassins anglais sentant le cuir... 

Je le déshabille délicatement, j'aime tendrement malgré le désir qui me brûle le corps... Mes mains s'obligent à ne pas ceder à ma brutale animalité et c'est suavement que je poursuis de le mettre à nu. Pendant que l'animale ne pense qu'à découvrir ses couilles, la femme croit l'entendre :

- Ma soumise déchaîne toi, je sais que tu es mon suce-bite, que tu souhaites me branler, que tu veux que je te commande : pompe-moi mais je sais aussi que je n'aurais pas à t'ordonner " avale" car gourmande tu savourera la preuve de mon plaisir.

Je suis partie, envolée loin d'ici...
Mon sexe, cette moule mielleuse et emmiellée se consumera,  en flamme je sens la braise bouillonnante dans mon ventre...

 

© Les textes appartiennent à Harmonysoumise. Vous ne pouvez les reproduire sans son autorisation. 




Par Soumise B - Publié dans : La Découverte - Communauté : Sexe Passion
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Lundi 22 novembre 1 22 /11 /Nov 14:59

sang.jpg

Je perds pieds, jamais je ne fus si heureusement malheureuse. Je ne parviens pas à guérir... je vais replonger, je vais souffrir encore et encore. Je vais hurler comme en été, lorsque je saignais voilà que tout se voile et que je suis aveugle. Je sais qu'il m'est impossible de guérir on ne guérit pas de cette excès d'amour. Je ne sais pas gérer ce trop plein d'amour... 

Amoureuse de l'Amour, je fais souffrir et  je me fais souffrir... Vais-je encore fuir ? 

Par Harmonysoumise — Gaman pour Maître DO - Publié dans : La Découverte - Communauté : salope soumise
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Vendredi 12 novembre 5 12 /11 /Nov 11:50

http://www.zemedical.com/var/zemedical/storage/images/media/images/sexualite/mots-crus-sexualite/93570-1-fre-FR/Le-role-des-mots-crus-dans-la-sexualite.jpgDernièrement, vous avez été quelques-uns à remarquer mon retrait... comme si je ne voulais plus partager avec vous la chair. Non, je vous promets pas de retrait mais il est vrai que je rêve de vivre avec mon Maître, une soumission plus forte même si à mon goût, l'absence et la distance est encore le seul obstacle au bonheur total.
Quelques lecteurs me reprochent de les priver de mes expériences physiques et me provoquent en me  "suspectant  " incapable d'écrire des mots crus. 
Il est vrai que je pense que je ne suis pas forcément la plus habile à raconter à mots bleu (très crus - sourire taquin) mes expériences, mais de là à me croire incapable de frayer avec ces mots  ? 

Un lecteur qui souhaite garder l'anonymat et qui me l'a demandé très poliment (donc j'ai promis de ne pas révélé son identité) à souhaité me mettre au défi.
Je devrais vous raconter une séance que j'aime avec un Maître avec mots imposés... il m'a proposé cinq mots et a suggéré si j'avais le courage de relever l'affront pervers que je vous en demande 15 autres... pour avoir 20 mots crus obligatoirement dits dans mon récit.

Les cinq premiers mots de la liste : salope, chienne, enculée, branle-moi, avale.
Vous savez que je vous apprécie que sans vous mes chers lecteurs, mes ami(e)s je n'aurais été capable de passer ces caps, incapable de cicatriser, j'aurais été incapable d'aller plus loin... alors je vais relever ce charmant défi avec votre aide...

Voulez -vous ajouter quinze mots obligatoires ... ou auriez-vous peur des mots crus ? 

 

Illustrations : Illustration extraite de l’ouvrage Sexualité, guide à l’usage des femmes et des hommes, Éditions médicales Bash.

Par Soumise B - Publié dans : La Découverte - Communauté : salope soumise
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Mercredi 10 novembre 3 10 /11 /Nov 12:44

revolution-de-1830---combat-devant-l--hotel-de-ville---28.0.jpg Oui, je crois que je ne pourrais jamais avoir un Maître d'une autre nationalité. J'aime ce délicat mélange — qui me semble exister aussi dans le French Lover vanille : un tantinet macho, délicieusement sûr de lui presque arrogant diriez vous ? et un joli paquet de tendresse. Dans une main, la cravache dans l'autre le rubis...
Qui d'autre qu'un Maitre français pourrait me soumettre sur Debussy, me fredonner du Clapton, sourire en me voyant me trémousser sur Je rêve de ton cul et exploser de rire en se moquant de moi : c'est tout toi mon bébé lorsque j'écoute : Je t'aime moi non plus et qui accepterais que je minaude sur Décadanse... .

Et bien, oui, les clichés ont longues vies.  Il adore mon horrible accent qui me fait parfois confondre mes reins et ma nuque..., j'adore ces sourires trop français ! Non, ce n'est pas hasard... on peut me  faire trembler avec Poulenc.

Et parfois lorsque l'absence me pèse bien , je m'enivre de mélancolie en hurlant et tapotant sur mon piano maladroitement... 

Alors soumise anglophone, je n'aurais de cesse de célèbrer le Maître français , je vous offrirais encore d'autres portraits de Maître français en musique

Par Soumise B - Publié dans : La Découverte - Communauté : salope soumise
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Vendredi 15 octobre 5 15 /10 /Oct 13:01

Vous imaginez sans doute, la dualité qui naît en moi. Femme soumise, libre, jument fougueuse. Imaginez mon trouble, si mon Maître au cours de notre rencontre me disait, alors que nous allions déjeuner.

- Harmony, ne t'assois pas à table, s'il te plait !

Os-copie-2.jpg
Puis se lève, prend les toast tartinés de terrine et découpe de petits cubes qu'il dépose dans une soucoupe. J'ai beau me dire que cette assiette est en argent, qu'elle est celle de son animale préférée, celle de sa soumise, donc la mienne. Je ne comprends pas encore. Moi, qui ai imposé que mon fils apprenne à manger son hamburger avec couteau et fourchette, je vais aux pieds du Maître, à quatre pattes, nue, tenue en laisse, manger dans une soucoupe. 

Encore, aujourd'hui, en l'écrivant, mon corps plie, mes jambes trembles, mes reins se creusent... 

Maître sait que je vais rechigner intérieurement, il doit se délecter du feu qui jaillit dans ma pupille. Est-ce la rage, encore un peu de résistance ou l'excitation de parfaire, de vivre ma soumission plus loin, plus fort, plus vrai ? 
Palpable, la tension dans mon corps est vive. Muscles tendus, souffle accéléré, je suis à quatre pattes, Maître s'assoit sur le bord du lit, il se baisse un peu pour m'accompagner, son regard franc, tendre et ferme me dit que je ne mangerais pas autrement que comme son animale. Il me caresse les cheveux, il met la poignée en cuir de la laisse dans ma bouche, je salive... 

- Tu as faim. Cela sent bon. Nous avons tout notre temps.

Je suis indécise, je sais que je n'ai pas le choix, je n'ai pas envie de refuser. Je ne l'imagine pas mais comment faire... je me frotte à ses jambes, il sait que je vacille, il ne dit plus rien. Il attend ! Si j'avais la force de le regarder, je suis sûre que son sourire est large et enjoué que ses yeux pétillent. Ce regard que je ne vois pas, je le sens se poser sur ma croupe, je sens son regard sur mon dos parcourir ma colonne vertébrale... si je pouvais poser ma tête sur son coeur, je l'entendrais battre plus fort. Il retient son souffle, il espère, il me connait débordante d'entrain mais équilibrée et obéissante, il me sait vive de caractère, il savoure l'attachement et la docilité que j'ai pour mon Maître.

Je m'approche de plat, j'hume décidément cette terrine sent vraiment bon le canard... l'Armagnac. Je pose mes lèvres sur le bord de l'assiette et cherche à faire basculer avec ma langue, une gourmandise dans ma bouche, j'y suis.  Je sens la première bouché sur ma langue...

Dans mes os, un feu s'allume, dans mon ventre, une vague se déchaîne, mon sexe coule et palpite... mon cerveau a décroché !
Pour la première fois de ma vie,  je mange à quatre pattes — j'ai jusque là mangé dans la main de mon Maître — je savoure d'être cette animale et  je jouis... Chienne de Maître, je suis et aujourd'hui, c'est à ma place que je déjeune.  

Par Soumise B - Publié dans : La Découverte - Communauté : chienne soumise
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Samedi 9 octobre 6 09 /10 /Oct 01:26

Mon Maître sera un Maître extraordinaire... exigeant et tendre, respectueux de ses engagements. 

Il ne supporte pas les caprices mais comprend l'inquiétude, il fallait donc qu'il vienne me dire que je n'avais pas de doute à avoir, que j'étais sa chose, son animale, son esclave sa soumise aimée.
Alors que j'avais passé une nuit horrible, coupable de doute, de cette peur... je recevais le matin, un mail enivrant.

Maître :  Bonjour ma soumise. Le fil qui nous lie ne peut être brisé par un seul dérapage. J'ai trop confiance en ta sincérité, en ta volonté de me servir. Ne crois pas que je m'abaisse à faire un premier pas, il est de mon devoir de Maître aimant de te prendre dans mes bras, le temps que tu te calmes, retrouves un peu de raison, retrouves cette soumission qui te va si bien.
Si le Maître ne montre pas sa force en te prenant dans ces bras, ce n'est pas une soumise apeurée qui aura la force d'y grimper. Je t'aime, ma soumise. Je t'aime soumise, à mes pieds.... j'aime ton humilité et ton écoute, ne les cache pas..... Retrouve vite ta place. Un Maître qui ne sait pardonner n'est pas un Maître. J'aurai voulu te punir pour ton attitude incompréhensible en faisant le silence radio un jour ou deux, le temps de retrouver mon sourire mais je ne veux pas que tu es un sentiment d'abandon. Tu m'appartiens, je suis responsable de toi....article 3.  Que veux-tu je me sens responsable et je ne fais pas les choses à moitié...tout comme ce que je fais en vanille ces jours ci.

Harmony : My Lord, Merci. Je suis de ces animaux sauvages que l'on dompte et se laissent faire mais qui n'oublient jamais tout à fait le goût de la sauvagerie. Vous savez que je ne serais pas entrée au box après deux ou trois jours de silence radio... car stupidement j'aurais fait le choix de démolir le box. Enchaînée volontaire je suis aussi parfois mon pire ennemi. My Lord, rassurez vous je ne pense pas que vous abaissez à faire ce premier pas ... fut-il le premier pas ? Ne considérez-vous pas que mon aveu public (fussent-ils peu nonbreux les lecteurs entre 3h et 8h sur notre blog) était un premier pas vous suppliant d'attraper ma main... avant que je ne sombre. Vous l'avez entendu, mon appel aux secours. Merci de votre fine analyse, je n'aurais jamais trouvé la force de grimper dans vos bras seule, bien que je sache que cette place est la seule où je puisse trouver refuge force et détermination. Retrouvez votre sourire, afin que je retrouve le mien, ce petit noeud à ce fil preuve d'un dérapage, vous fera sourire j'espère bientôt, une marche que je ne voulais passer... un obstacle bien petit et pourtant devant lequel je me bloquais... Que sont parfois troublée les juments racées comme si leur pédigré les empêchaient de vivre libre, de se laisser aller à s'abandonner à leur dresseur. Approchez cavalier, voyez-vous cet oeil brillant, encore mouillé des larmes qu'il fallait étouffer, faire taire...  
Nous nous retrouvrions .... mais Maître avait prévenu, je serais punie ! 

Par Soumise B - Publié dans : La Découverte - Communauté : chienne soumise
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Mercredi 6 octobre 3 06 /10 /Oct 01:26

fil1-1.jpgIl est inutile de chercher à comprendre pourquoi, que se passe-t-il, que s'est-il passé ? Je ne sais pas pourquoi le bonheur qui m'envahit laisse ce soir la place à la peur, au doute. Mon sourire calme et heureux s'est effacé et mes yeux s'affolent...
Mon pragmatisme cartésien a fui mon crâne pour distiller à la place de ma félicité, le perfide poison. 
Mon Maître m'aime, il le dit le répète inlassablement et pourtant ce soir j'ai peur, je doute... Je suis (modestement) comme la Rochefoucauld aux prises avec mon bonheur... Comme si j'avais si peur qu'il ne dure toujours, comme si cela devait se briser... Comme lui je dis : Quand on aime, on doute souvent de ce qu'on croit le plus. 

Ce soir, quelque chose inexplicable, d'incompréhensible me pousse à la griseur, je ne plierais pas, je ne ramperais pas... Pourquoi ma personne avait-elle ce besoin de se relever, pourquoi le doute s'est installé ?  Ce soir, je crains, ce soir, je pleure, ce soir, je fuis, ce soir, je lâche. 

Acceptera-t-il cette peur, la comprendra-t-il, Maitre domptez la, trouvez les mots pour que je retrouve la main que celui que je chérie. Ne me laissez pas m' ensevelir, ne me laissez pas me noyer en refusant la main tendue, Permettez-moi de retrouver ce désir d'être deux, ce plaisir d'être à vous ?
Ce soir, j'ai mal à ma soumission, mal à notre amour, mal à nous. Je suis maladroite, malheureuse, je suis illogique, irraisonnable. 

Comment est-ce arrivé ? Par pudeur, je n'ai dit, par pudeur, je n'ai pas admis que je souffrais, que je n'en pouvais plus d'être de vous envahie et de votre absence torturée, par pudeur, je vous ai défié, par pudeur j'ai refusé de me glisser au chaud dans vos bras, unique refuge à mon doute fou. 

Pourquoi est-ce arrivé ? Je n'ai pas eu ce soir la force de taire ce moi, je n'ai pu entendre votre fierté Maître de me posséder, je n'ai pas accepté votre amour, votre admiration... j'en ai eu peur, peur de ne pas le mériter, peur ne pas le valoir. 

Par excès de bonheur j'ai cassé ce soir, un fil. Qu'adviendra-t-il de ce fil brisé ? L'amour que nous partageons sera-t-il plus fort à nous lier, votre main sûre me conduira-t-elle à votre couche où de nouveau m'enivrer,

Il faut savoir douter où il faut, se soumettre où il faut, croire où il faut.
(B. Pascal)

Ce soir, j'ai eu peur de notre bonheur si grand, ce soir j'ai eu peur de votre amour si pur, ce soir je me torture. Á vos côtés, il vous aurait été aisé de me sourire, de me clouer de votre regard, loin de vous, My Lord, je défie, je vacille, j'ai craqué, je suis tombée. 

Il ne tient qu'à vous, de me relever pour me déposer à ma place, pour que je retrouve la joie, le bonheur, la félicité, il ne tient qu'à vous de me tendre la main, pour que je retrouve ma place, bercée de votre amour apaisée, je retourne là où je suis sereine, à vos pieds. 

 

© Ce texte est le vécu d'Harmonysoumise  ne l'utilisez pas sans son autorisation. 


Par Soumise B - Publié dans : La Découverte - Communauté : salope soumise
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Dimanche 3 octobre 7 03 /10 /Oct 16:22

Lambert Sustris - Venus and Love - Louvre

Ceux qui me connaissent un peu —cher(e)s ami(e)s lecteurs — savent que j'aime, que je connais mon corps, que je ne rechigne jamais à lui offrir du plaisir. Libre, libérée, je suis de ces femmes qui connaissant leur corps acceptent l'amour sous toutes ses formes à la recherche d' une émouvante harmonie entre adultes consentants.
 
Ayant adopté l'opinion des sexologues, qui disent : Plus une femme jouit plus elle veut jouir...

Harmonysoumise  est une adepte de l'hédonisme et je ne (lui) me refuse jamais aucun plaisir onaniste en solitaire ou sous influence. Harmonysoumise, dominée n'aura de cesse d'être les mains de son Maître. Je découvre combien chaque jour, toujours plus sous influence de mon Maître, je sens la métamorphose, je me sens devenir ce véritable animale sous influence de son dresseur. Dans ma chair, je sens le besoin de la puissance de la domination d'un Maître.

Mes nuits sont agitées... je dois me tourmenter pour enfin m'endormir. La nuit dernière fut une de ces nuits de lutte... Je n'avais pu dialoguer avec My Lord, son emploi du temps dans la journée et de mon côté, une sortie "vanille" le soir m'avait privée de notre dialogue quotidien. 
Mes sens étaient à la dérive... je sentais une vague de désirs tarabuster ma chair. Je ne pouvais penser qu'à autre chose : je voulais être sous le joug du Maitre, je voulais sentir son regard, entendre sa voix, sentir sa main.  Je suis sienne et sa chose... mon corps hurlait sa dépendance. 

Si, mon Maître m'impose parfois des périodes de privation de plaisirs ce qn'est que pour mieux exalter nos retrouvailles. La plupart du temps, il n'impose qu'une chose que le plaisir ressenti lui soit dédié, offert... comment pourrait-il en être autrement ? 
Je voulais me caresser le sexe d'un geste doux, précis, manipulant mon clitoris turgescent, bandé entre mes doigts humectés. Je sentais mon huitre bouillonnante, mielleuse. Il me fallait caresser, frotter, étirer. Animale, jument hennissante , je me tordais, me cabrais... Branlée, je m'enfonçais dans l'abysse... j'hurlais votre nom...

- My Lord, My Lord, My Lord, aidez-moi !!!

Mes doigts déchiraient mes lèvres et dans mon sexe inondé, ouvert, béant naissait le premier orgasme ! Ne pouvant plus résister à l'assaut du désir, je me levais et décidais de me supplicier... je serais les mains de mon Maître au coeur de ma nuit chaude, chair, et sexuelle incapable de résister à l'avidité de l'envie de jouir. 

Je m'enfermais dans ma  salle de bain. je me déshabillais pour découvrir mes tétons durs, tronant sur mes seins gonflés. Je posais sur chaque pointe une pince... doucement je me mis à genoux sur le carrelage froid puis posant baissant la tête, je déposais ma joue sur le sol.
Ainsi prosternée, je vis votre sourire pervers de Maître.

- Tu ne dors pas, mon bébé ?

Je perdais raison, j'entreprenais seule dans le noir, une conversation avec vous, Maître, fantôme ou guide jamais loin. 

- Non, My Lord, il est impossible de m'endormir... trop envie de vous appartenir.

Je sentais ma croupe onduler, je sentais les pinces mordre mes chairs...  

- Mais que puis-je faire de toi ? Que deviens-tu Harmony ? Tu devrais dormir.

Je me sentais humiliée, incapable de dominer mes sens, je sentais mon corps se battre, se tordre, plier, courber, baver, ramper.

- My Lord, My Lord...

- Oui, harmony que t'arrive-t-il ? Pourquoi ces larmes ?

- My Lord, les pinces mâchent ma poitrine, je sens une douleur irradier dans mes épaules... je sens mes chairs triturées.

- N'est-ce pas la seule solution, pour dompter ma jument fougueuse murmure Maitre, cavalier adepte de l'équitation comportementale... fin et habile éthologiste, mais aussi pervamoureux Maître ? 

- Oui, My Lord... la laisser s'exprimer puis la faire doucement plier votre jument, la calmer.

- Non, Harmony... faire jouir la femme, la s..... qui sommeille en toi et qui se libère, mon bébé renait hors de ces carcans et vit. 

 

37122-chaine.jpgCar en effet, c'était bien cela qui m'empêchait de dormir, la bataille que se livraient les deux femmes qui sont en moi. La femme, la professionnelle, celle admirée, respectée celle qui fait carrière, celle qui porte le poids de la morale, de la pensée unique contre la soumise, la douce, celle qui enchaînée à un Maitre refusera le carcan moralisateur pour vivre librement sa vie de femme...  Celle qui s'est asservie à un Maître pour s'émanciper de l'hypocrisie de la sociéte, cella qui acceptait la morsure des pinces, douleur bien ridicule en comparaison de la souffrance qu'elle ressentirait si, elle faisait taire son corps. Harmonysoumise avait accepté de s'assujettir à son Lord, pour s'exonérer de taire ses pulsions et c'est que qui la tenait éveillée. 

Me suis-je endormie sur le sol, ai-je perdue la raison... lorsque je retrouvais, mes sens... mon visage était glacé, je grelotais, je tremblais... je me sentais plus les pinces blesser ma poitrine. 

Je me relevais, renfilais ma nuisette en voile et repartais dans mon lit. Là, je libérais mes seins des pinces et refusant de masser mes tétons douloureux... je savourais une douleur intense qui fit jaillir un orgasme véritable feu d'artifice. Votre sourire m'apparu avant que je coule dans un profond sommeil. 

Celui que procure la joie intense... celui qui naît de l'extase d'être votre. Mon Maître, je serais vos mains, tourmenteuses pour me permettre de vous offrir ma douleur, mes orgasmes, mon bonheur.   

Par Soumise B - Publié dans : La Découverte - Communauté : salope soumise
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Vendredi 1 octobre 5 01 /10 /Oct 13:33

My Lord... 

soleil.jpgChaque jour, depuis plus de deux mois, je sens combien, vous m'êtes indispensable. Chaque jour, j'avance, je me débats, je sens, je vis..
Je suis un être raisonnable, une femme réfléchie... ne suis-je respectée professionnellement pour ma réflexion, mon discernement ? 

Alors, j'accepte de me laisser envahir, j'accepte en m'en délectant que mon esprit soit "plein" de vous. 

Chaque geste, chaque pensée est chargés de vous  : que feriez vous, que diriez vous ? Je vois à chaque instant votre regard me scruter, votre sourire m'éblouir. 
Mon pas s'est allégé, mon regard s'est éclairé, mon sourire s'est élargi... 
Non, My Lord, je ne rêve pas, je le lis dans les yeux de ceux qui me regardent... Ces gens desquels, je me protègeais avec ma froideur légendaire : ils sont plus beaux, ils sont plus amicaux... tiens, on me remarque, les portes restent ouvertes plus longtemps... 

My Lord, je viens de comprendre ce que le poète veut dire ... 

"You are the sunshine of my life".

http://www.dailymotion.com/video/x1at8r_stevie-wonder-you-are-the-sunshine_music

Par Soumise B - Publié dans : La Découverte - Communauté : salope soumise
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Jeudi 30 septembre 4 30 /09 /Sep 16:20
Par Soumise B - Publié dans : La Découverte - Communauté : Reflets de Femmes
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  • : Harmony appartient et possède
  • : Journal Intime
  • : Le journal intime d'une soumise : ses doutes, ses punitions, ses tenues, ses règles, ses photos, ses blessures, ses amitiés… son cheminement délicat.

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